On peut penser ce que l’on veut de Guillaume Bigot et de CNews. Il n’en demeure pas moins que son réquisitoire, contre le gauchisme culturel importé des officines idéologiques et autres campus radicalisés d’outre-Atlantique, frappe dur et fort mais toujours impeccablement juste. Un régal intellectuel, argumentatif, rhétorique.
Et ce qui vous gagne à ce visionnage, c’est un véritable soulagement, un vrai sentiment de reconnaissance face à cette mise KO debout d’une imposture honteuse et d’un discours totalitaire et délirant qui infuse beaucoup trop les cervelles surchauffées d’extrême gauche de ce côté-ci de l’océan.
Personnellement je ne retirerais pas un mot, pas une syllabe, pas une ponctuation ou un comma de soupir de son éditorial. Une merveille d’équilibre, de rigueur et de retenue. Même si la colère, généreuse, est bien présente en filigrane.
Merci, Monsieur.
Politologue et chroniqueur, Guillaume Bigot, essayiste, est également auteur ( Atlantico, Causeur notamment )
Je n’aurais pas mieux dit
ROSA
BRAVO. Bien dit, Bigot (le mal nommé…bigot il n’est pas).
Puisqu’il cite Omar Sy et de la dénommée Jordana, précisons qu’ils sont loin d’être les seuls.
Ras le bol devant les sempiternelles leçons de morale que nous infligent des saltimbanques de cette espèce qui usurpent, hors sujet, leur renommée provenant du show-biz pour nous dire le bien et le mal.
Les escrocs. Comme si savoir faire des grimaces devant la caméra ou réciter au micro des paroles écrites par d’autres procure à ces gens, tous archi-privilégiés, une compétence en matière politique, sociale, économique…
Alors que souvent ils en savent moins que le dernier chauffeur d’Uber ou de la concierge de ma cousine.
Mais JAMAIS on entendra les avis du chauffeur d’Uber ou de la concierge.
A la place on nous bourre le crâne avec le bavardage des saltimbanques.