Sarah Cattan. Pas de Réa pour les « Vieux »? Le « décret » du 28 mars a bien ouvert la possibilité « de les aider à mourir? »

Ma position concernant le Droit à mourir dignement, les lecteurs attentifs la savent. Lors de la tragique Affaire Vincent Lambert notamment, nous en avons débattu. Mourir dignement. Mais « Pas comme ça ». « Pas comme ça ». Pas par l’entremise du décret le plus honteux qui fût. Pas dans l’indigne silence médiatique qui accompagna la chose. Tous complices d’une forme … d’assassinat, déguisé en … assistance.

Combien il me heurta, ce décret passé, ni vu, ni connu, sans qu’aucun media n’y fît allusion.

Je vous le livre à nouveau, et dis ma gratitude à mon collègue de Radio Shalom d’avoir, lui, ouvert le débat, interrogeant sans non-dits un médecin.

A chacun de lire et d’écouter.

Un décret, pour « renforcer » une … circulaire?

Comment ne pas penser que le décret du 28 mars serait … la suite attendue de la circulaire du 19 mars, laquelle, comme nous le rappelle Le Canard enchaîné, «suggérait de limiter fortement l’admission en réanimation des personnes les plus fragiles», par souci d’éviter l’acharnement thérapeutique et le manque de lits pour les plus jeunes.

Il aurait été preux d’ouvrir un débat sur le sujet. Et aujourd’hui ce décret a quelque chose … d’illégal

Mais non: cent fois, mille fois repoussé, aujourd’hui, au cœur-même d’une tragédie, on peut craindre mille dérives. Encore un « sujet » sur lequel nos dirigeants auront à … répondre. Pourquoi là? Pourquoi maintenant? Pourquoi en catimini? Le débat hautement philosophique, le seul qui eût pu permettre à chacun de choisir, ou pas, de mourir dignement, est … escamoté. Mieux: la chose est tronquée: les « Vieux » gênent. Pas d’place pour Eux en Réa.

Le décret. Chuuuut…

Décrets, arrêtés, circulaires
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA SANTÉ

Décret no 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret no 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire NOR : SSAZ2008744D
Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé, Vu le règlement sanitaire international (2005), notamment son article 1er ; Vu le code civil, notamment son article 1er ; Vu le code de la construction et de l’habitation, notamment son article R. 123-12 ; Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 3131-15 et L. 3131-17 ; Vu le code de la sécurité sociale, notamment son article R. 160-8 ; Vu la loi no 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, notamment son article 4 ; Vu le décret no 2020-293 du 23 mars 2020 modifié prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ; Vu l’urgence, Décrète : Art. 1er. – Le décret du 23 mars 2020 susvisé est ainsi modifié : 1o Au I de l’article 5, après le mot : « Guyane » sont insérés les mots : « , Saint-Pierre et Miquelon » ; 2o L’article 12-1 est complété par un IV ainsi rédigé : « IV. – Lorsqu’une telle mesure est nécessaire pour répondre aux besoins d’hébergement ou d’entreposage résultant de la crise sanitaire, le représentant de l’Etat dans le département est habilité à procéder à la réquisition des établissements mentionnés par le règlement pris en application de l’article R.123-12 du code de la construction et de l’habitation, à l’exception de ceux relevant des catégories suivantes : « – M : Magasins de vente et centres commerciaux ; « – N : Restaurants et débits de boissons ; « – V : Etablissements de cultes ; « – EF : Etablissements flottants ; « – REF : Refuges de montagne » ; 3o Il est inséré, après l’article 12-2, un article 12-3 ainsi rédigé : « Art. 12-3. – I – Par dérogation à l’article R. 5121-82 du code de la santé publique, les spécialités pharmaceutiques à base de paracétamol sous une forme injectable peuvent être dispensées dans le cadre de leur autorisation de mise sur le marché, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies à usage intérieur autorisées à délivrer des médicaments au public en application du 1o de l’article L. 5126-6 du même code, sur présentation d’une ordonnance émanant de tout médecin portant la mention “Prescription dans le cadre du covid-19”, pour permettre la prise en charge de la fièvre et de la douleur des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS- CoV-2 et dont l’état clinique le justifie. « Le pharmacien de la pharmacie à usage intérieur appose sur l’ordonnance le timbre de la pharmacie et la date de délivrance ainsi que le nombre d’unités communes de dispensation délivrées et procède à la facturation à l’assurance maladie de la spécialité au prix d’achat de la spécialité par l’établissement de santé. « Lorsqu’elle est ainsi dispensée, la spécialité est prise en charge sur la base de ce prix par l’assurance maladie avec suppression de la participation de l’assuré prévue à l’article R. 160-8 du code de la sécurité sociale. « Lorsqu’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes dispose d’une pharmacie à usage intérieur, celle-ci peut se procurer la spécialité auprès de l’établissement pharmaceutique qui en assure l’exploitation ou auprès d’une pharmacie à usage intérieur d’un établissement de santé.
29 mars 2020 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 69
« II. – Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention “Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19”. « Lorsqu’il prescrit la spécialité pharmaceutique mentionnée au premier alinéa en dehors du cadre de leur autorisation de mise sur le marché, le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la société française d’accompagnement et de soins palliatifs et mis en ligne sur son site. « La spécialité mentionnée au premier alinéa est prise en charge par les organismes d’assurance maladie dans les conditions du droit commun avec suppression de la participation de l’assuré prévue au R. 160-8 du code de la sécurité sociale. » Art. 2. – Le ministre des solidarités et de la santé est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur immédiatement. Fait le 28 mars 2020. EDOUARD PHILIPPE Par le Premier ministre : Le ministre des solidarités et de la santé, OLIVIER VÉRAN
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Merci à Radio Shalom d’avoir traité « le » sujet


Meyer Habib s’en mêla … prudemment

« CORONAVIRUS : L’ETAT D’URGENCE NE PEUT JUSTIFIER L’EUTHANASIE ! – MA LETTRE AU MINISTRE DE LA SANTE – INTERVIEW CE SOIR À 19.30 SUR I24 NEWS AVEC VALERIE PEREZ et 18H SUR RADIO SHALOMInterpellé ce matin par le témoignage du Docteur Hardy dans l’émission de Bernard Abouaf sur Radio Shalom, qui faisait part de son émotion suite au décret du 28 mars 2020 légalisant de fait l’euthanasie, j’ai immédiatement décidé d’écrire au Ministre de la Santé Olivier Véran, avec copie au Premier ministre et au Président de la République. Pris dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, ce texte facilite jusqu’au 15 avril la prescription de Rivotril injectable, un puissant sédatif qui provoque le décès. Certains vont jusqu’à soupçonner, à tort à mon sens, que cette mesure vise à désengorger les hôpitaux des cas les plus désespérés, dans un contexte d’afflux de malades ».

Des méthodes mafieuses au sein du Palais

Sont-ce des méthodes après toutes les tergiversations honteuses et la lâcheté à se positionner dans la tragédie Vincent Lambert.

Sont-ce des méthodes que ces décrets en loucedé. Sur de tels sujets.

Est-ce du journalisme que ce silence médiatique généralisé, sans doute gêné, et in fine … complice.

Assurément NON.

Militant de l’ADMD, mais « pas comme ça

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22 Comments

  1. L’euthanasie se pratique en France dans les hôpitaux tous les jours ; un secret de polichinelle dont personne ne parle, vu l’état actuel de la loi.
    On pourrait même arguer que c’est la cause principale (unique ?…) des décès à l’hôpital.
    Vu qu’avec les moyens actuels il est possible de proroger une pseudo-vie, de type (au mieux) végétal, sans fin (Cf. le cas Vincent Lambert) en raccordant un mort à une tuyauterie et en lui administrant éventuellement des médicaments conservateurs ou palliatifs.
    Ainsi il n’est pas vivant, mais il ne mourra jamais officiellement.
    Mais on ne le fait pas, car le généraliser dépenserait les ressources du système de santé au point de ne pas pouvoir soigner ceux qui sont guérissables.
    Conserver ainsi les morts générerait une hécatombe parmi les vivants.

    Bravo donc à ceux qui mettent à disposition des médecins (c’est l’objet des textes officiels cités) des soins palliatifs de nature à alléger les souffrances des malheureux pour lesquels aucun espoir ne subsiste.
    Et trêve des cris d’orfraie.

    • Où avez-vous entendu des « cris d’orfraie »? Si un décret de la sorte est publié, nous devons tous le savoir. Et c’est cette « discrétion » que j’interroge.

    • c’est simple comme bonjour il faut etre socialiste pour que ce decret soit accepter .c est ca la magouille meme pour mourir en paix ils font de la politique

  2. Je ne souhaite a personne de voir l un de ses vieux parents mourir d asphyxie en raison d un etat de détresse respiratoire du au covid 19 ,
    dans l impossibilité d hospitaliser a temps ces personnes nous devrions les laisser mourir dans la souffrance ( cf l article du Monde de ce jour)
    Le decret vise a permettre au medecin d utiliser certains sédatifs en dehors du milieu hospitalier afin de soulager la douleur de l asphyxie
    Si vous ne le souhaitez pas signez donc une decharge.
    Cette mauvaise querelle est pitoyable , surtout alimentée a des fins politiques
    Dr S Mazouz

    • On ne règle pas le problème de l’euthanasie comme ça ! Avec un petit décret l’autorisant alors qu’il a fallu des années de procédure pour débrancher un mort vivant . Personne n’a envie de voir un proche mourir asphyxié faute de respirateur . Mais ceux qui nous gouvernent nous ont menti : ils n’avaient pas de masques et ils ont fait croire qu’ils n’étaient pas utiles , ils n’avaient pas de tests et ils ont prétendu qu’ils ne servaient à rien , ils ont incité les électeurs sortir du confinement pour aller voter aux municipales. Les allemands ont eu tout juste et nous tout faux ! Alors on permettra aux médecins d’abréger vos souffrances et ce sera gratuit ! On a honte !

    • Vous avez entièrement raison, Dr. Mazouz.
      Cet article joue sur une confusion (volontaire?) entre soins palliatifs et euthanasie.
      Cela commence par le titre « possibilité “d’aider à mourir?” », qui n’a aucun lien avec les textes officiels cités qui ne parle que de soins palliatifs.
      Et le reste est à l’avenant.
      On me reproche plus haut d’user du terme « cris d’orfraie » pour caractériser cet article.
      Mais j’étais au-dessous de la vérité.

      • Vous êtes surtout arrogant et présomptueux ! Soins palliatifs et euthanasie sont différents mais le Retrovir injectable est destiné à vous éviter de ressentir l’asphyxie avant de décéder ! Ce n’est pas un soin mais un produit pour eusthanasier!

        • Le retrovir est tout à fait autre chose que le rivotril
          Et permettre a un patient de ne pas se sentir étouffer est du soin. Ils ne peuvent dans leur état se defenestrer comme le fit Gilles Deleuze.
          Allez donc passer quelques heures ou jours dans une réa plutôt que d’écrire n’importe quoi

          • On informe comme on peut . Un site d’information n’est pas une publication scientifique de savants spécialisés faisant part de leurs travaux.
            Vous appelez soigner quand vous procurez une sédation ?
            Horresco referens !

          • Juste un détail ou deux qui échappent à tous : Notre vie nous appartient. Personne ne peut l’aliéner, quelque chemin puisse -t- elle prendre. En état de crise ou pas.
            Il est une chose que de soigner pour ramener à l’équilibre de santé.
            Qu’elle serait cette autre qui consisterait, parce qu’il n’y a rien de mieux à offrir et pour leur éviter de souffrir, « d’aider » des personnes en les « sédatant » ? Le hasard veut que ce soit des personnes « fragiles » confinées en établissement, hors du soutien et contrôle des leurs familles ou proches… Déclarées trop âgées déjà, pour bénéficier de certains protocoles de soins…
            QUI décide pour elles de leur fin…
            POURQUOI ce décret est-il aussi « silencieux » ?
            COMMENT seront les suites d’un tel traumatisme psychologique pour les familles, les proches, et même le personnel soignant ?
            L’épidémie est une situations de crise, c’est vrai. Mais, il ne faut pas – dans l’ombre – en faire naître mille et une autres…
            Nous avons le droit d’être informés, nous demandons à l’être! Les dirigeants,à quelques niveaux de hiérarchie,soient-ils, en acceptant la charge à laquelle, de libre choix,ils ont postulé, se doivent d’honorer les responsabilités commençant par le devoir d’information claire et véritable tel qu’il en figure dans les textes…

  3. Cette info est à mettre en parallèle avec l’interdict Faite aux médecins de ville de prescrire de la chloroquine à leurs patients :
    Ainsi donc ce gouvernement interdit aux médecins de soigner leurs patients en leur âme et conscience, mais il les autorise à les tuer ; ceci porte un nom; j’attends les hurlements de protestations de mes confrères…

  4. Je suis suisse et nous avons accès de mourrir en toute dignité via EXIT cette association existe depuis fort longtemps, je suis membre depuis 5 années et je trouve lamentable que justement les hôpitaux continent d’administrer de soins pour garder en vie des personnes ayant déjà fait les 3/4 de leur vie – la mort fait toujours autant peur aux bons croyants !!!

  5. Il y a eu davantage de publicité pour l’attestation permettant de s’autoriser soi-même à sortir pour aller prendre l’air, de préférence en compagnie de Monsieur Discernement. Nous avons même eu droit à une démonstration hautement pédagogique d’un mauvais comédien s’agitant sur son fauteuil sous le fou-rire à peine contenu de la présentatrice.

  6. La façon dont l’épidémie du coronavirus a été gérée en FRANCE, par le Gouvernement et les Autorités sanitaires françaises (une partie des scientifiques et des médecins) est un CRIME D’ETAT, surtout vis-à-vis des personnes âgées et des fragiles tous âges (qui ont des co-morbidités) :
    -> lorsque l’épidémie du coronavirus apparaît, il n’y a ni vaccin, ni médicament
    -> depuis janvier 2020, la FRANCE ne met pas en place les moyens de prévention, ni les moyens de guérison requis pour faire face à l’épidémie
    -> pas de prévention pour la population, ni pour les personnes âgées et fragiles en FRANCE : on laisse le coronavirus contaminer la population, pas de barrière à l’entrée, manque de masques, manque de tests de dépistage, pas de mises en quarantaine
    -> pour la guérison : la FRANCE n’augmente pas le nombre de lits de réanimation (5000), ni de respirateurs
    -> la FRANCE fait l’erreur de donner le monopole du testing, de l’hospitalisation et de la réanimation à l’hôpital public, ce qui créée un goulot d’étranglement : au début, elle écarte le secteur privé de l’hospitalisation (3000 lits libres de soins intensifs et de réanimation), elle écarte les labo d’analyse médicale de ville, les 75 labo publics vétérinaires (4500 salariés) : donc le Gouvernement français fait exprès de limiter le nombre de tests, de limiter le nombre de patients hospitalisés
    -> le Gouvernement donne à l’hôpital droit de vie, droit de mort sur les patients : car discrimination dans l’accès à la santé et à la vie par l’âge : l’hôpital refuse de soigner les personnes âgées et les personnes fragiles
    -> le Gouvernement et les Autorités sanitaires (une partie des scientifiques et des médecins) n’accordent pas le droit de prescrire le protocole du Pr RAOULT par les médecins traitants en médecine de ville (hydroxychloroquine + antibiotique azithromycine) … alors que ce traitement a précisément été conçu pour soigner les malades débutants du coronavirus, dès les premiers symptômes pour éviter que leur état ne se dégrade au point de nécessiter une réanimation (lésions graves aux poumons), d’autant que l’hôpital n’accorde pas la réanimation à tous les malades.
    -> les personnes âgées qui vivent en EHPAD et à domicile : n’ont pas été protégées de la contamination, elles ne sont ni testées, ni soignées à l’hôpital qui les refuse, ni soignées à domicile ou en EHPAD car elles ne reçoivent même pas un peu d’oxygène à domicile (hors réanimation), et le médecin traitant de ville n’a pas le droit de prescrire le traitement du Pr RAOULT (hydroxychloroquine + azithromycine).
    -> par contre depuis le 28 mars 2020, le médecin traitant de ville a le droit de prescrire une injection de RIVOTRIL pour faire crever les malades du coronavirus, à domicile et en EHPAD, lesquels n’ont pas été soignés (perte de chance) : c’est un crime d’Etat
    -> or, la Loi Léonetti suppose qu’on commence par soigner les citoyens pour tenter de les guérir : et c’est uniquement en cas de maladie grave et incurable stade final, et quand le patient est mourant, que la loi Léonetti peut – si demande ou accord du patient ou de sa famille s’il est dans le coma – abréger des souffrances : or, le cas du coronavirus ne correspond pas à ce que prévoit la loi : tous les gardes-fou ont sauté : car il n’y a pas eu de prévention face à l’arrivée du coronavirus (à la différence de la Corée du sud qui a protégé ses jeunes et ses vieux contre la contamination), ensuite la population française n’a pas été soignée (la majeure partie est refusée par les hôpitaux, et n’a pas été soignée en ville) : donc les médecins n’ont pas le droit de soigner, mais ils ont le devoir de piquer les malades pour les faire crever …
    Pourtant avec de la prévention pour éviter la contamination, et avec des soins de base si la personne a les premiers symptômes, de lui donner un peu d’oxygène à domicile ou en EHPAD et prescrire le médicament du Pr RAOULT : auraient pu sauver des vies.
    Nous sommes donc en présence d’un CRIME d’ETAT en FRANCE, qui a été organisé par le Gouvernement MACRON et une partie du corps médical (le Dr Olivier VERAN ministre de la santé, et en arrière plan un certain nombre de médecins véreux qui pratiquent l’eugénisme) : on est revenu au temps de la médecine nazie

  7. Oui , en ce jour, du 24 avril,et après que la chambre des députés des USA adopta la résolution n°148, adoptant la date du 24 avril, ce jour, comme la  » journée nationale de commémoration de l’inhumanité de l’Homme ( être humain) contre l’Homme ( idem)  » je me demande si nous ne sommes pas entrain de répéter un passé atroce débuté de la même façon qu’avant-guerre, où la peur a été le motif pour laisser passer des  » lois scélérates », dont Albert Lebrun, dernier président de la IIIème République semblait le seul à s’en offusquer ! Sa femme était la cousine de mon grand-père si certains l’ignore encore. En tant que médecin, je suis autorisée à tuer avec du Rivotril, ce que je ne ferai pas, car il y aura jugement quand ces auteurs de décrets « inhumains » tomberont. Je ne cesse d’avertir mes confrères sur les conséquences de leurs actes qui les engagent. Les Justes ont su désobéir pour sauver des vies, songeons-y !

  8. Cette manière de faire passer en douce une mesure aussi importante est très inquiétante. Valable jusqu’au 15 avril seulement ? Est ce que cette mesure a été prorogée ? Le plus inquiétant est que le malade et sa famille ne sont pas associés à la prise de décision de finir la vie. C’est la porte ouverte à l’euthanasie pratiquée de façon courante pour toutes les personnes âgées ou handicapées, même si elles ne sont pas en fin de vie.

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  1. Scandale : un décret du 28 mars autorise l’euthanasie en France

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