Pas de quoi choquer l’activiste LGBT Jena Selle, colistière insoumise dans le 19e arrondissement, qui a partagé les photos de la plaque, désormais surmontée d’un tag militant.
C’est une photo que Jena Selle, militante LGBT et candidate aux municipales dans le 19e arrondissement de Paris, aux côtés de l’insoumise Danielle Simonnet, pourrait regretter.
Alors que la marche féministe organisée samedi soir dans plusieurs villes de France, dont la capitale, à la veille de la Journée internationale des droits des femmes, a déjà beaucoup fait réagir, notamment pour les violences survenues en fin de cortège, une image partagée sur les réseaux sociaux pourrait desservir la cause féministe.
« Comportement indigne »
En cause, la photo d’une plaque commémorative dédiée à des étudiants juifs déportés durant la Seconde Guerre mondiale, partagée par la militante transgenre insoumise. Au-dessus, la devise « Liberté, Égalité, Fraternité » se retrouve amputée de sa dernière notion, rayée d’un tag, remplacée par « Adelphité », terme préféré des féministes pour ôter le caractère masculin de la fraternité.
Problème : le lieu choisi, manifestement dédié à la mémoire des juifs déportés durant la guerre, n’était pas opportun.
« Être fière que la plaque commémorative d’étudiants juifs morts en déportation dans les camps nazis soit profanée, bravo à la candidate de DécidonsParis19 Jena Selle ! », a félicité, ironique, une internaute, qui se présente dans sa bio Twitter comme une « lesbienne radicale bien visible ». D’autres internautes ont également dénoncé « un comportement indigne ».
Ces néo féministes sont de vraies feminazies…Quelle honte. Jetez un coup d’œil sur les sites néo féministes : tous font partie de la sphère indigéniste. Les néo féministes blanches : la haine de soi a l’état pur.