C’est l’une des images de cette soirée d’élection. Après le discours prononcé par Emmanuel Macron, nouvellement élu, devant la pyramide du Louvre, sa femme Brigitte et plusieurs dizaines de proches sont montés sur l’estrade avant d’entonner “La Marseillaise”.
“Ce soir vous l’avez emporté, la France l’a emporté”, a déclaré Emmanuel Macron élu Président dimanche soir avec 65,9% des suffrages lors d’un discours dans la cour du Louvre à Paris, où il s’adressait à plusieurs milliers de ses partisans. “Tout le monde nous disait que c’était impossible, mais ils ne connaissaient pas la France!”, a-t-il déclaré. En intégralité, son intervention depuis son entrée sur fond de l’Ode à la joie en référence au projet européen, jusqu’au soutien apporté par Brigitte Macron sur scène.
Avec amour ? Les francais en sont incapables ! Ils servira avec amour lui d’abord et ses Acolytes.
On va etre submerge d’exiles et d’immigrants de pays qui detestent les Juifs, et on va encore nous enlever, nous francais, le pain de la bouche pour le donner a ces nouveaux immigrants qui ne devraient pas avoir le droit de beneficier des avantages sociaux au detriment des citoyens francais.
L’europe qui prend des milliards, et la france pour respecter ces accords, nous retire encore une fois le pain de la bouche. Il suffit de voir le pouvoir d’achat, ce qu’il est devenu. 800 euros/mois est le minimum pour ne pas etre au-dessous de la pauvrete, lorsque le moindre studio de 31 m2, meme dans une petite bourgade en Province, est de 6 a 700 euros/mois.
Marine Le Pen etait une possibilite de changement et d’espoir. MAINTENANT IL N’Y A PLUS D’ESPOIR ! LA FRANCE RESTE LA MEME, LE PAYS DES ELITES ET DES ESCLAVES. Lorsque je pense qu’ils ont ose la comparer a l’Amerique ? L’AMERIQUE PREND DES RISQUES, L’AMERIQUE SAIT PRENDRE LE TAUREAU PAR LES CORNES ET RETABLIR CE QUI NE VA PAS.
LA FRANCE ? regardons son passe, et nous pouvons comprendre que c’est un pays de moutons ou d’animaux bien dresses, incapable de penser par eux-memes !
En attente de moderation ? Qu’est-ce que cela veut dire exactement ?
Que si nos opinions ne plaisent pas aux elites, elles ne seront pas permises ? C’est cela la democratie et la libre expression ?
Si le texte contient des injures ou des insultes ,on ne le passe pas.
J’avais du mal à croire qu’en France aujourd’hui, on pouvait être juif et voter pour Marine le Pen. Mais j’en ai la preuve sous les yeux… Etre juif et voter pour le nazisme, parce que le social de Le Pen avec du nationalisme autour, ça s’appelle du nazisme !!! Je ne vous insulterai pas mais juste un conseil : pensez à vos coreligionnaires, tirez vous une balle dans la tête 🙂
Je ne résiste pas au plaisir de vous livrer ce petit poème que m’a inspiré l’élection de notre jeune et fringant nouveau Président… bien entendu à la “manière de” notre fabuliste National…avec une pointe de politique fiction…
“Le Petit Prince devenu …Pharaon”
Il était une fois, dans un joli palais,
Un Prince de renom, qui ma foi s’ennuyait.
Il poussa hors du trône, sans forme de procès,
Un vieux Roi fatigué, obligé d’abdiquer.
“Le Peuple est avec moi, il sera Souverain.
Croyez mes bonnes gens, mes honnêtes propos,
Villages et campagnes , villes et bourgs lointains,
Mettez vous donc En Marche, portez moi au plus haut,
Des sommets de l’État, je vous protégerai,
Des ennemis d’ici et aussi de là-bas.
Députés et Ministres, marcheurs invétérés,
D’hier et d’aujourd’hui, de grâce élisez moi.”
La République En Marche, l’installa au Palais.
l’Élysée, rien de moins , voilà ce qu’il voulait.
Mais bien vite, une fièvre emporta sa raison,
Voilà qu’il se prenait pour un vrai Pharaon.
“Par Décrets, Ordonnances, je gouvernerai donc.
Ayez donc l’impudence de vous y opposer,
Et vous serez bien vite, en geôles jetés.”
Le Peuple affolé par tant de déraison,
Descendit dans les rues, les chemins et les places,
En cortèges nombreux et manifestations,
Pour crier sa colère , sa détermination.
Le vieux Roi consulté pour donner son conseil,
Asséna sur l’épaule du nouveau suzerain,
Une tape amicale, glissa à son oreille,
Le pouvoir est En Marche, le Peuple le détient.
Gilles Plumat