Il n’y a pas si longtemps, on venait vivre en ville parce que c’était mieux qu’à la campagne : plus de confort, de loisirs, de services, de soins… Ces perspectives décidaient des ruraux à s’installer dans les capitales, qu’elles soient régionales ou nationales. C’est toujours le cas, du moins en grande partie. De fait, les grandes villes de France demeurent, dans l’ensemble, agréables à habiter.
Sauf Paris. Le quotidien y a viré à l’enfer. Les malheureux résidents de cette cité, qui fut autrefois Ville Lumière, subissent l’entrelacement de transports publics bondés , de travaux sur la chaussée en nombre démesuré , d’embouteillages interminables, d’une pollution de l’air croissante, d’une insécurité sans précédent de la circulation, mêlant dans le plus anarchique désordre trottinettes, vélos, motos, voitures, bus et piétons… Le tout, en ce moment, par 40° à l’ombre.
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