Racisme, antiracisme. Qui est raciste ? Qui ne l’est pas ? Les polémiques font rage depuis un certain temps : électeurs ou adversaires de Marine Le Pen, électeurs et adversaires de Donald Trump, camp décolonial et afroféminisme, communautarismes, populismes, extrémismes…
En réalité, le sujet n’est pas le racisme puisque chacun est le raciste de l’autre.
Le sujet, c’est la haine. Car les haines montent un peu partout, inexorablement. Haine antisémite, sous le masque de l’antisionisme radical, haine des blancs, des femmes, des noirs, des arabes, des infidèles… LA HAINE.
Depuis quelques années, je sens cette odeur de haine que je connais si bien pour l’avoir connue dans mon enfance, cette haine qui conspire et qui transpire dans tant de familles, dans les ghettos, les résidences, les rues de nos cités.
Il serait grand temps de voir que c’est cette haine qui est le principal obstacle à la vie en commun.
Les controverses entre les religions, entre les idéologies restent à la surface. En dessous, il y a la haine : la haine de soi et la haine des autres.
Qu’est-ce que vouloir être entre soi sinon dire aux autres : Passez votre chemin. Vous nous avez fait du mal. Vous me faites encore du mal.
Mes expériences de thérapie sociale aux Etats-Unis (blancs et noirs) en Israël (juifs et arabes), en Allemagne (Pegida et antiracistes), au Rwanda (génocidaires et rescapés) m’ont prouvé que j’avais raison et que mes obsessions de toujours commençaient à prendre corps de nouveau.
Je tire une sonnette d’alarme à l’intention de ceux qui nous gouvernent, somnambules aveugles au devenir d’une société malade, préoccupés à juste titre de nos économies et de notre développement, pensant que tout pourra se résoudre par l’amélioration de nos conditions de vie .
Enfin, je veux bien croire à leur sincérité et à leur bonne foi. Mais ils sont aveugles s’ils ne voient ce qui se passe dans les têtes et les cœurs, tous assoiffés de reconnaissance et d’amour, oubliant du coup les valeurs humaines communes, désormais indifférents ou séparés des autres qui ne leur ressemblent pas, qui ne sont pas de leur tribu, par égoïsme, par besoin se protéger de toutes les souffrances vécues et de toutes les humiliations subies.
Un peuple ou des peuples, telle sera la question et cette question d’une guerre civile dans les têtes ne devrait pas tarder à émerger comme une évidence peut-être sanglante.
Je l’ai dit et je le répète : les haines montent et mettent des décennies à monter. Prenons garde aux monstres qu’elles réveillent. Avant qu’il ne soit trop tard.
Charles Rojzman
C’est tellement évident et cela a commencé avec de Gaulle et la V ieme Republique qui est en fait une monarchie
Avec le discours de De Gaulle en 1967 et sa trahison envers israel tout a commencé : avec les médias , le quai d’Orsay , les gaullistes, les vermines d FN qui ont profité de la Liberation de la parole antijuive , les intellectuels gâchis t’es et communistes voire socialiste et enfin et surtout Le patronat qui est responsable des 10 millions d’immigrés musulmans magrhebins pour les payer moins cher et cela depuis 1963 et cela continue à rythme de 200000 arabes par an
Le matraquage anti israélien d’ue France soumise aux arabe. la trahison comme le dit Yves Mamou de nos élites ont abouti à 2 peuples e France qui s’observent , mais les arabes attendront jeune génération avant de faire de la France un pays musulman apres une guerre civile sanglante
L’islam est la 11 ieme plaie car où Elle s’installe la mort et la destruction suivent
La France continue à ne rien voir, ni entendre ni parler de cette colonisation arabe et se prépare avec d’autres pays à un Sicile de ses valeurs et de sa civilisation
La france , ce qui l en reste , est ouvertement anti Israelienne depuis plus de 50 ans.
Bientot 3 generations de francais ont incurgite le narratif arabe diffuse par tous les medias , toute la societe civile participe a la diabolisation de l etat Juif , devenu le Juif des nations .
Les francais n auront pas le temps pour connaitre la verite , car l instauration de la charia privera le peuple de toute reaction .