La pandémie du Covid-19 n’a pas eu lieu.
(Inspiré par simulacre et simulation de Jean Baudrillard)
Echec de la politique suédoise? Vraiment?
Je lis et j’entends depuis une semaine que la politique suédoise est un échec et que ce pays a un taux de mortalité équivalent à celui de la France (444/million) soit 449/million.
Cette comparaison me semble non seulement erronée mais stupide, le taux de la Suède étant comparé à ses voisins ou à la France en vertu de critères douteux. On ne compare pas des pommes et des poires, me semble t-il, sauf pour induire les gens en erreur afin de conforter l’idée que le confinement total a sauvé des vies, ce qui est loin d’avoir été démontré.
Petit grand rappel donc: il faudrait plutôt comparer le taux de mortalité par million entre deux tailles de populations équivalentes: Suède et Belgique par exemple: même taille, entre 10 et 11,5 millions d’habitants. En Suède, 40.803 cas et 4542 décès soit un taux de 449/million. Belgique, 58.685 cas et … 9522 décès, soit presque le double avec le taux de mortalité le plus élevé au MONDE, soit 821/millions.
Les médecins et les grands professeurs d’unités en tout genre qui continuent à justifier sur les plateaux le modèle du grand confinement/enfermement sont encore convaincus des projections de Neil Ferguson, professeur de médecine, membre éminent de l’Imperial College de Londres, projections désormais reconnues comme farfelues par plusieurs contre-analyses effectuées par des informaticiens qui ont analysé le code informatique utilisé par Ferguson.
Neil Ferguson et la « programmation spaghetti »
Surprise: le programme utilisé est vieux de treize ans, soit une éternité en informatique, en outre il n’est pas documenté et comprend de nombreux bugs. Neil Ferguson avoue d’ailleurs lui-même, à la suite de ces critiques, sur Twitter: « j’ai écrit le code (des milliers de lignes de langage C non documentées) il y a plus de 13 ans pour modéliser les pandémies de grippe… »
Ce modèle est un « méli-mélo qui ressemble plus à de la programmation spaghetti qu’à un programme finement ajusté », a déclaré David Richards, cofondateur de la société britannique de technologie de données WANdisco. « Dans notre réalité commerciale, nous licencierions n’importe qui pour avoir développé un code comme celui-ci et toute entreprise qui en dépendrait pour produire des logiciels à vendre ferait probablement faillite » (Daily Télégraph).
Les scientifiques de l’Université d’Édimbourg découvrent également qu’il leur est impossible de reproduire les mêmes résultats à partir des mêmes données, en utilisant le modèle: « Il semble y avoir un bogue dans la création ou la réutilisation du fichier réseau. Si nous tentons deux exécutions complètement identiques, ne variant que dans la mesure où la seconde doit utiliser le fichier réseau produit par la première, les résultats sont assez différents », écrivent les chercheurs d’Édimbourg sur https://github.com/
Le quotidien britannique The Telegraph (Daily Télégraph), quant à lui, titrait ce 16 mai : « Le modèle de Neil Ferguson de l’Imperial College pourrait être l’erreur informatique la plus dévastatrice de tous les temps».
Un modèle … pourtant plébiscité
Et c’est pourtant sur ce modèle que le choix du confinement fut proposé par le biais de l’OMS comme unique réponse à tous les gouvernements du monde dont la plupart l’ont adopté.
Notons aussi au passage que dans cette épidémie, la Belgique a été systématiquement ignorée par les médias, comme si ce pays n’existait pas, ou plus, alors que son taux de mortalité est anormalement le plus élevé du monde, ce qui en soi méritait une véritable couverture médiatique et des analyses approfondies.
Scandale sur scandale
Après le scandale et l’inutile polémique médicale de l’HCQ qui a coûté des milliers de vies, voici un autre scandale de portée mondiale à venir, celui de la projection épidémiologique basée sur des modèles mathématiques et en particulier celui de l’Impérial Collège et de sa star, le Professeur Neil Ferguson, qui a autorisé l’assignation à résidence et l’enfermement de plus de 3 milliards de terriens, l’instauration de lois restrictives et contraignantes à caractère liberticide qui semblent plus définitives que provisoires et la destruction de millions d’emplois, le tout au nom du bien et de la santé.
Début de la fin d’un mythe et mise à nu d’un trio infernal
Début de la fin d’un mythe, celui de la renommée indiscutable de certaines éminences scientifiques, de leurs institutions et de leurs revues « prestigieuses ». Les palmes académiques ne sont pas et n’ont jamais été des vaccins contre l’incompétence, la corruption, l’erreur, l’ambition démesurée et la vanité.
Impérial Collège, OMS et Lancet, le trio infernal d’une pandémie simulée aux conséquences sanitaires et sociopolitiques considérables.
© Michel Rosenzweig
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