252° mort de la présence islamiste sur notre sol, en attendant d’avoir des nouvelles des trois victimes placées en urgence absolue parmi les huit personnes blessées hier après-midi dans ce lieu hautement fréquenté qu’est la gare Laurent Bonnevay de #Villeurbanne.
C’est aussi la seconde attaque en trois mois dans l’agglomération lyonnaise, historiquement jusqu’ici plutôt épargnée par le djihad, après l’attaque au colis piégé place Bellecour le 24 mai dernier par Mohamed Hichem Medjdoub, qui avait causé 14 blessés, dont une fillette de 10 ans. J’ai une pensée pour les victimes dont ce garçon de 19 ans, l’âge où la vie commence à peine, celui où deux décennies de don des parents portent tout juste leurs fruits, j’en ai une également pour mes amis lyonnais, et pour ma famille.
J’en ai une également pour chaque citoyen français. On peut toujours s’amuser à compter les morts, comme Emmanuel Macron s’amuse à compter les trains. Le discours du refus de nommer le crime enrobe la politique du refus d’agir. Au-delà des biais sémantiques utilisés par ce gouvernement et sa majorité, qui en eux-mêmes génèrent un stress de plus en plus toxique dans la population, qui participent eux pour le coup directement à une tangible extension du racisme, il y a surtout un refus assumé de nommer l’offensive islamiste sur notre sol, qu’elle soit planifiée par une organisation terroriste ou appropriée par des quidams, pour toutes les raisons qu’on voudra, tel que c’est l’objectif de Daesh.
Il faut à ce stade rappeler que si François Hollande a toujours semblé, dès Mohammed Merah lors de sa campagne, jusqu’à son livre « Un président ne devrait pas… », en passant par le 13 novembre, en retard d’une analyse et des bonnes mesures à prendre face au djihad, il en a quand même prises de nécessaires, dont l’État d’urgence, qu’il avait alors mis en balance avec l’État de siège (article 36). Il a endossé, tout François Hollande qu’il était, apparatchik d’un parti hors-sol en préphase d’implosion, boutiquier solférinien sans réelle épaisseur, un rôle auquel aucun congrès du PS, aucune flatterie électorale en Corrèze ne l’avait préparé. Tout autre chose est la situation d’Emmanuel Macron. Lui a hérité des mesures minimums, celles de l’État d’urgence, qu’il s’est empressé de fondre dans le droit général en y ajoutant quelques bidouilles techniques, se faisant surtout fort d’être le chef d’État qui avait levé l’État d’urgence. L’actuel chef d’État n’a jamais pris une fois une décision quelconque pour combattre l’islamisme. La signification politique est lourde : c’est un appel du pied aux indigénistes, le rôle assumé de celui qui laissera l’islamisme prospérer, quitte à lui ouvrir les institutions et à punir par la loi sa critique, qui noiera dans des laïus grotesques la banalisation de nos morts, et la banalisation des coupables, par l’appui factuel du djihad à son multiculturalisme de dilution républicaine.
Effectivement, il y a eu peu d’informations, pour ne pas dire aucune, sur ce criminel, ce qui est extrêmement étonnant. Mais la presse en est la principale responsable puisque c’est elle la clé de l’information en France, elle qui en premier lieu informe, elle qui investigue. Tout cela donne à penser qu’en France, dorénavant la presse n’est absolument plus libre du tout mais véritablement à la botte de l’Etat. Par conséquent on ne peut plus faire confiance à aucun organe de presse, ni aucun journaliste. La solution : aller vers la presse étrangère, peut-être encore objective par rapport à la France, pour s’informer de ce qui se passe réellement en France.
D’accord avec vous sauf sur un point : la presse étrangère, qui soutient elle aussi massivement Macron, pratique généralement le même type de désinformation que la presse française. Le Washington Post et le New York Times véhiculent même la propagande islamiste et indigéniste. Boualem Sansal l’a dit : « les gouvernants occidentaux sont coupables d’aveuglement face à l’islamisme »…Et la presse occidentale encore plus, pourrait-on ajouter.
N’inversons pas les rôle : le racisme se trouve avant tout chez les islamistes et les indigénistes. S’il s’agit bien d’un acte terroriste visant des occidentaux en tant que tels, alors il s’agit d’un acte raciste. S’attaquer à des gens en raison ds leur appartenance ethnique, de leur couleur de peau ou de leur (absence de) religion, c’est précisément cela qui définit le crime raciste.