L’Organisation de la Coopération islamique nous a déclaré officiellement une guerre impitoyable, par le biais de la Stratégie de l’action culturelle islamique à l’extérieur du monde islamique de l’ISESCO (2000) déjà citée dans ces colonnes; mais les gouvernements successifs de la France n’ont pas voulu en prendre acte, le faire savoir à la population, se considérer en état de siège et adopter des lois d’exception pour contrer la politique de conquête des 56 États de l’OCI et de l’Autorité palestinienne. Quel autre nom cela porte-t-il que celui de collaboration passive? Si les apparences sont encore sauves, c’est que les fauteurs d’attentats islamistes ne se réclament pas de l’Arabie saoudite (par exemple) ou d’un autre État-membre de l’OCI mais de Daesh. Pourtant les mailles du filet qui permettraient de contrer efficacement ces attentats sont si lâches, qu’on peut à bon droit se demander s’ils ne sont pas les signes avant-coureurs de l’implantation officielle et non plus officieuse de l’OCI en Europe et en France, à l’occasion de l’impuissance déclarée de l’Etat français (en particulier) à contenir ces attentats et de l’appel du PR, évidemment dépourvu de toute efficacité, à la vigilance de la société civile.
Des signaux forts à l’appui de notre hypothèse
Après les incendies de Lubrizol et de Villeurbanne qui semblent n’être que les premiers d’une litanie à venir, les pouvoirs publics nous ont rassurés : malgré la haute toxicité des produits qui ont pris feu, l’air n’en avait pas été imprégné et était resté aussi pur et sain qu’avant les incendies. Le bon peuple, hormis quelques grincheux, s’est réjoui car il était passé à côté de catastrophes industrielles ! Ouf : on a eu chaud.
La question de l’identité des incendiaires ne doit pas être posée, pas plus qu’à la suite de l’incendie de la cathédrale de Notre-Dame, car cela apporterait de l’eau au moulin de Marine.
L’inénarrable Castaner
Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur, interrogé par les députés à la commission des lois de l’Assemblée nationale en direct sur BFMTV le mardi 8 octobre après-midi, à la suite du énième multiple assassinat de représentants de l’Etat par un musulman, nous apprend que sur 40 policiers « radicalisés » vivant normalement leur vie dans la Police française, il y en a 21 « qui sont partis » ( à leur demande? Par quel moyen? Et où ils vivent ? À côté de chez moi? Aux Bahamas? Dans mon lit ?); mais 19 officient encore ès qualité : les indices qui les caractérisent sont faibles dit Casta. Parmi les signes forts, il énumère: « il porte la barbe »; « il a, je cite « une pratique de l’islam particulièrement exacerbée en période de ramadan » (qézaco « exacerbée » ? Il se roule au sol dans son kamis et revient tout gris ? Il hurle Allahu Akbar aux quatre vents? Il coupe des têtes sans prévenir ? Il apporte son chameau dans les services secrets de la DRPP en prenant les escaliers plutôt que l’ascenseur ? Il n’offre pas de partager son couscous avec ses collègues non-musulmans ? ) ; « fait-il encore la bise ? » (sic) (sous-entendu aux femmes? Aux petits nenfants? A son tapis de prière?) là encore s’il ne la fait pas ça doit inquiéter profère le ministre, dont on se demande s’il ne va pas bientôt nous citer la couleur des selles du suspect. Casta est formel et on sent qu’il est en charge. Et ce qu’il dit c’est pas n’importe quoi ! Par contre là où ça ne rigole plus c’est qu’on sent un fumet de jouissance perverse dans l’amollissement de cet exécutif et de son gouvernement, un plaisir devant le sang versé qui se dissimule à peine dans le lymphatisme infantile du verbe du ministre de l’Intérieur et des coups de menton pseudo-volontaires du PR. Et là, on frissonne, parce qu’on est pour de bon dans l’Incontrôlable d’un attelage fou qui nous mène tout droit en enfer.
Et les signes « faibles » au nom desquels les 19 autres « faiblement radicalises » continuent leur carrière comme des radicaux libres dans l’air après Lubrizol, c’est quoi? Casta nous l’a pas dit et on s’interroge : un coup ils font la bise, un coup non ? Ils portent qu’une barbe de deux et non de trois jours? Ils pratiquent l’islam sans exacerbation en période de ramadan c’est-à-dire en allant prier 5 fois par jour dans une mosquée salafiste mais sans se faire remarquer plus que ça ? Parce que tu vois en France les mosquées salafistes prospèrent librement – on dit qu’elles sont 200 et 80 rien qu’en région parisienne. Librement elles prêchent la haine de la République et l’assassinat de tous les non-fanatiques-musulmans et non-musulmans avec l’accord de notre État. C’est pas beau ça ?
Les 19 en question on voit qu’il les a en main, Casta et qu’avec lui ça ne prend plus : mon Dieu, on croyait en avoir fini avec Flamby, et on s’est pris Mollo-Shamallow. Quand on l’écoute on n’a qu’une envie: lui donner son quatre heure pour qu’il arrête de nous faire pitié en défendant son beefsteack dans un rôle qui lui va comme un gant a un manchot.
Laurent Nunez secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur enchaine dans la foulée et nous assure que « jamais on n’en a autant fait que maintenant pour la sécurité intérieure…Mais le problème c’est la détection ». C’est comme pour les dioxines chlorées bien cancérogènes dans l’air de Rouen : INDÉTECTABLES! Ben ouais : c’est un problème de lunettes, être taupes à ce point pour des taupes ça a de quoi faire rêver. On va se cotiser pour leur en acheter, à moins que ce soit un problème non de vue – parce que le Michaël ils l’avaient sous le nez – mais d’envie de ne pas voir… pourquoi alors ? Parce que la situation est tellement pourrie qu’on en ferait des cauchemars si on voulait savoir. C’est la seule explication plausible : un syndrome de non-vouloir-savoir et de non- vouloir-voir. Et de là de nouveau on arrive à quelque chose de rassurant un peu comme quand on se dit que la situation est désespérée mais qu’elle n’est pas grave.
Malgré les apparences c’est là que les gens les plus émotifs se calment : il n’y a plus à se tortiller ou à se cacher derrière quoi ou qu’est-ce, désormais : il va falloir se battre parce qu’on est dos au mur.
L’Etat macronien : impuissant ou rallié à l’insu de son plein gré au projet de l’OCI?
Les questions au ministre se poursuivent dans la salle de confinement du ministre et des députés à l’Assemblée nationale qui fait un peu office de salle de décontamination pour personnel politique mouillé jusqu’à l’os par la complicité avec l’islam politique depuis 1973 et le pacte d’Eurabia documenté avec précision et sobriété par Bat Ye’Or, dans son livre Eurabia. L’axe euro-arabe (Jean- Cyrille Godefroy, 2005) qu’on cite toujours – quand on le cite – en se bouchant le nez. Le pacte avec le diable, on voudrait qu’il n’existe pas, alors on ostracise celle qui l’a, la première, documenté et dénoncé.
Eric Diard, député LR des Bouches du Rhône, est l’auteur d’un Rapport
d’information sur les services publics face à la radicalisation présenté le 27 juin 2019 à l’Assemblée
nationale et qu’on peut lire en ligne 1. Il en a gros sur le cœur. Explique
qu’il y a un problème majeur qui est l’absence de possibilité de révocation des
membres de la police pour radicalisation. C’est encore une fois l’inadaptation
des lois pour temps de paix, alors que nous sommes en temps de guerre, qui est
soulignée.
Emmanuelle Ménard, non encartée, mentionne les 200 mosquées radicales en
France: qu’a-t-on prévu pour les mettre hors d’état de nuire? Dans ces mosquées on appelle à trucider le
mécréant et à faire tomber la France dans l’escarcelle des dictateurs de la
Sharia, comme une bonne terre d’islam qui se respecte. Rien n’est fait pour les
fermer ou pour en interdire les prêches. Pourquoi ? Parce que. Si on te demande
tu diras que t’en sais rien. Les islamistes eux non plus ils savent pas
pourquoi. Et eux ils comprennent que la République eurabienne leur offre un
boulevard et ils ont appris que partout où il y a des ventres mous ils ont le
devoir d’en profiter. C’est marqué dans le Coran et ils font ce qui est marqué,
si nous on veut plus faire ce qui est marqué à l’article 35 de la loi du 9
décembre 1905 et dans toutes nos lois qui traitent de l’Etat de droit.
Sébastien Huygue député LR du Nord fait le rapprochement entre Lubrizol et
Michaël Harpon; il le fait au nom de l’insécurité croissante sous diverses
formes en France sous le ministère de Casta. Il lui demande s’il se sent toujours
légitime à son poste. Ma conscience (eurabienne ?) est irréprochable répond
l’intéressé.
Dupont -Aignan, député de l’Essonne, président de Debout la France, demande combien il y a de mosquées islamistes en
France: il a un doute sur le chiffre de 200 – et il fait remarquer qu’elles
sont interdites dans certains pays musulmans. Que l’important ce ne sont pas
les signalements de ces mosquées mais leur éradication. Casta ne donne aucun
chiffre, ne promet aucune éradication. La
liberté d’expression, appelant à tuer au nom d’Allah doit être protégée coûte
que coûte, comprend-on.
D’autres indices
Olivier Toscer journaliste et documentariste co-auteur avec Nicolas Beau de Dans l’œil des RG (Robert Laffont, 2019) avait le matin même sur BFMTV expliqué que les mosquées salafiste sont sous l’œil du Renseignement territorial (RT, ex-RG). Le RT est vu comme la piétaille, le prolétariat du Renseignement. La DGSI (Direction Générale de la Sécurité Intérieure) qui détient le Service anti-terroriste n’écoute pas le Renseignement territorial qui a moins de moyens et travaille sur les signaux faibles de radicalisation.
Il existe un manque de coordination entre ces divers services. De la vient leur inefficacité. L’Etat est aux abonnés absents. On est en guerre. On dirait pas.
Sur CNews, à l’Heure des pros, ce même mardi 8 octobre au matin, Abdallah Zekri, délégué général du CFCM, « condamne » le terrorisme mais simultanément s’exclame « si je veux donner une demi-part d’héritage à ma fille et une part complète à mon fils ça me regarde! » (sic). Devant les protestations, il faut dire, modérées des autres invités – et on les comprend car les transgressions patentes à la loi créent toujours un effet de sidération, plus elles se font dans les derniers des lieux où on s’y serait attendu, médias, universités, services secrets – pour signaler à l’intéressé qu’en France il doit au contraire se plier à la loi française, il se rétracte hypocritement en disant que « certains » ne veulent pas respecter la loi tout en vivant sur le sol français. Les autres font mine de croire à sa bonne foi et il ne sera pas pris la main dans le sac, alors qu’il vient de se dédire et de façon flagrante. Voilà ce qu’est le CFCM, un tissu de mensonges; voilà ce qu’est la prétendue liberté de parole de Pascal Praud; voilà ce qui forge le légitime mépris de nombre de musulmans pour des Français tétanisés par la peur face à la violence des musulmans militants, à la ruse opportuniste des musulmans encartés, «modérés » compris.
Pourquoi l’Etat ne fait-il rien ?
Il y a d’une part une guerre terroriste faite d’assassinats ciblés et signés Daesh et, de l’autre, une guerre de basse intensité – faite de harcèlement idéologique, d’infiltration des services publics, d’utilisation systématique des moindres failles institutionnelles de l’Etat et de ses services, comme de ses lois et de l’organisation de la société, de provocations verbales destinées à sonder la résistance des Français loyaux à la République – que nous a déclarée au nom de l’islam et par voir d’affichage internet l’Organisation de la Coopération islamique – et non les Frères musulmans, et non Daesh. N’y-a-t-il pourtant aucun rapport entre les deux? Et s’il y en a un, lequel?
Aujourd’hui tout se passe comme si les attentats spectaculaires qui éclatent un peu partout en Occident et spécialement en Europe, servaient de cache-sexe à l’entrisme institutionnel de l’islam officiel dans tous les rouages des pouvoirs étatiques. L’attention des peuples est rivée, au rythme haletant des attentats, sur « l’islam dévoyé » qui, dit-on, les a inspirés. Simultanément, les Etats apparaissent comme de plus en plus impuissants : c’est l’aveu même de Macron après l’attentat du 3 octobre, lors de la cérémonie d’hommage aux quatre victimes de Michaël Harpon, aveu qui prend la forme de l’appel à « la vigilance de toute la société » pour contrer l’islamisme; appel qui dans son manque de détails concernant la faisabilité dans le respect simultané de lois ordinaires pour temps de paix, ne va produire, et ce de manière prévisible, que la levée de boucliers d’une gauche vertueuse contre la « délation » et un abaissement toujours plus grand des seuils de vigilance. Dans le cadre de l’absence de promulgation de lois pour temps de guerre, c’est tout l’effet que de telles paroles peuvent et veulent en effet produire.
Quant aux attentats islamo-terroristes que ce déficit de mobilisation de
l’Etat, ne va faire que redoubler, ils peuvent à présent être compris comme
ayant une fonction précise, consistant à servir de diversion à des Mohamed Sifaoui, des
Abdallah Zekri ou encore des Ghaleb Bencheikh, mais aussi aux Collabos français
de l’Etat et d’amuseurs macabres des foules pour détourner l’attention des
vrais commanditaires du totalitarisme musulman avec lesquels ces « modérés »
sont en cheville, l’OCI et l’Autorité palestinienne, permettant de
laisser dans l’ombre la politique de rapprochement eurabien de l’Europe quitte
à laisser détruire tous ses acquis de civilisation et toutes ses valeurs
démocratiques, pour leur substituer un logiciel musulman, comme il se voit avec
l’apologie croissante dans les programmes scolaires d’Al- Andalus et autres
billevesées eurabo-centrées. L’Europe a cru pouvoir instrumentaliser l’Islam et
la vérité c’est qu’elle est instrumentalisée par lui, car il est plus malin
qu’elle en termes de razzias, de double langage, d’immoralité et de mensonge,
bref de sauvagerie. Le Coran non réformé n’est qu’un livre de conquête armée et
impitoyable des non-musulmans, par la vertu des versets dits
« abrogeants » de Médine qui prennent le pas sur les versants tolérants
mais abrogés de la Mecque. L’Europe est bernée par sa sotte confiance en
elle-même par mépris des peuples qu’elle avait autrefois colonisés et qui ne
font à leurs propres yeux – et secrètement aux siens – que prendre leur juste
revanche sur elle. La complicité de la gauche avec cette entreprise n’est que
le reflet de ce sentiment de « juste revanche » des « damnés de la terre ».
Oui, c’est vrai la gauche s’aveugle sur la servitude qui vient. Mais elle
entend savourer ce moment dans lequel les musulmans d’Europe se disent que leur
culture va triompher de celle de leurs ex-maîtres. La gauche n’a que cette
victoire de pacotille contre le capitalisme à s’offrir, de pacotille parce
qu’elle remet le capitalisme en selle comme jamais, c’est à dire avec la
bénédiction de la religion la plus rétrograde du monde; mais du moment que ça
fait plaisir aux musulmans des classes populaires, la gauche de Mélanchon est
preneuse, rien que pour porter un coup fatal aux ennemis déclarés du marxisme
contre lesquels elle n’a jamais gagné . Autant dire que la haine à l’état pur
sert ici de politique, ensauvage la politique.
C’est à affaiblir la démocratie, à l’offrir en pâture aux vautours de l’islam
guerrier que travaillent aujourd’hui les dirigeants européens sous des apparences
d’être là pour la défendre; ils en sont et de plus en plus, les fossoyeurs
volontaires, les liquidateurs. Ils sont des traîtres à leurs patries mais, eux
aussi, dans une liquidation de basse intensité en bénéficiant de la culture de soumission
des populations européennes dans leur large majorité (combien de Résistants et
combien de Justes en 39-45?) et en travestissant leur allégeance à l’islam en
signes purement symboliques et inoffensifs d’allégeance à la République – ce
sont les seuls signes que leur permettent encore les donneurs d’ordres, le
Qatar, l’Arabie Saoudite et l’Iran.
Dans la phase finale de ce processus, la France, au nom de la sécurité de ses
ressortissants et du combat à mener contre les terroristes, demandera, en
accord avec l’UE, le transfert de ses pouvoirs à l’instance placée sous l’égide
de l’OCI d’une Eurabia officielle, censée la défendre au mieux contre l’Etat
islamique. Toutes les venues au pouvoir
d’Etats totalitaires se sont faites au nom du rétablissement de la sécurité et
de l’ordre public après une phase d’anomie orchestrée par les franges ultra de
l’idéologie totalitaire concernée 2.
La France est redescendue, avec la complicité de ses gouvernants successifs, au
stade du tribalisme, ce que Jérôme Fourquet a appelé « l’archipélisation »
et qu’on nomme aussi « communautarisme », un terme qui signifie que les
diverses communautés qui constituent une nation s’écartent de plus en plus de
la référence à celle-ci en matière de lois et de mœurs et entendent n’obéir,
chacune, qu’à ses lois et à ses moeurs. En acceptant passivement
le tribalisme, la France se saborde chaque jour un peu plus dans ce qu’elle est
et dans ce qu’elle a conquis au décours d’une histoire sanglante faite des
sacrifices de ses enfants et dont les gouvernants se montrent indignes depuis
les accords d’Eurabia. Avec la complicité de ses élites universitaires et
notamment judiciaires. Dans l’autocensure. Désormais on ne montre plus les
visages des victimes françaises des islamistes. On fait profil bas. On peut
ainsi anticiper les niveaux qui seront descendus dans la course à la
banalisation des crimes musulmans au fur et à mesure que l’Islam conquérant
décrit dans la Stratégie de l’ISESCO, prendra ses aises dans la République:
multiplication des meurtres au cœur des armées de terre, d’air, de mer; au cœur
de tous les pouvoirs régaliens de l’Etat; simultanément, et sans réaction
aucune de l’Etat ou des réactions a
minima, comme dans les États islamiques de toute la planète. Peu à peu,
mise en place de lois criminelles comme la « laïcité d’inclusion » qui n’aura
plus de laïcité que le nom et servira à persécuter les athées et autres
« mécréants ». Introduction de commissaires du peuple musulmans dans le
Conseil supérieur des programmes de l’Education nationale avec arabe pour tous
et renforcement de l’apologétique alandalusienne. Pressions omniprésentes pour
se convertir à l’islam pur et dur sur tous les non-musulmans juifs, chrétiens,
bouddhistes, agnostiques, athées. Séparation des espaces réservés aux femmes et
aux hommes dans les piscines, les terrains de sport, les églises, la rue par la
généralisation du voilement des femmes qui voudront être quittes du harcèlement
sexuel et milicien. Déserts culturels. Épuration des bibliothèques et autodafés
des livres « impies », mise au rebut de la musique profane et
persécution de toutes les formes d’expression culturelles qui ne serviraient
pas la propagande islamiste.
Comme j’écrivais cela hier, voilà qu’aujourd’hui en regardant l’Heure des pros
sur CNews, je découvre que le Préfet de l’Oise, Amaury de St Quentin, permet
puis retire in extremis, à la demande
expresse de Casta une manifestation devant la mairie de Gonesse pour
réhabiliter la mémoire de Michaël Harpon. Cette initiative ignominieuse revient
à Traoré Hadama, islamiste patenté qui n’est plus, à ce jour libre de parler, de
distiller sa haine et de mettre son pays en danger mais qui l’a fait jusqu’à il
y a peu et notamment en déclarant que Harpon n’était pas un assassin mais un
fonctionnaire qui s’est senti discriminé par ses collègues en raison de son
handicap et freiné dans sa carrière. D’où quatre petits meurtres de rien du
tout, car il avait des raisons sérieuses d’être frustré. Ce niveau de sous-développement
moral dans lequel on justifie le fait de se faire justice soi-même à hauteur de
sa rage est proprement ce qu’on appelle la barbarie ou plutôt, le retour à la sauvagerie d’une
société autrefois civilisée. Que peut signifier l’hésitation du préfet face à
une demande d’une telle indécence, sinon la peur de représailles ? Puisque
désormais il faut que le ministre de l’Intérieur donne son feu vert pour
contenir ce genre de provocation, cela signifie que l’Etat, en la personne de
ses représentants locaux et nationaux est bien un Etat collabo, qui prend ses
ordres de l’OCI, non du peuple qui l’a mis au pouvoir.
L’ensauvagement qui progresse, scandé par les paroles sentencieuses non suivies
d’actes des politiques est le laisser- faire laisser-passer de l’islamisation
de la France sous l’égide de l’UEurabienne en marche pour l’officialisation de
son pouvoir.
Ce n’est plus qu’une question de temps.
Notes
1. http://www.assemblee-nationale.fr/15/rap-info/i2082.asp
2. La violence et la terreur de rue exercées par la SA (Sturmabteilung – section d’assaut, organisation paramilitaire du parti national-socialiste), entre 1926 et 1933, ont été précieuses pour Hitler dans sa conquête du pouvoir et immédiatement après celle-ci, au prix de plusieurs centaines d’assassinats. La SA recontra la faveur des ouvriers suite à la Grande Dépression de 1929 qui fit perdre à beaucoup d’Allemands toute confiance envers les institutions démocratiques traditionnelles. Elle rallia au nazisme de nombreux ouvriers. Le 30 janvier 1933 Hindenburg nomma Hitler chancelier. Le 27 février 1933 survient l’incendie du Reichstag, le Parlement de la République de Weimar. Dès le 28 février au nom de « la protection du peuple et de l’État » le décret dit « de l’incendie du Reichstag » (Reichstagsbrandverordnung) aboutira à l’élimination des opposants politiques à Hitler (qui avait fait croire que l’incendie du Reichstag était le fait des communistes), au démantèlement de l’Etat de droit et à la terreur d’Etat, sous l’égide de l’idéologie antisémite et antidémocratique nazie. Il n’y a aucune contradiction entre l’islam terroriste et l’islam légaliste, tout au contraire; la mise en place de la dictature du second se fera à la faveur des actions terroristes menées dans un premier temps par des groupes hors cadre officiel, et en réponse à la demande des peuples aspirant à la sécurité, fût-ce dans les chaînes de la servitude.
Si les Françaises font moins d’enfants depuis des décennies, c’est notamment parce que la mentalité française a changé depuis quelques décennies. Par conséquent, les Françaises font moins d’enfants parce qu’elles travaillent non seulement à la maison mais également à l’extérieur de la maison, et ont donc également à gérer cette fatigue liée aux contraintes professionnelles, les Françaises peuvent contrôler leurs grossesses par les moyens de contraception mis à la disposition des femmes et des hommes, les Françaises réfléchissent et, par conséquent, ne font que les enfants qu’elles peuvent nourrir et élever décemment car les Françaises ne comptent pas sur les allocations familiales pour faire des enfants, etc.