« Au nom de l’art 1933-1945  » par Limore Yagil

Cette année cela fera 40 ans depuis la disparition  de Jacques Prévert.

C’est peut être l’occasion de rappeler ce qu’il a fait pour de nombreux artistes juifs : Jacques Prévert, protège ses amis les musiciens Norbert Glanzberg et Kosma, le décorateur Alexandre Trauner et sa femme, le peintre Elsa Henriquez, l’opérateur Raymond Picon-Borel et notamment Simone Signoret.

Limore Yagil, historienne spécialiste de l’histoire politique et culturelle de la France sous l’Occupation, auteur de la trilogie « La France, terre de refuge et de désobéissance civile », a publié chez Fayard un essai consacré aux réseaux d’amitié entre artistes français et artistes juifs entre 1933 et 1945.

Elle décrit les filières de solidarité retraçant toute une géographie de l’entre-aide et interroge la
signification qu’il convient de donner à des différents actes de désobéissance civile.Si l’on connaît l’intervention de Sacha Guitry et d’Arletty en faveur de Tristan Bernard, il y en eut beaucoup d’autres révélées par Limore Yagil.

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