Aide aux détenus : un nid d’islamistes

L’association d’aide aux détenus Sanabil, dissoute le 23 novembre par Bernard Cazeneuve, jure ne pas être proche de la mouvance islamiste. Plusieurs de ses membres ont pourtant un passé inquiétant : Samira A., chargée de traduire les courriers des détenus, est partie faire le djihad en 2015 ; Loïc G., qui organisait les pique-niques de l’association, a été licencié par la SNCF en 2016 pour prosélytisme et Yassemine H., sa compagne, hébergeait dans un pavillon d’Alfortville des épouses de détenus condamnés pour terrorisme.

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Parmi elles, Zohra, recalée à la frontière turque après avoir tenté de rallier la Syrie avec le passeport de sa cousine… Le pavillon d’Alfortville était autrefois occupé par un certain timon Kirk B., ex-membre de Forsane Alizza, autre structure islamiste dissoute en 2012.

Source : Le Point

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1 Comment

  1. Il n’y a pires aveugles que ceux qui ne veulent pas voir.
    En prison, on ne voit ni les portables ni la drogue ni les armes ni les prêcheurs circuler. On ne voit pas les détenus communiquer par les fenêtres.
    Tant qu’on vous dit que les matons manquent d’effectifs, ils ne pourront pas fouiller aléatoirement les cellules et innover des cloisons qui isolent les fenêtres des ficelles qui transitent les objets.
    Tant que vous le goberez, ils croiront ménager la paix sociale!

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