Y a Boniface, le grand benêt de chez Disney. Tu sais, Frère Ours, fermier qui vit dans la forêt avec épouse et enfants, qu’essaie tout le temps d’attraper Bibi Lapin ou d’arrêter le Grand Loup de voler ses poulets. Et puis y a Pascal Boniface, l’autre.
Ce Boniface qui a dit qu’il fallait arrêter de nous bassiner avec le Bataclan car il y avait bien pire! Entends les milliers de morts dus à l’alcool. Au froid dans la rue. A la route. Aux violences conjugales. Tous ces morts qui ne suscitaient pas la même mobilisation, osa- pleurnicher l’indécent ce 14 Novembre 2017, pour illustrer sa thèse que le djihadisme islamique serait juste un facteur de mortalité parmi d’autres.
Eh bien les media, quand ils parlent de lui, ils nous disent qu’il déprime, Pascalou, because la chasse aux sorcières de laquelle ils sont tous victimes, Edwy, Tariq et lui. On se demande vraiment pourquoi. Lui en tout cas, il a son île, en Bretagne, où souvent il va pleurer contre le mal qui toujours lui est fait : rappelle-toi déjà quand Valls avait demandé au Quai d’Orsay et au Ministère des Armées de rompre le partenariat qui les liait à l’IRIS[1], l’institut animé par p’ti chéri qui avait à l’époque dénoncé ce déni de démocratie qui allait de surcroît mettre trente personnes sur la paille.
T’es qui exactement, Pascal Boniface. Notre Boniface à nous, le chef de l’IRIS, est capable de moquer, pour de rire, Tsahal quand on y recrute des autistes[2]. Capable encore de reprendre les vannes ignobles du one-man-swow de son Corentin de fils, du Dieudonné en pire. Non ça c’est pas possible.
Sinon, en dehors de son humour de mauvais aloi, l’auto-proclamé spécialiste en géopolitique et stratégie et directeur de l’IRIS avait déjà en 2002 créé la polémique au sein de la communauté juive pour avoir comparé Ariel Sharon et Jörg Haider, connu pour ses positions ambiguës sur le nazisme. 2003. Viré du Parti socialiste suite aux pressions de BHL et du Cercle Léon Blum, qu’il dit, Boniface voit le soupçon d’antisémitisme peser sur lui depuis qu’il a osé prôner une position équilibrée dans le conflit israélo-palestinien. Rien que pour ça. Depuis, il nous chante toujours la même antienne: Critiquer la politique d’Israël, même que c’est pas être antisémite.
En toute logique bonifacienne, il prétend qu’interdire les manifestations de soutien à Gaza serait la preuve que le gouvernement répond aux désirs des institutions communautaires juives. Et une atteinte intolérable au droit de manifester hein. (Il devait pas être Place de la République samedi). Il répète à l’envi que faudrait pas radicaliser ceux qui se sentent solidaires des Palestiniens.
Tu l’auras compris, Boniface, pas le grand benêt, mais l’autre, il veut avoir le droit de critiquer l’action du gouvernement israélien sans être taxé d’antisémitisme. Or lui, le pôvre, il a les institutions communautaires et certains intellectuels juifs, suivez mon regard, qui lui balancent l’accusation infamante d’antisémitisme dès qu’il émet une critique à l’égard du gouvernement israélien. Lui, il veut te convaincre que l’immense majorité de ceux sont solidaires des Palestiniens combattent l’antisémitisme. Tu veux une preuve ? Ben réfléchis ! S’ils se déclarent en faveur d’une solution à 2 Etats, ben c’est qu’ils acceptent l’existence d’Israël, innocent.
Boniface, lui, il taxe le HCI d’islamophobie pour ses prises de positions contre le port du foulard islamique à l’université. Lui encore, il pense évidemment, comme les nombreux Français non-juifs, en particuliers les musulmans, qu’il y a un deux poids, deux mesures et que les actes antisémites font l’objet d’un traitement médiatique plus conséquent que les autres actes racistes. Et il t’assène à titre d’exemple les nombreuses agressions contre des femmes voilées et qui n’ont pas suscité la mobilisation qui aurait eu lieu si des hommes portant la kippa avaient été agressés.
Boniface, il a eu beaucoup de difficultés pour faire éditer son livre, prix fort pour avoir osé critiquer le gouvernement israélien, explique-t-il : beaucoup de gens veulent se tenir à l’abri à partir du moment où la critiques politique du gouvernement israélien est très rapidement assimilée à de l’antisémitisme. Beaucoup de gens ne veulent pas prendre le risque d’être étiquetés de façon si infamante.
Va pas lui faire remarquer que la presse française est loin d’être complaisante à l’égard du gouvernement israélien Tu vas me l’énerver.
Tu te rappelles je t’avais présenté E&R, que nous, à Tribune juive, avec d’autres, classions dans la nébuleuse anti-juive et même parmi les organisations ouvertement antisémites, négationnistes et homophobes. Je t’avais parlé de leur colonne vertébrale : cette obsession à prouver que ces Juifs qui sont partout représentent aussi le Mal, c’est-à-dire le vice, l’appât du gain, le non-respect des goys et la volonté de dominer le Monde. Je t’avais parlé de leur antisémitisme à peine maquillé en antisionisme. Tu te souviens comment, en septembre, E&R titra sur Le demi-intellectuel Pascal Boniface terrifié par tout lien avec Alain Soral. Moqua le trouillomètre de celui qui ne serait motivé que par la volonté de conserver son association. Ironisa sur la soumission de celui qui jadis venait pleurnicher à la Main d’Or auprès d’Alain Soral, se plaignant d’avoir été éjecté du PS par une certaine communauté. Accusé qu’il était, Boniface, de ne pas suffisamment se désolidariser de son ancien ami. Pauvre Boni. Accusé d’islamo-gauchisme et d’accointance avec l’extrême droite. Tout ça fruit de la délation du couple infernal qui fait peur à tous : Encel-Haziza.
Je t’avais raconté que ce que Bernard-Henri Lévy appelle élégamment la secte Boniface-Ramadan-Soral-Dieudonné, mon psy, lui, il appelait ça la famille partouze.
Je t’avais dit combien c’était la guerre. Dans les prétoires. Par tweets interposés. Depuis que Boniface avait sorti ses Intellectuels faussaires, et que Caroline Fourest lui répondit qu’il traitait de faussaires tous les intellectuels ne partageant pas sa complaisance envers l’islam politique de Tariq Ramadan ou du Hezbollah.
Soyons équitables : y en a des qui trouvent grâce aux yeux de Boniface: Esther Benbassa, Rony Brauman, Stéphane Hessel. Non, rien…
Un brin parano, Boniface pense qu’y en a plein qui veulent le démolir. Alors il balance désormais des procès à tout va. Se bat contre ce terrorisme intellectuel qui veut briser l’homme qui ose critiquer Israël. L’homme qui ne cède pas au chantage à l’antisémitisme.
Il uomo, il attaque aujourd’hui en justice Kerima Mendes parce qu’elle l’a traité d’antisémite. Sur les réseaux sociaux y a toi qui me dis Ah ? Il savait pas qu’il était antisémite ? A quoi toi tu réponds : faut pas être mauvaise langue! Boniface n’est pas antisémite, il déteste juste les Juifs, vomit Israël et couche avec les Palestiniens ! Toi qui évoques cette proximité fâcheuse avec le C.C.I.F Toi tu le qualifies de fourbe, moi je trouve ça insultant pour Scapin. Qui est drôle, lui.
Il défend la cause de ceux qui souhaitent la destruction des Juifs. Par conséquent, dit cet autre, oui, il est anti Juif et ami des antisémites. On tape son nom sur Facebook. Non ! Y a même un groupe Pascal Boniface un faussaire et un antisémite. Bon ça doit être un groupe de Juifs. Faudra aller voir.
Dans la vraie vie, il a des fixettes, Boniface, sur Haziza, BHL, Israël, Palestine, et des amitiés avec des personnes clairement critiques sur la laïcité. Son pote Alain Soral, il dit, en sa présence, que Pascalou il a été diabolisé Martyrisé Judiciarisé Massacré Parce qu’il luttait contre le lobby pro sioniste français.
Mais nous, tous on est é-pa-tés comme dirait Jean d’O. Epatés devant cet art de te retourner les situations. D’intenter sans complexe un procès à qui l’a traité d’antisémite. T’y crois pas. Il va pas y aller, Boniface ? Ça débat cash sur les réseaux sociaux. Il en ressort que pour beaucoup, il le serait, antisémite. Tous on sait combien il pleure les victimes palestiniennes et jamais les victimes juives innocentes. Mais peu ne distinguent pas le parti-pris anti israélien excessif et systématique du terme antisémitisme. Hélas tous on sait qu’en ces temps de règne du djihad judiciaire, ce type de plainte, jadis inconcevable, serait recevable. T’en as plusieurs qui trouvent bizarres ces procès à la chaîne. Cette stratégie commune. Dis-moi qui sont tes amis monsieur Boniface, je te dirais qui tu es. Toi tu te dis que le souci c’est qu’il peut gagner, cet est anti israélien obsessionnel qui n’a toutefois jamais manifesté de haine des Juifs en tant que Juifs. Certes y a les sketches antisémites de son fils. Mais son fils c’est pas lui. Juridiquement.
Boniface ? Quand il s’acharna, usant d’arguments sordides, à relativiser la menace terroriste, n’en était pas à son premier parallèle douteux: dans La France malade du conflit israélo-palestinien, il avait interrogé le mobile antisémite de l’affaire Ilan Halimi, osant dire qu’il y avait eu surexposition médiatique et que de nombreux parents se demandaient si on en aurait parlé si la victime avait été leur fils, le ballot ayant juste zappé qu’il fallait d’abord et uniquement être Juif pour qu’un Gang des Barbares s’intéressât à vous. Haziza s’y colla, ne critiquant en rien ses positons sur la politique israélienne, mais le chapitre 9 de son livre l’affaire Halimi, antisémitisme et barbarie. Mais voilà : est-ce antisémite que de banaliser la barbarie islamiste. Mais pourquoi, comme le fait Boniface, utiliser ces faits divers pour tenter de minimiser le caractère antisémite du crime d’Ilan Halimi ? Parce que tout simplement, de la négation de la Shoah des Faurisson, Garaudy, Dieudonné, Soral et consorts, on est passé aujourd’hui à la négation de l’antisémitisme au sein d’une certaine gauche soi-disant morale dont Boniface est l’un des hérauts. Il est l’un de ces militants obnubilés par le combat antisioniste qui les fait flirter avec un antisémitisme pernicieux. Il est l’un de ces apprentis sorciers de la haine dont l’obsession juive le conduit à perdre toute mesure en salissant la mémoire d’Ilan Halimi. C’est tout simplement pervers et abject, concluait Frédéric Haziza. Et peut-être eut-il été moins gênant que de telles inepties fussent assénées par d’autres que celui qui traquait les intellectuels faussaires et autres pompiers pyromanes.
On le vit récemment en photo sur Twitter, entouré d’officiels algériens, se lâchant avec une indicible audace et se déclarant heureux à l’ambassade d’Algérie loin des chiens qui se déchainaient contre Tariq Ramadan. Ces chiens, lesquels sont-ils ? Toute la presse de France et de Navarre ? Il le sait, Boniface, mais à l’instar de son pote Soral, il va nommer 2 journalistes juifs, porteurs à eux seuls de toute la fantasmagorie complotiste sioniste.
Boniface ? Il est avec ses potes Ennasri, Lallab and C° un des acteurs de la stratégie d’islamisation de la France. Comprenez bien l’entrisme. Il œuvre à préparer les élites islamiques de demain. Le djihad judiciaire qui explose en France ? Regardez-y. Regardez qui intente les procès et auxquels. Prenez-y garde, tout preux chevalier que vous vous prétendiez : pour avoir mis en cause Pascal Boniface dans une interview[3], Malek Boutih s’était vu assigner en justice par le sieur Boniface qui avait gagné son procès[4].
Boniface ? Il est aussi celui qui, en 2012, écrivait un livre avec le rappeur Medine, le promoteur de la charia pour tous ? Boniface donc et son réseau. Boniface et ses amis : Burgat, Ennasri and C°. Les Frères musulmans.
So what. Tout ça in fine fait-il de vous un antisémite ? Est-ce bien ça le mot quand tout jugement est biaisé par une sorte d’antagonisme viscéral à l’encontre de tout ce qui touche au peuple juif et à sa terre. Eh bien, le Tribunal statuera, puisque le Sieur a assigné en justice celle qui a écrit : Ah Bernard de la Villardiere, au conseil d’administration de l’institut Iris, qui est dirigée par l’antisémite pro Qatar Pascal Boniface.
Pendant ce temps, Pascal Boniface explique[5] à l’Association France Palestine Solidarité, pourquoi il est attaqué, cet ange. L’auteur des Pompiers pyromanes répète qu’être accusé d’antisémitisme est l’une des accusations les plus lourdes à supporter en France. Moi j’aime bien le En France. Non rien.
Et d’accuser Bernard Henri-Lévy et ses réseaux d’essayer de le mettre au placard médiatique. Et vous savez quoi ? Il poursuit, dénonçant l’idée farfelue d’un petit pays démocratique au Proche-Orient menacé par des dictatures l’entourant mais actant la réalité de l’occupation et ses conséquences. Stratège, qu’il croit, le faussaire t’explique qu’il s’agit d’être intraitables sur l’antisémitisme et les théories du complot juif mais en même temps, il ne cesse de s’en prendre au CRIF et si tu lui opposes qu’un Patrick Klugman le place dans le même camp politique que Soral et Dieudonné, il te répond qu’elle n’existe pas, son obsession israélienne, et tu pleurerais à l’entendre, cette victime, antisémite pour un Klugman et vendue aux Juifs pour un Soral.
Quoi ? Tu te demandes comment il en est arrivé là ? Eh bien la voilà la réponse : attaqué comme il l’est par deux extrêmes, ça te prouve qu’il est dans la vérité et lui ben tu sais quoi ? Ben il assume. Victime d’une véritable campagne organisée, d’une fatwa, non Salman tu ris pas, il répond au journaliste qui évoque les attaques à son encontre qui en font un agent de l’étranger, vendu aux russes ou aux qataris qu’il n’a pas le choix, que sa ligne politique est constante, bref l’Histoire lui donnera raison !!!!
Allez : il concède qu’il eût dû être plus prudent dans l’expression de ses opinions mais diantre : celui-là n’est pas courtisan. Le prix à payer ? Ben il l’accepte : des tribunes refusées quasi systématiquement dans Libération, Le Monde, et même Le Figaro. Plus de France Inter pour lui depuis l’arrivée de Philippe Val, et des éditeurs qui lui disent: vous attaquez des gens qui sont vindicatifs et qui risquent de nous provoquer des ennuis si on vous publie. Alors Boniface, il vous parle même de terrorisme intellectuel, avec cette accusation d’antisémitisme brandie de façon quasi automatique par certains.
Lol. Il ajoute qu’entamer une carrière de chercheur sur la Palestine est risqué. Mais il concède que de nombreux enseignants et universitaires prennent explicitement position pour les droits du peuple palestinien. Quand Omar Sy, en 2015, déclara qu’il ne souhaitait pas se positionner sur le conflit israélo-palestinien, ne voilà-t-il pas que notre victime fut une fois encore calomniée, pour avoir assigné l’acteur dans son identité de noir et de musulman et pour avoir prétendument insinué que les juifs contrôlaient le cinéma. Lui qui, jure-t-il, jamais ne parla de lobby juif. Mais qui évoque toutefois ceux qui appellent à un boycott professionnel envers tous ceux qui osent critiquer la politique du gouvernement israélien.
Le persécuté le plus fourbe au monde, t’as même Finkielkraut qui l’accuse. A tort forcément. Alors même que Boniface ne le classait pas dans la catégorie des intellectuels faussaires. Et ne voilà-t-il pas que Finkie aurait repris à son compte ce que l’autre qualifie d’accusation rituelle selon laquelle il aurait recommandé au Parti socialiste de cesser de soutenir coûte-que-coûte Israël parce qu’il y avait plus d’arabes que de juifs. Et que j’te rebalance ma théorie fumeuse. Et que j’te répète que Finkielkraut a dégradé le climat intellectuel en France. Qu’il a fait peur aux Juifs français en exagérant le niveau réel d’antisémitisme et en dénonçant entre autre une année de cristal. Et que j’te le rende responsable de la radicalisation des Français musulmans et d’origine arabe en les stigmatisant de façon répétitive. Le tout dans une totale impunité. Et c’est reparti : le monde en veut décidément toujours aux mêmes : Ramadan. Boniface. Leurs potes.
T’en souvient-il, Lecteur, de cette Lettre à un ami Israélien, pamphlet accusateur paru dans l’Obs en aout 2001 et s’en prenant à l’Imam Chalghoumi auquel il contestait sa représentativité, lui opposant ceux qui jouissent d’un large soutien populaire, et là, j’sais pas pourquoi, beaucoup, entre les lignes, ont cru lire Medine, avec qui il venait de cosigner Don’t panik. Cette Lettre donc, elle avait révolté Elie Barnavi qui lui avait répondu en citant un article fondamental de la charte du Hamas : Tout juif est une cible et doit être tué. Qui lui avait reproché d’avoir fait de la communauté juive une nation au sens prérévolutionnaire, une nation qui ferait bien de faire le dos rond afin de ne pas réveiller les vieux démons. D’autres s’en mêlèrent. Jean-Dominique Merchet dénonça son acharnement à minimiser la judéo phobie en France. Victor Perez fit, lui, le diagnostic formel d’une certaine attitude maladive concernant son approche de l’Etat du peuple juif pendant qu’Olivier de Lagarde se demandait s’il n’y avait pas, à gauche ou à l’extrême gauche, une tradition antisioniste, comment dire…un peu malsaine. Où donc étaient ces universitaires, journalistes, politiques, médias ayant condamné, par exemple, l’accueil réservé par une meute pro-palestinienne à une dizaine d’Israéliens venus dialoguer à l’université Paris VIII ? Leur silence est-il à dû à la peur causée par ceux qui crièrent « sionistes dehors, sionistes assassins » et « Israël casse-toi, Paris-VIII n’est pas à toi »
Alors évidemment. 2014. Advint la pétition Stop à la chasse aux sorcières, soutien à Pascal Boniface. Devinez qui lance ça ? Les invités de Mediapart of course. Qui répondent au journaliste Frédéric Haziza, encore toi Frédéric, qui reprochait à Pascal Boniface de flirter avec un antisémitisme pernicieux, que eux, ils refusent ce climat de maccarthysme, ce mauvais procès en négationnisme. Bref, l’obsession juive de Boniface. Premiers signataires : Gisèle Halimi. Rony Brauman. Eliane Benarosh, militante campagne BDS France. Et … François Burgat ! Nabil Ennasri !
Prenez-y garde, tout preux chevalier que vous vous prétendiez : pour avoir mis en cause Pascal Boniface dans une interview[6], Malek Boutih s’était vu assigner en justice par le sieur Boniface qui gagna son procès[7] contre lui et le magazine Technikart. 2008. Pascal Boniface gagna le procès en diffamation qu’il avait intenté au périodique Balkans-Infos et au journaliste Jean-Christophe Casanova qui lui prêtait des propos antisémites tenus lors d’un dîner.
Ben quoi ? Tout ça pour dire que Fatiha. Céline. Kerima. Nous serons derrière elles pour que jamais ne parvinssent à nous museler les odieux tenants de l’entrisme en France.
[1] Marianne. N° 1078. 10 au 16 novembre 2017.
[2] Source : JSS News.
[3] TECHNIKART N° 88 décembre 2004.
[4] Jugement rendu le 31 octobre 2006 par le Tribunal correctionnel de Paris, Chambre de la Presse.
[5] 24 septembre 2015.
[6] TECHNIKART N° 88 décembre 2004.
[7] Jugement rendu le 31 octobre 2006 par le Tribunal correctionnel de Paris, Chambre de la Presse.
Sarah Cattan
BRAVIO BRAVIO Sarah !
A que Johnny !
Moi aussi parfois, j’a tellement envie de pleurer qu’à la fin ça me donne envie de RIRE, mais de RIRE, RRRIRRE !!!! Et JARRY beaucoup en lisant ton papier sur l’UBU Bonifacien !
Le Boniface grand bien lui FASSE, à ce BONIMENTEUR DE SA RACE !
Non mais A QUE !!
Pas d’info à ajouter Sarah tu as TOUT DIT ! MERCI POUR TON EFFORT (là je suis sérieuse).
Ben oui, ce gros con.. Que veux tu que la bonne Y fasse !!
D ailleurs il n a jamais pu regarder quelqu un en face les yeux dans les yeux … Il y en a toujours UN qui va jouer aux boules ..
Voilà le genre de sale type, qui attise la haine, sous la couverture de son titre autoproclamé de SPECIALISTE .
Laissons le chien aboyé, et passons tranquillos ..
Paulo.
Merci Paulo,
Je vous signale à toutes fins utiles un autre con :Chagnolleau oh oh qu’il s’appelle (j’écris peut-être mal son patronyme mais vu que l’histoire le retiendra pas c’est pas grave !)
tapez son nom sur Google et vous le verrez à l’oeuvre dans ses oeuvres moisies, car également inspirées par la haine systématique d’Israël et du sionisme ; moi je ne supporte plus le connisme de ces ci-devant c…ards . Eh dites-moi que faisaient leurs parents sous Vichy à toutes ces danseuses du beau Mohammed à la mord moued? Je parie qu’y fricotaient sec avec l’occupant…si, si, croyez-moi ! J’dis ça j’dis rien comme y dit le Plaza!
Que voulez-vous Mme Cattan, sa spécialité est de « comprendre le monde » et d’être en plus un chercheur et un enseignant partisan ce qui dénote de sa part une ignorance totale de la déontologie et une sous-culture sur l’histoire de son pays.
Les noces de sang entre la communauté juive et l’histoire de France, c’est pour ce genre d’intellectuel transparent un vide culturel abyssal.
C’est un chargé de clientèle pour les fantassins de la rumeur, des réseaux sociaux, les confus, les sous-doués, tous ceux qui font leur existence à partir de la haine du juif…
Merci et Bravo. On ne le dira jamais assez : Quelqu’un qui est pro-Palestiniens par principe, sans réserve, qui est SYSTÉMATIQUEMENT « antisioniste », càd anti-Israël,(et pas seulement anti-Netanyahou, ou anti-Likoud,…) est NÉCESSAIREMENT antisioniste. Tout le reste est contorsions, arguties, poudre aux yeux et pièjakon.
Pascal Boniface ? – aussi bien lui que son rejeton prouvent s’il est nécessaire qu’ils ne connaissent rien du conflit Israélo-Arabe. C’est des imposteurs et des négationnistes de l’histoire. Sont-ils aussi racistes et antisémites ? – La question reste ouverte.