Après l’équipe de CHARLIE HEBDO massacrée par les frères KOUACHI sûrs de leur bon droit, après FINKIELKRAUT injurié et houspillé par un pseudo gilet jaune vrai islamiste en 2019 au moment où il rentrait chez lui, voici ZEMMOUR victime ce 30 avril 2020 en plein Paris du même terrorisme islamiste qui avance ses pions dans l’indifférence générale.
On peut ne pas être d’accord avec tout ce que dit ZEMMOUR, c’est une chose naturelle et régulière. Le débat nourrit le débat et quand il y a des dérives la justice est là pour rappeler le droit.
Mais les petits malins islamistes n’ont cure de la justice, ils se la rendent à eux-mêmes en attaquant à l’improviste des cibles choisies.
Il s’agit toujours de la même stratégie : la haine doit rester maître du terrain et la peur doit s’imposer et faire taire les opposants.
Tous ceux, philosophes, intellectuels ou politiques qui s’attaquent au terrorisme islamiste, à ses méthodes et à sa façon de s’imposer en France sont victimes des mêmes agissements.
Il y a ceux que l’on fait carrément disparaître comme l’équipe de CHARLIE et ceux que pour le moment on se contente d’intimider comme FINKIELKRAUT ou ZEMMOUR car, oui on le voit, ce 30 avril ZEMMOUR a eu à juste titre très peur.
Respectant le confinement il rentre chez lui avec son cabas rempli de courses et le voici poursuivi ( il se met presque à courir ) insulté, houspillé et finalement violenté parce-qu’il est simplement là, sur le chemin de cet apprenti terroriste.
Oui il a été violenté parce qu’un crachat même hors période d’épidémie est déjà une violence pour la loi française.
C’est le terroriste celui qui veut faire peur, qui se vante sur Twitter et sur Snapchat sous le titre « Haram la gratuité » ( haram ce qui est interdit en arabe ) d’avoir craché au visage de ZEMMOUR et de l’avoir atteint en pleine face.
Quelques personnalités politiques courageuses ainsi que la LICRA ont dénoncé ces faits, mais à l’inverse des beaux esprits renvoient dos à dos le terroriste et sa victime.
Le parquet de Paris a fini par ouvrir une enquête mais on peut parier que celle-ci, si elle aboutit, ne donnera au final qu’une légère condamnation de principe comme ce fut le cas pour l’agresseur de FINKIELKRAUT.
Ici l’agresseur est facile à retrouver mais il n’y a pas de garde à vue alors pourtant qu’il s’est livré à des violences qui justifieraient pénalement la dite garde à vue. Le crachat est à l’heure actuelle durement sanctionné par les juridictions qui n’hésitent pas à prononcer des peines de prison ferme après des garde à vue et en comparution immédiate… mais semble-t-il pas pour ZEMMOUR !
Il parait que le Président de la République aurait téléphoné à ZEMMOUR. Dont acte, mais la seule issue dans cette affaire c’est une sanction judiciaire dissuasive. Tout ça va mal finir car c’est la liberté d’expression, l’un des fondements de la République qui est à l’heure actuelle menacée par de tels actes. Sur la vidéo c’est la peur qui transpire à chaque seconde.
Les français doivent pouvoir parler sans peur.
Raphaël Nisand
Chroniqueur sur Radio Judaïca.
En tant que médecin, je sais que la salive est parfaitement stérile, stérilise tout, sert à nettoyer, donc, il me parait difficile de courir une risque , même minime, par un crachat; quant à utiliser le mot ” violence” pour cela, lorsque des femmes, et j’en suis, se voient obligées parfois, dans des congrès de psychiatres, de passer une nuit blanche, car un confrère de 100 kg a pénétré chez elle ( 50kg, la moitié) , en les suivant, voire en volant leurs documents leur servant ensuite pour leur métier, je relativise l’emploi du terme ” violent”. Ce genre de chose n’est pas exceptionnel, et débute assez vite, souvent dès le premier stage, pour peu que l’étudiante ait quelque charmes. Dr Ch BN Correspondante de l’Académie Internationale d’Ethique Paris .
Chère consœur,
Désolé de vous contredire,la bouche est un milieu extrêmement contaminé au point que l’on interdit de suturer des morsures.
On peut hiérarchiser les violences mais memes des violences morales sans le moindre contact physique peuvent detruire quelqu’un.
Je ne comprends donc pas qu’une psychiatre fasse l’économie de cette violence qui pouvait d’ailleurs déboucher sur des coups voire plus.
Confraternellement