Cela faisait longtemps, bien trop longtemps que je n’étais pas allé sur le site « Egalité et Réconciliation » du nazi français, Alain Soral. Et pour fêter dignement ses dix ans de haine pathologique contre les Juifs, je m’y suis rendu.

Allez y, faîtes comme plus d’un million de français chaque mois, allez vous plonger dans cette littérature érudite, argumentée qui vous permettra de découvrir des horizons que vous ne connaissez pas ou de vous replonger dans la grande bibliographie de l’antisémitisme occidental.
Il faut toujours connaître l’ennemi pour mieux le combattre. Permettez moi donc de partager avec vous les écrits d’un vrai érudit de l’antisémitisme pathologique, un certain Youssef Hindi qui le 18 juillet a publié sur E&R un article passionnant :
« La République et la Kabbale, une histoire occultée »
Permettez-moi de ne pas vous le citer en entier, car cela commence en 1791 et puise aux meilleures sources de Maurras à Drumont.
Je ne vous citerai que la fin, où vous retrouvez les accents de Brasillach ou de Rebatet pour décrire l’élection d’Emmanuel Macron.
Lisez Youssef Hindi :
« La mission de Macron : sauver la République pour maintenir sur la France l’emprise de la banque
Pour faire gagner le candidat de Rothschild – qui n’avait aucun programme si ce n’est la dissolution de la France –, que restait-il à l’oligarchie comme carte à jouer en dehors de la lutte contre : le « fascisme », « les heures les plus sombres », « le retour de Vichy et la résurrection du Maréchal Pétain » et la « réouverture » des chambre à gaz ?
J’ai mis, plus haut, en évidence qu’historiquement, la République est, depuis l’origine, organiquement liée aux milieux financiers juifs et à la kabbale. Et c’est d’ailleurs la corruption sous la IIIe République, fruit de la collusion du milieu politique et de celui de la finance, qui a entraîné un pourrissement du régime et une déligitimation du pouvoir.
L’oligarchie a fabriqué, en un peu plus d’un an, un candidat dont le rôle est de sauver le régime et tous ceux qui prospèrent grâce à lui. C’est ce qui explique notamment le ralliement de tous les carbonisés de la vie politique française, mais aussi le soutien que lui a apporté le grand rabbin de France Haïm Korsia…
Par le maintien de la République, c’est aussi l’emprise de la finance sur l’État qui est maintenu. Et ce n’est pas une nouveauté ; en 1850, Karl Marx décrivait le système par lequel la banque rançonne l’État avec la dette. Système qui s’amplifiera sous la présidence de Macron, en faisant culpabiliser les Français avec une dette qu’ils auraient contractée et qu’ils doivent, d’après une « morale » diabolique, rembourser, tout en acceptant de perdre leurs emplois et de voir leurs salaires compressés. En somme, accepter d’être réduit à l’esclavage par le monde de la finance que le père de Macron, François Hollande, avait promis de combattre et que Jacques Attali a fait entrer à l’Élysée (en la personne d’Emmanuel Macron de Rothschild) durant le mandat de Hollande…
C’est le même Karl Marx, lui-même d’origine juive, qui écrivait dans La question juive (en 1843) ces lignes qui confirment le témoignage d’Anacharsis Cloots quant à l’influence qu’exerçaient les riches juifs en Europe :
« En théorie, le juif est privé des droits politiques alors qu’en pratique il dispose d’une puissance énorme et exerce en gros son influence politique diminuée en détail. La contradiction qui existe entre la puissance politique réelle du Juif et ses droits politiques, c’est la contradiction entre la politique et la puissance de l’argent. La politique est théoriquement au-dessus de la puissance de l’argent, mais pratiquement elle en est devenue la prisonnière… Le Juif par exemple, qui est simplement toléré à Vienne, détermine, par sa puissance financière, le destin de tout l’empire. Le Juif, qui dans les moindres petits États allemands, peut être sans droits, décide du destin de l’Europe. »
Il est clair qu’Emmanuel Macron, soutenu par Jacques Attali, Alain Minc, Bernard-Henri Lévy, le Grand Rabbin de France, Rothschild et Goldman Sachs, est le candidat de cette oligarchie financière juive.
Maintenir la France sous l’emprise de la finance et de la République par la stratégie du Choc
Marine Le Pen a vu les organisations juives, à commencer par le CRIF , mais aussi l’État d’Israël s’opposer à elle durant l’élection présidentielle. Il y a là déjà un enseignement à tirer pour le camp dit « national » : s’aplatir devant les instances supposées représenter la communauté juive ne lui aura apporté aucun bénéfice, ni politique, ni électoral, ni moral, bien au contraire. Ceux-là même qui exigeaient de Marine Le Pen qu’elle se soumette, sont les premiers à avoir appelé à faire barrage contre elle.
Prenons, pour illustrer notre propos, l’un des principaux représentants de l’intelligentsia juive de France, Alain Finkielkraut. Avant le premier tour de l’élection présidentielle, lors d’une émission de RCJ (média du Fonds social juif unifié), le 16 avril 2017, prenant la défense de Marine Le Pen sur la polémique autour de sa déclaration sur la Rafle du Vel’ d’Hiv’, il expliquait que « le problème de Marine Le Pen n’est pas son pétainisme mais son poutinisme » .
Il faut donc comprendre par là que l’une des priorités pour les élites juives sionistes est d’empêcher la France de s’émanciper de l’emprise américaine et israélienne en nouant une alliance stratégique avec la Russie et les autres puissances eurasiatiques, dont est l’Iran. »
Fin de citation
J’arrêterai là mes citations de ce brûlot antisémite d’un autre âge.
Vous pouvez lire tout l’article au lien ci-dessous :
https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-Republique-et-la-Kabbale-une-histoire-occultee-46762.html
Comment accepter que ce site d’appel constant à la haine des Juifs puisse encore, malgré les lois fermes en vigueur, continue de diffuser son venin ?
ET APRES LE MINISTRE DE L’INTERIEUR S’ETONNE QUE LE MONUMENT A LA MEMOIRE DES ENFANTS JUIFS D’IZIEU AIT PU ETRE PROFANE.
Cessons l’hypocrisie, fermons tous ces sites, racistes et antisémites devenus si influents en France.
François Heilbronn