Stéphane Berrebi expose à la galerie Claude Kelman de l’Espace Rachi – Guy de Rotschild jusqu’au 5 janvier.
Ce dimanche 20 novembre de 14h à 16h dans le cadre du Radiothon, le Centre d’Art et de Culture organisera des « Portes Ouvertes » en présence de l’artiste. L’occasion idéale pour le rencontrer et échanger avec lui. Les bénéfices de la vente des tableaux seront versés à la campagne pour l’Appel National pour la Tsédaka.
Sa biographie :
Né à Paris en 1956, Stéphane Berrebi découvre et se passionne pour les arts graphiques à partir de 1968, notamment à travers l’explosion du Pop Art dans les années 1970.
Il se consacre entièrement à la peinture à partir de 2003. En 2005 et 2006, un séjour en Californie lui inspire une série de toiles. Il expose pour la première fois au Salon d’Automne en 2007, et en 2010 lui est consacrée la 6ème édition de Trip Tik, un événement artistique créé par Claudette Eleini. Il expose ensuite à Paris et en région parisienne : Salon des Artistes des Grandes Écoles en 2011 et 2014, Arplastix en 2012 et 2013, Salon des Arts Meudonnais en 2013, 2014 et 2015, et en 2016 à la Galerie Hibiscus de créations sur tissus.
Diplômé de Polytechnique et de Harvard Business School, il a toujours poursuivi, parallèlement à une carrière dans le conseil, le multimédia, les jeux vidéo, des activités créatives dans le dessin, la poésie, les contes. Il vit et peint à Meudon.
L’artiste peintre et ses œuvres :
« Mes toiles suivent des inspirations “geekpop”, geek et pop, directement issues de saynètes de la vie quotidienne : maelström d’une nature atomisée où tente de subsister une constellation d’icônes universelles d’ « Under the Guise », affrontement de puissances digitales et chaos aliens du « Problème à un Corps », tsunamis de plasma acryliques s’abattant sur des cités interdites de « Poliorcétique » et du « Flipper Cosmique » et de « Meudon Galactique », vaisseaux en apesanteur, super héros (« l’Espoir de l’Occident ») et carrosses multicolores (« Evasion »), labyrinthes où se perdent de fausses divinités déchues.
Elles sont le résultat d’une confrontation lors de l’acte même de leur création, entre une vision directrice tendue vers la composition finale dont elle serait le germe, et un désir, une impulsion expressive suivant des lignes de force déterminées par le choix des matières, des couleurs, des modes d’imposition de la peinture et le répertoire des signes visuels retenus. L’œuvre épouse ces lignes de forces et inscrit entre elles sa forme finale, négociée ou imposée progressivement à chaque étape de la création/révélation. Ainsi, « le Feu de l’Action » s’est construit par déchirures et superpositions de motifs de braises de visages et de silhouettes autour d’une mise à feu purement pigmentaire de la toile !
Mais je ne me soumets pas pour autant à une forme de peinture automatique d’où je serais presque absent, au moins au niveau conscient. Je lis et interprète à chaque instant l’expression provisoire de l’œuvre et choisis la direction de l’étape suivante. Au fur et à mesure, se dévoilent ainsi les formes organisatrices de l’œuvre et se confirment les liens porteurs de sens entre les motifs peints, tissant un composite énigmatique qui essaye de placer le spectateur dépaysé dans la situation de l’extra-terrestre découvrant par hasard la plaque dorée de la sonde Pioneer et ses mystérieux messages, traces de mythes encryptés, de légendes ou de promesses… »
Le site de l’artiste est à retrouver ici.
Horaires d’ouverture : du lundi au jeudi de 10h00 à 18h00 / vendredi de 10h à 12h
(Fermés samedi, dimanche excepté le dimanche 20/11 et fêtes)
Plus d’informations au 01 42 17 10 36.
Vernissage le 29 Novembre 2016 à 18h. Réservations 0 800 089 089 et sur tsedaka.fsju.org
Source : http://www.culture-juive.fr
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