Une dizaine de femmes qui ont tenté de se baigner vendredi à Cannes en burkini ont été interpellées par la police, la manifestation n’ayant pas été autorisée.
Une dizaine de femmes qui avaient l’intention de se baigner vendredi midi en burkini sur les plages de Cannes ont été interpellées par la police devant l’hôtel de luxe Martinez. Ces femmes, venues toutes de Paris par le train, sont des amies et des parentes de Rachid Nekkaz, un Algérien qui s’est fait connaître depuis 2010 en payant les amendes des femmes qui ne respectent pas la législation française sur le voile intégral.
Des femmes voilées (pas de Nekkaz en vue) ont été contrôlées par la police.Impossible de savoir si elles ont un lien avec la manif #Cannespic.twitter.com/GMh6tivQW1
— Assma Maad (@Assma_MD) 26 mai 2017
Le groupe de femmes est monté dans un véhicule de la police. Rachid Nekkaz devrait bientôt arriver #burkini #Cannes pic.twitter.com/8wMVkYo3fK
— Assma Maad (@Assma_MD) 26 mai 2017
Une baignade en burkini pour rappeler la loi. Elles étaient toujours retenues en milieu d’après-midi dans les locaux du commissariat de Cannes. Rachid Nekkaz, 45 ans, voulait, avec ce bain en burkini, rappeler la décision du Conseil d’État qui avait cassé, le 26 août dernier, les arrêtés interdisant la baignade en burkini pris dans différentes communes du littoral, dont Cannes, après l’attentat de Nice.
Il faut quand même noter que Nekkaz se permet des comparaisons qui valent bien un procès en diffamation :
Nekkaz ose la comparaison: “J’observe que nous avons des relents de vichysme ici à Cannes.” #burkini #Cannes pic.twitter.com/Xzyqy35Xg3
— Assma Maad (@Assma_MD) 26 mai 2017
Et il ment éhontément concernent une rencontre avec le Préfet des Alpes Maritimes :
La préfecture des Alpes Maritimes dément les propos de Nekkaz https://t.co/jIujck2zuz
— Assma Maad (@Assma_MD) 26 mai 2017
Nekkaz, costard business, diffamation larvée et fake news répandues dans toutes ses déclarations : un vrai produit de l’islamisme le plus dangereux pour la nation.
Line Tubiana
Mais pourquoi se trouve t-il toujours un abruti de journaliste pour le prendre en photo ce nekkaz ?
L’ignorer, ne pas le voir, ne jamais parler de lui et de sa minable personne.
En Algérie il rase les murs et en France il pavoise ; je le croyais interdit de séjour ?
Comme j’aimerais que l’on pût se baigner comme on veut sur les plages de France : à poil, en burkini, en bikini, en monokini, sans se préoccuper de l’environnement et du qu’en dira-t-on !
Et même en costume, offert ou acheté !