Les juifs ont rêvé leur retour sur la terre de leurs ancêtres, par Christian Rayet

Les juifs ont rêvé leur retour à leur terre d’origine pour ne plus à être traités en parias, rejetés, calomniés, maltraités. Ils ont souhaité être comme toutes les autres nations, possédant leur terre où vivre en paix et en sécurité. Depuis combien de siècles se sont-ils répété « l’année prochaine à Jérusalem »?

Après observation de la situation l’ONU a voté en 1948 une attribution d’une petite bande de territoire, peu accueillante et peu habitée, pour donner un pays aux juifs et leur offrir une société alternative, désirable et durable, au monde brisé et rempli de haine. Mais d’autres pensées montent aux cœurs de nombreuses autres nations; depuis le lendemain de la proclamation d’indépendance, c’est la guerre.

L’islam refuse encore la légitimité du retour de la diaspora juive en tant que nation hébraïque. La paix exige d’être fondée sur la réciprocité. C’est-à-dire que l’ensemble de la nation arabe, et l’islam derrière elle, reconnaissent à Israël le droit à exister sur cette terre qui lui a été donnée.

De très nombreuses accusations médiatiques européennes présentent Israël comme un monstre cruel qui porte préjudice aux palestiniens entièrement irréprochables en tant que victimes. Par la répétition de cette propagande évocatrice, la fausse image de la victimisation palestinienne s’est enracinée comme un fait dans la conscience populaire. Chaque fois qu’Israël a échangé des terres pour la paix, il a seulement gagné plus de terrorisme. Le plus visible est la bande de Gaza: depuis que le retrait unilatéral d’Israël a eu lieu en 2005, le Hamas a régné sur ce territoire en toute impunité et les attaques contre Israël n’ont cessé. Des milliers de roquettes et de missiles ont été lancés depuis Gaza contre des populations civiles en Israël.

Je ne suis pas juif mais en circulant parmi une douzaine de journaux numériques francophones du monde par jour j’observe qu’on ne considère pas les juifs, et donc Israël, selon les mêmes critères que pour les autres nations. Il y a un double standard à leur égard. Et il n’y a pas de meilleur indicateur de la santé d’une société que son attitude envers l’antisémitisme. Le Dr. Schnapper : atteste que l’antisémitisme est « l’indicateur le plus sûr d’un processus de décomposition des démocraties ». Santé donc du média qui pose le regard sur les juifs. Nos pensées et notre attitude envers les juifs augurent de nos valeurs réelles aujourd’hui et projettent celles de demain.
Dans les hôpitaux israéliens, on soigne les ennemis Syriens et leurs enfants. Une filière introduit les blessés vers les hôpitaux Israéliens. Il y a aussi que le 4.000 ième enfant africain pauvre vient d’être opéré du cœur, sans en faire propagande… Ces actions ne trouveront pas leur place dans nos médias. Pas un mot dans les colonnes de nos journaux sauf ici: « Après avoir publié une lettre ouverte durement critiquée contre l’armée israélienne suite à la guerre avec Gaza en 2014, le prestigieux journal médical britannique The Lancet a changé de ton en consacrant son dernier numéro au système de santé israélien. Le professeur Karl Skorecki, directeur de la recherche médicale et du développement à l’hôpital de Rambam à Haifa, a félicité la revue scientifique médicale britannique pour avoir changé de regard sur Israël: « Il s’agit de l’aperçu le plus complet du système de santé israélien publié dans une revue majeure », a déclaré Skorecki au sujet de la publication intitulée « Santé en Israël ».
Cette édition du The Lancet comporte dix articles qui entre autre présentent les dispositifs et appareils médicaux israéliens permettant de sauver des vies, détaillent les avancées révolutionnaires dans la recherche génétique de même qu’ils mettent en évidence les efforts israéliens pour traiter les réfugiés syriens blessés pendant la guerre civile ».

La France et l’UE tiennent à bout de bras la cause palestinienne, d’où leur parti-pris. Les Palestiniens reçoivent 20% de l’aide humanitaire mondiale pour 1,6 million de personnes en recevant entre 800 millions et 1 milliard de dollars par an depuis des décennies. L’Union européenne soutient, finance et encourage une population qui s’est donné pour but la destruction d’Israël. Les pays européens dépensent des milliards pour promouvoir avec zèle une campagne mondiale de haine palestinienne contre l’Etat d’Israël. Ils reconnaissent le terrorisme partout dans le monde, sauf en Israël, où ces terroristes sont appelés « combattants de la liberté » ou « militants » contre « l’occupation ».

Je béni Israël parce que face à la barbarie qui les cerne, il persévère à croire que le droit est plus puissant que la force.

Au sujet de l’appropriation de la Palestine, Il y a encore à lire les témoignages de Chateaubriand, Churchill, encore, qui entre autres, ont visité cette terre de désolation avant l’arrivée des sionistes et des “Palestiniens”, ils témoignent tous d’un paysage qui est désert, peu habitée. Il y a de nombreuses photographies qui rendent le même constat, puis, les artistes dont David Roberts dont les peintures montrent des lieux désolés avec des ruines, ici et là quelques soldats de l’Empire Ottoman pour veiller à la sécurité des visiteurs.

Après la Grande Guerre, les Britanniques héritèrent de ce morceau de l’Empire ottoman défait. Les citations de l’époque attestent que le pays était désolé et qu’il n’existait pas d’entité dite « palestinienne ».

Jérusalem a repris vie avec le retour du peuple juif tout comme la terre d’Israël.

Voilà pour le pays verdoyant « envahi et ravi » par les Juifs. La terre s’est peuplée à la fois de Juifs et d’Arabes, les Juifs étant revenus ils ont commencé à la réhabiliter. Chaque parcelle de terre achetée par des Juifs le fut en toute légalité. Parce que les Juifs européens ont acheté les terres sur lesquelles ils s’installaient. Les juifs autochtones vivaient en Palestine au même titre que les arabes, bon nombre de ceux-ci avaient afflué de pays voisins en voyant décoller l’économie grâce à l’assainissement, au défrichement et à l’agriculture des pionniers juifs. En 1947, Au bout d’un siècle d’une cohabitation tumultueuse entre communautés juives et arabes, l’ONU a estimé qu’après le départ des occupants britanniques il valait mieux les séparer en créant deux Etats pour deux peuples. Les juifs ont accepté, les arabes ont refusé au profit de la violence.

Il n’y aura pas de solution politique durable au conflit israélo-palestinien tant que le monde arabo-musulman ne se sera pas réconcilié avec l’antériorité de la présence juive en Terre Sainte et donc la légitimité de cette présence.

Christian Rayet

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7 Comments

  1. il faudrait installer ce programme dans les manuels d’histoire et se dire pour ceux de mauvaise foi qui contestent cette réalité que des mensonges ils sont nombreux mais qu’il n’y a qu’une vérité qui est indivisible comme le peuple juif

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