Les larmes ont coulé, mercredi 7 juin au centre Medem, où la loge George Gershwin avait décidé de célébrer exactement le jour même de sa libération, le mercredi 7 juin 1967, le 50 eme anniversaire de la libération de Jérusalem au troisième jour de la Guerre des six jours.
Après la projection d’un audio-visuel d’Alain Azoulay et de Jean-Michel Zalc, qui a retracé l’ambiance d’angoisse dans laquelle se trouvait Israël en mai 1967, puis le soulagement de la population après la guerre eclair de juin, des intervenants exceptionnels ont retracé ce qu’il en était alors et les évolutions 50 ans plus tard.
Présentés par le président de la loge George Gershwin, HaimMusicant, Olivier Rafowicz, Ivan Levai et Ilan Zaoui ont tour à tour apporté leurs témoignages et partagé l
Colonel de réserve de Tsahal, dont il a été le porte-parole crédible et respecté, Olivier Rafowicz a rappelé qu’en 1967, Israël n’occupait aucun territoire mais était sous la menace de destruction par les pays arabes. Selon lui, la menace est toujours présente .Les guerres
Ivan Levai a apporté le témoignage de ce jeune juif qu’il était et qui a découvert Israël en 1958, puis qui a rencontré tous les responsables israéliens durant son parcours journalistique.
Membre de la rédaction de l’Express au moment de la guerre des Six jours, il a rappelé les analyses visionnaires de Jean-Jacques Servan-Schreiber, le directeur de l’hebdomadaire de référence. L’ancien directeur de Tribune juive a souligné le rôle majeur de la France dans l’aide militaire et nucléaire à Israël avant le revirement opéré par le général De Gaulle.
Membre en 1967 du kibboutz Revadim, puis incorporé dans les parachutistes, Ilan Zaoui
Cette soirée –anniversaire pour laquelle la loge George Gershwin a du refuser du monde s’inscrit dans une série de réussites, alors que ce groupe du Bnai Brith n’a que quelques mois d’existence.
Sous la présidence de Haim Musicant
Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez contacter Julie Moise en écrivant à juliemoise@hotmail.fr
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