Ce plat judéo-tunisien, préparé en faisant cuire beaucoup d’épinards pendant des heures dans une quantité généreuse d’huile, donne une petite « merveille » : « une quantité de pâte grasse aussi noire que le pétrole brut, qui sert à parfumer toutes sortes de soupes et de ragoûts », écrit le New York Times dans un article publié hier.
« Je connaissais cette méthode de cuisson des épinards depuis des années, mais je n’ai jamais pu me résoudre à l’essayer », écrit l’auteur de l’article. « Il me semblait étrange de faire cuire des feuilles d’épinard aussi longtemps et jusqu’à ce qu’elles deviennent complètement noires […] C’était contre-intuitif, surtout pour quelqu’un comme moi, qui plaide depuis des années auprès des gens pour qu’ils ne fassent pas trop cuire leurs légumes ».
Intrigué par l’apparence de la recette de ce condiment et l’excellent accompagnement qu’il constitue pour d’autres plats, notamment à base de poisson, le journaliste finit par changer d’avis. « J’ai finalement essayé, et après avoir mis une petite cuillerée dans ma bouche, je me suis dit : »Wow ! » C’est comme si je n’avais jamais goûté aux épinards auparavant ». En effet, le long processus de cuisson distille l’essence de la saveur de ce légume, qui en effet est meilleur au goût lorsqu’il est bien cuit. « J’avais donc devant moi des épinards purs et absolument merveilleux. J’ai ensuite eu l’idée de préparer ma propre version de la bkaïla, avec un ragoût de bœuf assorti de haricots. Ça a donné une magie. Tout ce que je voulais, c’était rajouter de plus en plus de bkaïla ! »
Le gourmet raconte aussi comment il a décliné la version originale de ce plat sur une recette de son cru. Il raconte ainsi avoir fait cuire du flétan dans une version douce de bkaïla. Douce, afin qu’elle ne submerge pas par son goût caractéristique celui du poisson, mais suffisamment frite pour garder son effet brillant. « J’ai pris l’initiative de légèrement changer la méthode de cuisson pour raccourcir le processus de préparation, et ajouté des arômes », dit-il, en recommandant cette recette aux amateurs.
Source : Le Diplomate Tunisien
Ras-le-bol des tunes..leur cuisine, leur colonisation en Israël, leur réussite sociale dans le fric…Ajoutons leur sans-gêne, leur manque de distinction et de politesse, leur matuvuisme…et parlez-nous plutôt de juifs, sans référence à leur origine, des gens tout simplement !
Vous pouvez ne pas aimer les Tunes ! Mais que le New York Times parle de la bkaila , épinards frits et refrits dans de l’huile d’olive , seul plat tune qui soit seulement juif tunisien , est surprenant et assez exceptionnel ! Je vous suggère d’en manger ( Au Rendez vous, Avenue de Wagram, Paris ) puis de vous laisse vivre sans haine ni mépris!
Bravissimo pour votre retour M. Mamou à un certain Germax nourri de haine de bêtise de jalousie et d’empathie et quel honneur pour le peuple tunisien de la part du New York Times
Tu as raison Germain ,les Tunes sont les juifs des juifs plein de réussite , ils sont jalousés en tout par le reste de la communauté même par leur cuisine …..
Tout ce qui excessif est insignifiant, à en croire Talleyrand.
C’est le cas du commentaire de Germax ci-dessus.
Notons quand même :
• Il a pu le publier sans censure aucune.
• J’en connais, des Tunes délicieux et succulents ; des plats ET des GENS.
• N’empêche que TJ manifeste parfois un tropisme tune au point d’être… excessif… :-)))