L’affreux dénouement de l’affaire Sarah HALIMI vient opportunément nous rappeler que la justice baisse très souvent les bras devant les assassins de Juifs.
Il y a certes derrière tout cela une forme de pleutrerie politique mais la loi pénale française encourage actuellement cette fuite judiciaire devant ces procès à risque.
C’est donc à la loi qu’il faut s’attaquer car elle est mauvaise. Une loi ça se change, il suffit pour cela d’une volonté politique et d’une majorité parlementaire courageuse. C’est pas gagné…
Que dit la loi ?
L’Article 122-1 du code pénal dispose :
« N’est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes ».
La majeure partie des agressions commises par des islamistes illuminés conduit les experts psychiatres à poser ce diagnostic des troubles psychiques qui rendraient l’agresseur pénalement irresponsable.
Les psychiatres ne jugent pas. Ils décrivent un état mental et ils se font rouler dans la farine.
Les faux déséquilibrés que les psychiatre croient diagnostiquer répondant en fait à des injonctions djihadistes d’attaquer tous les kouffars et à un agenda politique dicté par les frères musulmans.
L’article L122-1 du code pénal leur donne juste les moyens de l’impunité car une fois à l’hôpital psychiatrique ils échappent totalement à la justice et peuvent ressortir n’importe quand.
L’article L122-1 permet aussi à la justice française et aux politiques de se planquer derrière l’irresponsabilité pénale pour ne pas affronter l’entreprise islamiste.
On est dans une stratégie d’évitement et on d’affrontement.
A Strasbourg un homme disposant d’un casier judiciaire à rallonge a attaqué en 2011 un homme Juif dans la rue à l’arme blanche en criant allah akbar.
Déclaré irresponsable, après avoir purgé 18 mois de prison, il a été remis aux psychiatres et relâché peu après. Puis il est resté à Strasbourg au vu et au su de tous en violant une interdiction de séjour de 10 ans prononcée à son égard.
C’est ainsi qu’en 2016 le même criminel a attaqué à nouveau un homme Juif à Strasbourg à l’angle avenue des Vosges, Boulevard Clémenceau avec un couteau à longue lame aux cris d’allah akbar. Il l’a poignardé dans le dos le blessant grièvement. A ce jour, la victime ne s’en est pas remis.
L’homme, après avoir purgé 3 ans de détention provisoire vient d’être remise aux psychiatres sur décision de la Chambre de l’instruction de la Cour de Colmar . Son irresponsabilité pénale proposée par les psychiatres a été validée par le juge d’instruction et le parquet puis par la Cour d’appel à l’instar de ce qui s’est passé dans l’affaire SARAH HALIMI.
Il y a donc fort à parier qu’il pourra sortir bientôt et attaquer à nouveau le premier Juif qui passera devant son couteau.
Ces errements judiciaires et politiques deviennent insupportables pour la quasi-totalité de la population.
Chacun comprend qu’il ne s’agit pas à proprement parler de déséquilibrés mais d’agresseurs motivés par l’islamisme radical.
L’état islamique et les salafistes demandent en effet à tous les musulmans d’attaquer à l’arme blanche ou par tous moyens tous les non musulmans appelés kouffars .
Cette terreur programmée répond donc bien à des demandes politiques radicales.
Les psychiatres ne peuvent pas comprendre l’inadaptation de l’article L 122-1 au monde actuel.
Chaque français sait qu’un djihadiste n’est peut-être pas quelqu’un de très normal mais il faut le traiter en djihadiste et non en déséquilibré.
Il est d’ailleurs à noter que pour l’agresseur de Strasbourg tous les nombreux faits délictueux qui lui ont été reprochés ont amené à des condamnations pénales.
En somme ce n’est que quand il attaque des Juifs au couteau en criant allah akbar qu’on le soumet à expertise psychiatrique et qu’il se retrouve libéré sans condamnation . Comprenne qui pourra.
Le ras-le-bol monte dans tout le pays et malheureusement seules une partie de la droite et l’extrême droite semblent prendre en compte ce ras-le-bol mais pour de mauvaises raisons.
Il est donc grand temps d’arrêter le bras des assassins. Quand ils sont en prison ils ne tuent pas et on peut aussi les soigner en prison si tant est qu’ils aient besoin de soins.
Il faut abroger ou modifier en profondeur l’article L 122-1 du code pénal car il s’impose au juge et rend donc la justice française impuissante face au djihadisme.
C’est malheureusement cela la leçon définitive de l’affaire SARAH HALIMI.
Quant au pourvoi en cassation que compte introduire les avocats de la partie civile je suis prêt à prendre les paris. La cassation n’est pas un troisième degré de juridiction.
L’arrêt sera confirmé, le pourvoi en cassation rejeté et nous aurons encore perdu du temps pour nous attaquer au seul enjeu qui vaille : CHANGER LA LOI.
Raphaël Nisand
Chroniqueur le lundi matin 8H30 sur Radio Judaïca.
Ce n’est pas la loi qu’il faut modifier. Mais il faut sanctionner cette jurisprudence qui est en train de s’installer. Bientôt on piurra écraser des gens en invoquant le fait qu’on était en état d’ivresse.
EFFECTIVEMENT. Il faut changer l’Article 122-1.
En l’état le système judiciaire a, non le droit mais le devoir, de renvoyer un assassin djihadiste en hôpital psychiatrique pour qu’il soit, in fine et même assez rapidement, libéré par les « médecins ».
SURTOUT ayant agi sous l’emprise de drogues.
MAIS.
Si je conduis ma voiture sous l’effet de cannabis et j’écrase un piéton ayant traversé sur un passage piétonnier, ma prise de drogue serait considérée comme une circonstance aggravante et je serais lourdement condamné.
Alors que si sous l’effet de cannabis je jette Sarah Halimi du balcon à sa mort après l’avoir torturée, ma prise de drogue serait considérée comme une circonstance atténuante quitte à me faire in fine libéré par les « médecins » conformément à l’Article 122-1.
C’est donc plus compliqué que ça.
Il serait utile d’avoir un avis juridique compétent et non seulement celui d’un chroniqueur de Radio Judaïca.
Sachant qu’une nuée d’avocats (des parties civiles mais non seulement) et d’autres juristes tournait (tourne toujours) autour de cette affaire depuis avril 2017 et personne n’a encore publiquement demandé la modification de l’Article 122-1.
Il doit y avoir une raison.
Oui, et lorsque un documentaire comme « Salafistes », est diffusé, et distribué, qui montre bien la pensée des gens interviewés, qui ne sont pas fous, le documentaire est mis par la commission du cinéma, sous X.
La raison est simple..ce n’est pas l article 122-1 qu il faut changer c est l,état d esprit et la corruption de notre pseudo appareil judiciaire au nom de la morale et de la vraie justice
Celle qui a eu l outrecuidance de prononcer ce verdict n à rien à envier au tribunal ayant condamner Dreyfus
Il faut cesser de se voiler la face, la magistrature en France est vérolée par une bienveillance islamogauchiste nauséabonde qui ne veut plus défendre se Juifs parce que Juifs ,sinon comment expliquer cette odieuse mansuétude envers les assassins radicalises,par contre un Balkany se retrouve immédiatement en prison alors qu il autait fallu que la justice le fasse rembourser tout ce qu il a fraudé avec d énormes pénalités,mais la sanction ,pour l exemple est totalement inadaptée et grotesque..
Ou alors si on veut aller dans le sens de l exemple il aurait fallu PENDRE sur la place publique les assassins de Sarah Halimi et de Mireille Knob
Il y a de quoi s angoisser pour les Juifs vivant encore en France
Bon, j’ai vérifié. La citation de l’article 122-1 ci-dessus est très partielle.
En effet, il joue à couper des cheveux en quatre. C’est inutile voire nuisible pour la justice mais très utile pour nourrir des armées d’avocats, juristes, psys et politiciens.
122-1 distingue entre l’abolition et l’altération du discernement ; flou artistique à l’origine des divergences entre psychiatres dans le cas qui nous préoccupe :
« N’est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes.
La personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes demeure punissable.
Toutefois, la juridiction tient compte de cette circonstance lorsqu’elle détermine la peine et en fixe le régime.
Si est encourue une peine privative de liberté, celle-ci est réduite du tiers ou, en cas de crime puni de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à perpétuité, est ramenée à trente ans.
La juridiction peut toutefois, par une décision spécialement motivée en matière correctionnelle, décider de ne pas appliquer cette diminution de peine.
Lorsque, après avis médical, la juridiction considère que la nature du trouble le justifie, elle s’assure que la peine prononcée permette que le condamné fasse l’objet de soins adaptés à son état. »
Ensuite, on trouve (source Légifrance) au moins une quarantaine d’autres textes juridiques liés à la chose.
Bref, compliqué. La Justice en l’état ne pouvait que déclarer Traoré inaccessible à la sanction pénale.
La divergence entre psychiatres ne pouvait, aux yeux de la Justice, qu’être un cas de présomption d’innocence.
Perso, si j’avais à abroger quelque chose, ce serait la prétention des psychiatres. Leur discernement est manifestement aboli.
C’est écœurant et abject! Pauvre femme massacrée par ce monstre qui va s’en sortir et pouvoir recommencer !
« Pardonnez leur car ils ne savent pas ce qu’il font »
Non ils savent très bien et jamais iun musulman n’a tué un autre musulman en criant Allah U Akbar! Ils tuent des juifs, « hayoud hachek » donc ils savent distinguer leur proie qui deviendra leur victime ! La loi interdit de punir celui qui ne savait pas ce qu’il faisait ! Mais tous ceux qui ont tué leur compagne ne « savaient » pas ! La colère est une folie . Pourquoi punir des hommes en fureur et souvent alcoolisés et soigner un tueur sous cannabis ?
Non ça ne tourne pas rond et c’est bien un anti sémitisme insidieux mais évident dont il s’agir !
André Mamou, Vous reliez ici cette phrase au jugement rendu dans ce procès comme si elle disait que la justice peut être satisfaite sur la base du simple fait qu’il suffit à des experts et à des juges de dire d’un meurtrier qu’« il ne savait pas » pour que ce dernier soit pardonné, par conséquent exempt de tout châtiment. Or voici la phrase complète : « Jésus dit : Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. » (Bible, Luc 23, 34). Jésus prie au moment de son agonie sur la croix à Golgotha. Jésus était ici la VICTIME dans le procès sur accusations suivantes : « Les Juifs répondirent à Pilate : Nous avons une loi ; et, selon notre loi, il doit mourir parce qu’il s’est fait FILS DE DIEU… et ROI D’ISRAËL…» (Jean 19, 7 et 15). Ainsi « FILS DE DIEU » égal blasphème et « ROI D’ISRAËL » égal imposture.
Dans son contexte biblique, cette prière a été faite en faveur de :
– « Les passants blasphémaient contre Jésus» ;
– « Les principaux sacrificateurs, avec les scribes et les anciens d’Israël, se moquaient aussi de lui» ;
– « Les brigands crucifiés avec Jésus, l’insultaient» ;
– « Les soldats aussi s’approchèrent pour se moquer de lui» ;
(Levi-Matthieu 27, 39-44 ; Marc 15, 29-32 ; Luc 23, 36)
Jésus a prié DIEU. Par conséquent voyons ce qu’il en a été de l’exaucement qui appartenait à DIEU seul :
– «L’UN des BRIGANDS (crucifiés avec Jésus) dit : Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton REGNE. Jésus répondit : En vérité, aujourd’hui je te le dis, tu seras avec moi dans le Paradis. » (Luc 23, 41-42)
– « Il était déjà environ la sixième heure, et il y eut des ténèbres sur toute la terre, jusqu’à la neuvième heure. Le soleil s’obscurcit, et le voile du temple se déchira par le milieu. Jésus (…) expira. LE CENTENIER, voyant ce qui était arrivé, GLORIFIA DIEU, et DIT : Certainement, cet homme était JUSTE. Et tous ceux qui assistaient en FOULE à ce spectacle, après avoir vu ce qui était arrivé, s’en retournèrent, SE FRAPPANT LA POITRINE. » (Luc 23, 44-48)
– « Mais Jésus, ayant poussé un grand cri, expira. Le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas. LE CENTENIER, qui était en face de Jésus, voyant qu’il avait expiré de la sorte, DIT : Assurément, cet homme était FILS DE DIEU. » (Marc 15, 37-39)
– « LE CENTENIER ET CEUX QUI ETAIENT AVEC LUI pour garder Jésus, ayant vu le tremblement de terre et ce qui venait d’arriver, furent saisis d’une grande frayeur, et DIRENT : Assurément, cet homme était FILS DE DIEU. » (Levi-Matthieu 27, 54)
Dieu a fait éclater la VERITE de manière extraordinaire. Et du coup, face à cette vérité, ces deux accusations sur lesquelles le procès s’était fondé s’avéraient FAUSSES. Par conséquent, seuls ceux qui, effectivement REELLEMENT « ne savaient pas ce qu’ils faisaient », ET qui se sont inclinés d’emblée devant la manifestation de la JUSTICE DIVINE, ont été PARDONNES, ceux qui ont reconnu et confessé Jésus « FILS DE DIEU » et « ROI D’ISRAËL ».
La plupart des gens utilisent ces paroles de manière incomplète et hors contexte. Donc rien d’étonnant à ce que, mal utilisées car mal comprises, ces paroles produisent chez certains de la colère, et chez beaucoup d’autres de la moquerie, du mépris allant jusqu’à la rébellion contre Dieu et son rejet. Alors que le pardon DIVIN n’a pas été gratuit mais CONDITIONNEL…
Quelle sanction pour les magistrats ayant instruits ce procès
Il,faudrait mettre en place une autorité civile totalement indépendante de la magistrature pour juger et éventuellement disqualifier certains magistrats,indignes d exercer cette fonction