Anna-Nina Bizougli. Sa visite à Yad Vashem. Et les mots du poète soufi Rûzbehân

Yad Vashem


Libération d’Auschwitz
Journée souvenir.
Quand l’épaisse fumée assombrit nos cœurs , embrume nos cerveaux , il y a toujours une fleur de la mémoire qui pousse ça et là …

L’amour ne sera jamais enterré, la fraternité non plus !

Les mille fleurs de la mémoire seront toujours FLORAISON…, floraison qui évoque la jouvence d’un peuple qu’on a voulu effacer …

Ses descendants ont grandi , porté fleurs et fruits, prodigué joie , abri , consolation et amitié …, Quelque chose de majestueux lancé comme un défi , une mémoire indestructible !

Une mémoire impliquant dignité et fidélité à ce qu’ils furent , étaient , sont , et seront!

Mémoire ne peut guère faire revenir ce qui fut, mais Mémoire fait revivre les chers disparus !
Toute mémoire est AMOUR , langue d’amour, et quand on perd la mémoire , l’amour s’amenuise…

Aujourd’hui , plus que jamais , j’aurais voulu être au bras de Catherine Guez et Fradji Guez, comme il y a trois ans , à YAD VASHEM, à célébrer la libération d « Auschwitz.

Si la fraternité s’annonce difficile, il faut la renforcer, si elle s’annonce impossible, il ne faut pas y renoncer, il faut s’y consacrer !

A ce jour anniversaire, et depuis, nous répétons à l’envi … PLUS JAMAIS ÇA!
Je finirai sur ces mots du poète et philosophe perse Rûzbehân (روزبهان بلقى شيرازى ) de Shiraz :
« L’oiseau de l’âme vole dans le monde de l’amour grâce à la  nourriture de  l’espérance… L’espérance c’est la demeure des hommes  des paradoxes,  c’est la monture des migrateurs, c’est l’équipage des fidèles d’ amour« 

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1 Comment

  1. La poésie peut être un rêve délicieux…
    Mais l’islam, y compris le soufisme, n’en demeure pas moins d’inspiration démoniaque…cad infra-humaine.

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