Erick Lebahr. Pour le « NYT », ce sera « Black », mais « white »

Désolé d’insister, mais comme le chante si bien Francis Cabrel, d’un ton fataliste,  » Et ça continue encore et encore , c’est que le début, d’accord, d’accord »…                                                      

Voilà qu’à présent, c’est le New York Times qui s’y colle!!

Vous savez, le New York Times, le parfait pendant américain de l’immonde  » Le Monde » et de l’abérration  » Libération« , ces papiers falsificateurs et davantage empreints de militantisme politique gauchiste fallacieux plutôt qu’informatifs…

Le new york times, donc, que j’écris délibérément avec un n minuscule( pourquoi tant de n , en effet, de sa part?) a décidé que dorénavant , dans tous ses articles à venir, sera écrit black avec un b majuscule, suivant en cela le mouvement de « l’aimable  » mouvement  » blacks live Matter« . ( Bien sûr que les vies noires comptent, mais toutes les autres vies comptent-elles pour des prunes?)

Le comble est que le new york times, en revanche, persistera à écrire white avec un w … minuscule!!  

Je laisse à chacun le soin d’apprécier les justifications spécieuses données par cet organe de presse, qui ne sont que circonlocutions et circonvolutions absconses, abstruses, sybillines… A gerber de sottise!!

Je comprends de plus en plus les phobes… Plus encore que sottisophobe, je crois que je suis devenu extrêmement connophobe!!!                

Là où je ris, c’est quand je vois tous ces gens compliqués, qui viennent troubler le jeu de ces journalistes simples et simplistes, pour ne pas dire simplets…

J’évoquais tantôt Serge Blanco, qui est noir… et le peintre Soulages, blanc, mais maître de l’ultra noir…

Et que dire d’Eric blanc, qui est noir… et de Michel Noir, qui est blanc?? Franchement, ils exagèrent, non? Quelle incohérence, quel confusionnisme! Incapables de choisir leur camp…                                        

Heureusement, pour les adeptes de la pensée décomplexifiée, pour les contempteurs zélés du « En même temps » vivant (incarné en l’occurrence par les susnommés), il subsiste des gens cohérents: Noémie Lenoir, elle, est bien noire. Et elle n’emmerde personne!! Elle est comme mon jardinier, Mr Mothe… Lui, au moins, il est logique avec lui même… Un peu comme mes excellents confrères ( qu’ils me pardonnent), Maître Leplaideur, très bon dans les cimes voluptueuses de l’art oratoire… ainsi que Maître Justice, qui, lui, comme Obélix, est tombé dans la justice quand il était petit!!!                                                  

Dans ce monde informe, aseptisé , où l’on ne peut plus rien dire, où le gauchisme culturel surfe sur la dénaturation des mots, souvent sur leur édulcoration, un « nain », par exemple, devient un « géant à la verticalité contrariée »… Une femme de ménage une  » technicienne de surface »…

Un blanc doit désormais s’excuser d’être né blanc… Doté d’un surmoi culpabilisant, héréditaire, il doit à présent s’appeler « Gris Clair », Mr « Livide » ou Mr « Palichon »…                      

J’en viens presque à concevoir une gêne , avec mon nom prédestiné à m’adonner à la boisson, de ne pas être … lebahr man, pardon le barman de service…

Heureusement, à quelques pas de mon cabinet, se trouve un bar restaurant à l’enseigne proéminente,  » Le Bistrot Eric »( histoire vraie!!!!)

Ouf, me voilà sauvé… Avec ma plaque « Lebahr Erick, Cabinet d’avocats », j’encourais le risque de finir avec… une sclérose en plaque!!!