Ce n’est pas un seul après-midi que le journaliste Marc Dolisi, ancien rédacteur en chef de VSD, a passé avec Carla. Mais des centaines ! Chez elle, ou il a pris des dizaines de thé vert chez l’ex-première dame de France. La connaissant depuis plus de 20 ans, Marc Dolisi a décidé de lui consacrer un livre (“Un après-midi chez Carla” (Robert Laffont) Un livre de souvenirs depuis qu’il a rencontrée en 1996, lorsqu’elle était top model et qu’il a eu la chance d’interviewer tout au long de sa formidable carrière. Il n’a pas hésité à tout écrire sur elle, même les petites confidences. Carla n’a rien voulu lui cacher. Ce qui prouve bien qu’elle s’exprime toujours franchement, sans avoir besoin de rectifier ou de démentir. Carla, c’est la spontanéité, c’est le franc-parler, c’est la joie de vivre.
“Je suis une femme assez complexe qui a eu plusieurs vies dans une seule vie, avec des trajectoires extrêmement différentes, un destin hors du commun” a confirmé Carla, en rappelant qu’elle a débuté comme mannequin avant de s’imposer comme auteure, compositrice et interprète, sans oublier le rôle de première dame qu’elle a tenu le temps du mandat de Nicolas Sarkozy.
Issue d’une famille d’intellectuels et d’industriels aisés, Carla a des origines italiennes. “Même si elle est née avec une bonne fée penchée sur son berceau à Turin, elle a traversé des épreuves terribles “ écrit Marc Dolisi. Elle a découvert très tard que son père n’était pas son vrai père, a perdu son frère Virginio, emporté des suites du sida, Et si elle fait tout pour paraître nonchalante, c’est une vraie bosseuse”. Tous les sujets sont abordés dans ce livre. Carla croqueuse d’hommes ? “Oui, Carla a souvent été dépeinte comme une prédatrice” écrit Marc Dolisi. Elle ne s’est jamais cachée avouant préférer une polyandrie qui lui semble naturelle à une monogamie injustement monacale. Lucide, elle sait en quels termes on qualifie un homme à femmes – un don Juan – et une femme aux nombreuses conquêtes masculines – les noms d’oiseaux ne manquent pas. Elle n’a eu d’autre choix que d’accepter, avec fatalisme, cette particularité latine. Carla aime les hommes et elle aime qu’ils l’aiment”.
Qu’est-ce qui fait courir une jeune femme qui a le monde à ses pieds ? La célébrité des autres quand on est plus célèbre qu’eux ? Leur argent quand on en a davantage ? La beauté quand on est belle pour deux ? “Carla a souvent dit aimer le sexe, et prendre de plus en plus de plaisir avec les années. Cela a suffi à lui faire une réputation de femmes au corps volatil et à la liste d’amants longue comme le Mississippi” écrit encore Marc Dolisi . Après Louis Bertignac, Eric Clapton, Mick Jagger – elle ne l’avoue pas ouvertement – Arno Klarsfeld, Raphaël Enthoven – un enfant Aurélien -, elle tombe amoureuse de Nicolas Sarkozy.
Elle n’est plus mannequin, elle chante, joue de la guitare, promène sa silhouette, toujours svelte, sur les scènes mondiales. Oui, Carla est une femme heureuse. Après avoir été une femme fatale, amoureuse engagée, elle est aujourd’hui une artiste engagée. Le livre de Marc Dolisi est un petit chef d’oeuvre de confidences, d’amitié, un portrait psychologique plein de tendresse. Et qui renforce encore davantage l’admiration et l’estime qu’on lui porte.
Alain Chouffan
Je ne sais pas pourquoi mais son “destin exceptionnel” de mannequin, d’épouse de Sarkozy et de pseudo-chanteuse m’intéresse peu…
Elle est très belle , elle est restée très belle, elle a été un mannequin vedette, elle a une carrière de chanteuse au talent indiscutable, elle a été très proche de stars de la musique et d’intellectuels De haut niveau. Elle est mariée à l’homme politique que les électeurs regrettent d’avoir écarté … elle peut ne pas vous intéresser mais elle n’est pas insignifiante ! Faites un sourire !
Cher André,
Je suis d’accord avec vous lorsque vous dites qu’elle n’est pas insignifiante dans la mesure où nul ne l’est. Et je suis également d’accord avec vous lorsque vous préconisez de sourire, aussi agaçons nous avec sourire et surtout dans la concorde parce que Carla le vaut bien . Amicalement, et avec respect. Claude (vous savez qui désormais).
En tant que professionnel de la santé qui a beaucoup travaillé avec des malades du SIDA je voudrais rappeler que la monogamie monacale c’est mieux que d’attraper le SIDA. La fidélité dans le couple il faut l’encourager et non la nymphomanie comme le fait Carla Bruni. Faut il rappeler que le SIDA a fait plus de 30 millions de victimes ?
Pourquoi parler de nymphomanie et de sida ? Carla a déjà parlé de la différence entre un homme et une femme qui ont eu plusieurs partenaires, le premier est un homme à femmes et la seconde est une grue, une salope etc…et ceux qui se protègent écartent le risque du sida .
Homme à femmes ou femme à hommes, la Bible les nomme “débauchés”, tout simplement. Et si, effectivement, physiquement le risque du sida n’est pas à négliger entre mêmes gens qui tutoient la débauche, il existe aussi une autre réalité, celle de la transmission d’esprits impurs (démons) entre les différents partenaires. Car là où il y a une porte ouverte au péché, et la débauche est un péché aux yeux de Dieu, il y en a une aussi automatiquement ouverte aux esprits impurs, des démons dont le but est d’avilir la personne, de la détruire spirituellement…
Or, dans ce domaine de l’esprit, et des esprits, l’être humain n’a pas de protection contre l’invasion de ces “petites bestioles” ténébreuses autre que la repentance biblique, avec tout ce qu’elle implique…
Alors “plusieurs vies dans une seule vie”, oui ! Mais avec la mort dans toutes ces vies… Grave !
Alors là, bravo! Vous avez réussi en peu de lignes à expliquer ce qui pourrait demander des tonnes de livres, d’explications et de traités compliqués.
Et vous l’avez fait avec clarté et simplicité.
Vous êtes vraiment très douée pour la communication, faire passer un enseignement aussi ardu et si peu dans les normes du jour.
Encore une fois bravo.
Et merci.
Renée
Merci pour votre intervention qui me va droit au coeur.
A l’occasion de cette année 2019, je vous adresse mes meilleurs voeux de bénédiction divine à vous et à toute votre famille. Cordialement. Ingrid I.A.