Charles Rojzman. Stuttgart: des émeutes à arrière-plan idéologique, politique et religieux

Stuttgart: l’Allemagne qui était en retard sur la France connaît maintenant les mêmes émeutes.

Stuttgart, dans la nuit de samedi à dimanche

Cette fois-ci, le point de départ  a été  le contrôle d’un petit dealer de 17 ans et ce sont des centaines de jeunes, migrants sans-papiers et antifas  gauchistes, qui ont pillé les magasins du centre ville et attaqué les policiers. La presse allemande a essayé  au début de minimiser les événements en faisant croire qu’il s’agissait de fêtards mécontents du confinement,  mais progressivement n’a pas pu cacher l’étendue du désastre: les allah ouakbar scandés par bon nombre d’émeutiers ont montré la réalité des premières grandes émeutes politico-religieuses  de l’Allemagne.  

Jusqu’à présent, on feignait  de croire que les difficultés entre migrants et autochtones étaient réservées  à la partie Est du pays, en sous-entendant que la raison en était la forte présence de mouvements néo-nazis et la montée du partie nationaliste AFD.  

La presse allemande dans sa majorité  omettait soigneusement de parler de ce qui se passait dans des villes comme Berlin, Düsseldorf, où sévissent des gangs regroupés en clans et provenant d’Afrique du Nord principalement.

Il est clair désormais  que l’arrière-plan de ces émeutes est idéologique, politique et religieux puisque les islamistes alliés aux gauchistes antifas sont de la partie, de toute évidence. A suivre attentivement

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1 Comment

  1. Espérons que la presse allemande ne marchera pas dans les traces de la presse française pour ce qui est du déni généralisé et saura conserver sa liberté. C’est déjà suffisant que l’économie allemande succombe à son tour au mal français des déficits, même s’ils ne sont pas encore abyssaux outre-Rhin.

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