Cet après midi, j’ai vu à Montréal deux fillettes sortant d’une séance de sport de combat. Au dessus de leur tenue de sport, elles portaient un voile.
Je suis peiné pour ces fillettes auxquelles leurs parents ont appris la honte de leur corps, la culpabilité de leur chevelure.Je suis peiné pour ces deux innocents bourgeons auxquelles on a volé le printemps de leur vie, le paradis du jeune âge, la période enchantée de rêves et de douces folies enfantines. Je suis peiné pour ces douces fillettes mises vivantes dans le cercueil de l’islamisme.
Je suis peiné pour le beau Québec, le Québec des libertés , le Québec de la modernité, le Québec de la vie qui se voit assailli de l’intérieur et gravement menacé dans ce qui fait son âme, ses valeurs les plus profondes par cette idéologie du mal absolu.
Ceux qui voilent les fillettes ne sont pas des religieux, mais des enterreurs du vivant, des militants de l’islamisme sous sa forme la plus abjecte.
L’islamisme est le tombeau des libertés, un cancer pour la démocratie. Son seul but est de mettre fin à la beauté, à la vie, à la joie sous toutes ses formes.
La démocratie devrait l’identifier comme irréductible ennemi et ne pas attendre, angélique, que le monstre lui donne le coup de grâce.
Pourquoi dites-vous : l’islamisme ? Il n’y a qu’un Coran, et c’est le message du Coran que pratiquent les islamistes, rien d’autre. Tant que cela ne sera pas clairement dénoncé par les Musulmans eux-mêmes, rien ne changera.