Tout sauf Eux 2
Tout sauf le couple infernal
Les Thénardier.
Tapis en coulisses
Ces deux-là qui prétendent aimer la France et la regardent se défaire, un sourire mauvais aux lèvres.
Ils osent ! Se dire prêts.
Croient que peut-être leur heure aurait sonné. Attribuent déjà les fauteuils qu’ils rêvent vacants.
Dites-leur bien qu’ils se trompent.
Que nous sommes légitimistes.
Que si les Gilets crient bien Macron Démission, ils n’ont, que je sache, point scandé Mélenchon Au Pouvoir. Et de même pour la mégère
Ces deux-là La France n’en veut pas
Un excité, aigri, hargneux, revanchard, plein de haine : La France n’en veut mais.
Une fielleuse, fille de qui vous savez, capable d’aller valser au bras d’un néo-nazi : non plus
Les Gilets. Qui ne veulent plus de nos gouvernances successives. De leur incapacité. De leur vision du monde. De leur imposture méprisante et in fine méprisable. De leur gestion indigente qui en laissa trop sur le côté : ils nous montrent ô combien elle est intelligente, la France qu’ils incarnent. Eux qui n’ont à aucun instant succombé aux sirènes des deux autres.
Peut-être même est-ce aussi pour cela qu’ils ont réussi à rallier nombre d’entre nous. A leur cause.
Dès lors, Qu’ils se taisent, ceux qui imaginent un seul instant qu’ils pourraient être la solution.
Qui se réjouissent devant ce qui nous sidère.
Qui, sous des airs doctes et entendus, cachent mal une joie qu’ils ont décidément du mal à contenir : Paris cassé. Mais quelle aubaine pour ces deux-là qui étaient en perte de vitesse.
Que Mélenchon cesse de nous chanter qu’il est prêt.
Que sa consœur aille s’occuper de ses ouailles au lieu que d’attendre, avec une feinte sagesse, que la France fît appel à Elle.
Qu’ils cessent, elle et lui, de se bercer d’inutiles illusions
S’ils auront demain renversé quelque chose, les Gilets, S’ils auront défini une nouvelle donne, Si dans le Tri sélectif une nouvelle fosse se remplira de ce qui est néfaste pour la France, gageons que les deux bonimenteurs feront partie du lot.
Ni Lui, Ni Elle
Sarah Cattan
On a le gouvernement qu’on mérite. Pour s’en sortir il faudrait abandonner certains avantages sociaux comme les 35 heures ou les 5 ou 6 semaines de congés et aussi de nombreux jours fériés. Mais est-ce que les français le voudront. J’en doute. La france est au bord du fond de l’abîme.
Détrompez-vous, Sarah.
Vous pourriez avoir l’un ET l’autre comme en Italie.
D’ailleurs vous succombez à la jaunisse ambiante en hurlant avec les loups, pestant contre le gouvernement et caressant les gilets dans le sens du poil.
MAIS méfiance. Ils ne sont pas bien loin de la mégère ; les signes précurseurs abondent.
Justice et égalité, réclament-ils. Bonnes intentions. Le chemin est pavé et on y va tout droit.