*Trop de Taha Bouhafs. La mesure est comble*
Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup trop, en France, de *Taha Bouhaf*.
Vous savez, celui qui traite notre compatriote Linda Kebbab d' »Arabe de service » et demande « quand on s’occupe » (sic) des statues de Colbert.
Taha Bouhafs et les autres sont en train de ne plus être, pour moi et beaucoup d’autres, des adversaires mais des ennemis.
Car ils s’en prennent aux fondements de la République et aux valeurs de la France.
L’anti-France de l’intérieur gagne un peu de terrain tous les jours avec l’immense bienveillance & lâcheté clientéliste d’un gouvernement sans colonne vertébrale et idée directrice, sans vertu (avant tout sans courage), sans mémoire, sans culture, sans attaches : une certaine idée de la dissolution de la France, en somme, aux milieu des flux, financiers, médiatiques, pathologico-idéologiques et autres courants de mode sursitaires et contingents.
Le gouvernement travaille activement à valider la fracturation en mille morceaux de la France, à favoriser le discours racialiste et raciste des indigènes de la république, à laisser importer chez nous, au prix d’une manipulation honteuse, ce qu’il se passe aux États-Unis.
La gauche, majoritairement, trahit la laïcité, trahit l’école, trahit le message des Lumières, favorise l’obscurantisme et la régression tribale de la société sur fond d’ignorance et laisse le tangage médiatique et l’émotion collective dicter son agenda. Une bonne partie de la droite aussi.
On n’aura jamais vu une telle soumission des institutions elle-mêmes au credo de la fatalité de leur délitement et dissolution.
Résistance.
Soutien à Linda Kebabb et à tous ceux, quelles que soient leurs origines, qui aiment la France et haïssent les discours racialistes et racistes.
Antoine Desjardins est professeur de littérature, coauteur du livre Sauver les lettres: des professeurs accusent (éd. Textuel). Membre du Comité Les Orwelliens, il écrit dans le Figaro Vox, Mariane, Causeur
Le Comité Les Orwelliens a comme ambition de faire entendre une voix différente dans un paysage médiatique trop uniforme. « Parler de liberté n’a de sens qu’à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu’ils n’ont pas envie d’entendre », disait l’écrivain et journaliste britannique George Orwell.
Merci Antoine.
Bravo Antoine, la France avec ses valeurs, ses traditions et son cadre de vie est en train de mourir, il est temps d’agir de manière non-violente mais ferme, « Oh la fille viens nous servir à boire, les paras sont là, perce un tonneau ! Car la route est longue et la nuit noire et demain nous ferons le grand saut oh oh oh oh oh ! ».
Souvenir de Grenoble