La population israélienne est sous le choc après avoir appris l’enlèvement et le viol d’une fillette juive de sept ans par Mahmoud Nazmi Qatussa, un Arabe de Kfar Qadis (Binyamin) qui était employé dans l’école où se trouvait l’enfant. Les dernières informations concernant l’enquête apportent de nouveaux éléments qui rajoutent à l’horreur: l’auteur du viol était accompagné de complices qui ont tenu les bras et les jambes de la fillette durant le crime alors qu’elle pleurait, suppliait et appelait à l’aide.
La députée Idit Silman (Union de la Droite) s’indigne face au silence criant des organisations ou partis féministes: « Mes amies députées et membres d’organisations féminines! Où êtes-vous sur ce drame qui m’empêche de dormir? Tout le pays devrait élever une clameur! Les places publiques devraient être emplies de femmes qui dénoncent cet acte horrible infligé à cette fillette dont la vie ne sera désormais plus jamais la même! »
Il est effectivement scandaleux – mais pas étonnant – que ni le parti d’extrême gauche Meretz, ni la députée Aïda Toumah-Suleiman, présidente de la commission parlementaire des droits de la Femme aient gardé un silence coupable sur cette tragédie, du moment que l’identité de son auteur les place devant un dilemme.
Moshé Feiglin (Zehout) s’est dit convaincu que ce crime a été commis sur cette enfant du fait qu’elle est juive: « Est-ce que le violeur aurait osé faire cela à une fillette de Kfar Qadis où il habite? Sûrement pas, et pas seulement parce que son espérance de vie aurait été passablement raccourcie, mais parce que sa famille aurait été obligée de quitter le village. Il est certain que lorsqu’un Arabe viole une juive, il y a dans son intention et dans son acte un élément supplémentaire à celui de ses pulsions sexuelles ».
L’auteur du viol connaissait bien sa victime, parlait souvent avec elle et lui donnait parfois des confiseries. Jusqu’au jour où il l’a emmené de force dans une maison proche de l’école avec l’horrible suite que l’on sait.
L’avocat Haïm Bleicher, de l’organisation ‘Honenou, qui accompagne la famille, a déclaré: « Il s’agit d’une acte particulièremenr cruel et odieux. D’après le témoignage de la jeune victime, d’autres personnes se trouvaient là, qui l’ont insultée et humiliée pendant que l’auteur commettait son crime ».
Le parti Otsma Yehoudit et l’organisation Lehava se sont rendus près du village de Kfar Qadis pour manifester et réclamer l’arrestation des complices du violeur.
Source : lphinfo.com
Cela fait longtemps que l’étiquette « féministe » ne signifie plus grand chose. Aux USA et en Europe c’est la même chose : aucune association pseudo-féministe n’a dénoncé les horreurs commises à Telford et à Cologne, entre autres. Que la sinistre Caroline de Haas et « Osez le féminisme » puissent oser se déclarer « féministe » serait risible si les médias ne leur donnaient la parole au mépris de toute forme de déontologie et de rigueur journalistique. A l’ère de la post-vérité il faut admettre une fois pour toutes que les étiquettes des associations ou des partis sont presque toujours des impostures. Cessons de nous payer de mots qui ne veulent plus rien dire ou qui ont été récupérés sans aucun scrupule.
IGNOBLE !!!
Ce commentaire aurait dû être censuré par la modération.
En l’état il tombe sous le coup de plusieurs lois et ce journal prend la responsabilité de sa diffusion.
Pas si vite.
Ce soir le procureur israélien et la police parlent d’annuler toute la procédure faute de preuves.
En 2014 l’agression raciste et le quadruple viol d’une femme blanche à Evry n’a suscité aucune réaction des pseudo-féministes et des pseudo-associations antiracistes. C’est le même phénomène de déni et de lâcheté généralisés qui s’observent un peu partout. Tout particulièrement en Europe.
Il n’y a pas de mots pour exprimer l’horreur et la gravité de l’acte commis contre la fillette.
Tous ceux qui systématiquement défendent aveuglément les néo-Palestiniens envers et contre tout sont en grande partie responsables des actes délictueux inadmissibles que ceux-ci commettent en Israël et dans les territoires disputés suite à la guerre des six jours de juin 1968 suscitée par le fougueux Gamal Abdel Nasser sous l’impulsion des Soviétiques.
Auteur de « Mes Lettres au Monde sur le conflit israélo-palestinien », j’attends le jour où, entre autres, mes écrits seront consultés en vue d’une réconciliation générale israélo-arabe, d’une part, et israélo-française d’autre part en se rappelant la bonne entente entre les deux pays dès le lendemain du 15 mai 1948, date de la proclamation del’Etat d’Israël.
Dans la ville où j’habite, un samedi sur deux, les guignols de « Solidarité palestine » ou un truc de ce genre font leur propagande à 100 mètres de l’hôtel de ville. Ils ont la permission. Pour la plupart des vieux militants gauchistes à la retraite. Ils doivent s’ennuyer. Il faut bien qu’on les laisse s’occuper, sinon qu’adviendrait-il d’eux ? Depuis le temps, ils font un peu partie du paysage, au même titre que les parkings payants, les chantiers bruyants et pas beaux à voir, ou encore les graffitis sur les murs.