Stuttgart: l’Allemagne qui était en retard sur la France connaît maintenant les mêmes émeutes.
Cette fois-ci, le point de départ a été le contrôle d’un petit dealer de 17 ans et ce sont des centaines de jeunes, migrants sans-papiers et antifas gauchistes, qui ont pillé les magasins du centre ville et attaqué les policiers. La presse allemande a essayé au début de minimiser les événements en faisant croire qu’il s’agissait de fêtards mécontents du confinement, mais progressivement n’a pas pu cacher l’étendue du désastre: les allah ouakbar scandés par bon nombre d’émeutiers ont montré la réalité des premières grandes émeutes politico-religieuses de l’Allemagne.
Jusqu’à présent, on feignait de croire que les difficultés entre migrants et autochtones étaient réservées à la partie Est du pays, en sous-entendant que la raison en était la forte présence de mouvements néo-nazis et la montée du partie nationaliste AFD.
La presse allemande dans sa majorité omettait soigneusement de parler de ce qui se passait dans des villes comme Berlin, Düsseldorf, où sévissent des gangs regroupés en clans et provenant d’Afrique du Nord principalement.
Il est clair désormais que l’arrière-plan de ces émeutes est idéologique, politique et religieux puisque les islamistes alliés aux gauchistes antifas sont de la partie, de toute évidence. A suivre attentivement
Espérons que la presse allemande ne marchera pas dans les traces de la presse française pour ce qui est du déni généralisé et saura conserver sa liberté. C’est déjà suffisant que l’économie allemande succombe à son tour au mal français des déficits, même s’ils ne sont pas encore abyssaux outre-Rhin.