Je me marre… la loi Avia à peine votée, le rappeur Médine se charge du service après-vente, afin de nous expliquer, grossièrement, comment ça va fonctionner. Il a publié une vidéo sur son compte Instagram, dans laquelle il crie “Allah akbar”, puis déblatère des propos à connotations islamistes. Et il injurie la France : « La Marseillaise, même en Gospel, ça fait dégueuler ». Ensuite, un doigt d’honneur au militant identitaire Damien Rieu, qu’il interpelle : « Je te refais le dégradé au sabre ».
Un genre de routine pour les islamistes, sur les réseaux sociaux. Mais ce « rappeur », proche des Frères musulmans et de l’UOIF, deux organisations islamistes, avait déjà chanté : « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », « J’mets des fatwas sur la tête des cons », ou encore : « On est dans l’game pas venu pour ouer-j, mais j’arrive sur tous les sites comme un djihadiste de Daesh ».
Rassurez-vous, ce n’est pas de la haine. La haine, c’est quand on critique le rappeur. On avait déjà eu un aperçu de la conception de la haine lors des attentats, où sont morts des dizaines de nos concitoyens. Souvenez-vous : « Vous n’aurez pas ma haine ».
La haine, ce n’est pas quand on tue au nom de l’Etat Islamique. La haine, c’est quand les familles des morts se plaignent. Vous avez bien saisi ?
Enseignant du primaire, Pierre Duriot s’est intéressé, dans Ne Portez pas son cartable, à la posture des enfants face au métier d’élève. Journaliste indépendant, il écrit et questionne le statut de l’enfant dans nos sociétés modernes, dénonçant nos travers et dédramatisant nos culpabilités.
Pierre Duriot? Il nous dit que le rôle de parent suffisamment bon est à la portée de chacun de nous.
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