HIER APRÈS MIDI J’ÉTAIS ENCORE AVEC LUI.
Avec Catherine et Nebia deux amies du journal. Il a participé à notre conservation sur le déménagement du journal. « Ça va être dur » a t il dit en apprenant que la rédaction serait réorganisée en open space !
Nous nous sommes quittés à 18 heures. il est mort à 21 heures. Il avait encore toute sa tête. Il m a dit « vous m’appelerez demain comme d’ habitude ». Ce matin au journal toute la rédaction a appris la nouvelle avec une grande tristesse. Le 21 juillet 2020 il aurait eu 100 ans. Il n’arrêtait pas d’y penser. « Centenaire ! vous vous rendez compte !! Faut que je tienne jusque là ! On verra. »
C’est tout vu.
Alain Chouffan
Jean Daniel m’a accompagnée depuis le lancement de son journal, autant dire toute ma vie. Je lui souhaite de tout coeur de reposer en paix et de continuer à nous inspirer avec sa sagesse et sa hauteur de vue.
Sage oui mais pour lui et ses idées
Pour les siens c’est un traitre qui a trahi ses amis français d’Algérie avant pendant et après l’indépendance d’un état construit avec le sang des pieds noirs
Puis il a remis le couvercle en recevant le terroriste Arafat celui qui jouait un double langage , à nouveau il s’est comporté comme un traître avec ceux qui avaient lutté pour leur survie:Israël
Il a vécu longtemps mais ses coreligionnaires ne le regretterons pas et là haut on l’attend pour lui demander des comptes sur ces articles et ceux. de safille attisant la haine criminelle par le mensonge et legetimznt par ses écrits et ses actes les assassins arabes terroristes
Non Ben Said était un arabe mais plus un juif et jamais un pied noir
C’était un opportuniste et calculateur qui lui a permis d’être du côté du pouvoir et ne défendant pas comme Camus lieux qui étaient en danger
Je ne dirai rien de méchant mais aucun regret de sa disparition pour ce traitre de ses amis et ses frères
Jean Daniel était un très grand journaliste .L’ Express puis Le Nouvel Observateur ont été les magazines les plus lus des 50 dernières années et ses éditoriaux et ses analyses ont participé à l’installation en France de la social démocratie. Il était de gauche mais il n’a jamais été communiste . Il a préféré Mendès à Mitterrand , Rocard à Mitterrand . L’Algérie, il avait compris parmi les premiers qu’il fallait lui donner son indépendance et s’en aller sans se retourner . Pour Bizerte il était du mauvais côté, celui des Tunisiens qui voulaient humilier la France pour se refaire un visage anti colonialiste , Et sur ‘l’Etat d’Israël , il était trop coincé par sa judéité pour en dire le bien qu’il devait.
C’est dur pour un petit juif algérien d’être le maître à penser de l’aristocratie de la gauche germano- pratine !
C’est toujours dur pour un juif !