Une commissaire de bord de la compagnie Transavia aurait eu des ébats sexuels avec plusieurs de ses collègues, pendant des années.
Durant les vols, une hôtesse néerlandaise de Transavia aurait collectionné les frasques sexuelles notamment avec ses collègues. Parfois même dans le cockpit… Une publicité dont se serait bien passée la compagnie aérienne, filiale low cost d’Air France qui a bien tenté pendant quelques mois d’étouffer le scandale.
L’affaire devait d’ailleurs se régler devant les tribunaux le 24 octobre prochain, avant qu’elle ne fuite dans les journaux bataves.
À l’origine des révélations, le mari de l’hôtesse. Il aurait découvert par hasard un carnet numérique dans lequel sa femme consignait chacune de ses prouesses aériennes. Une trouvaille le plongeant dans une rage noire. Il aurait ainsi menacé de rendre public les noms des amants, les dates et les circonstances des idylles. Pour éviter l’esclandre, Transavia souhaitait un jugement en toute discrétion. Mais entre-temps, le mari jaloux a envoyé plusieurs mails aux personnes concernées. Et la croustillante histoire a fini par éclater au grand jour notamment dans le quotidien néerlandais le Telegraaf.
Dans le cockpit
Finalement, ce ne sont pas tant les ébats de la commissaire de bord, cheffe des stewards et des hôtesses, âgée de 49 ans, qui font scandale mais les circonstances. L’hôtesse aurait en effet sévi dans le cockpit et en plein vol, délaissant la sécurité des passagers. Une hypothèse que réfute la compagnie. «Nous étudions cette affaire très sérieusement. Il ressort d’une enquête interne que la sécurité des passagers n’a jamais été mise en danger. Les collègues considèrent que les révélations de cet homme seraient indésirables et préjudiciables à nos intérêts. Pour nous, c’est inacceptable», a déclaré un porte-parole de Transavia qui s’abrite désormais derrière le respect de la vie privée de ses employés pour ne pas fournir de preuves.
Plusieurs quotidiens néerlandais ont même essayé de vérifier la véracité de ces libertinages en interrogeant des experts. Question sécurité, il n’y aurait selon eux pas de risque de poser le pied sur les boutons.L’affaire n’a pas fini de faire des remous puisque certains protagonistes seraient, eux aussi, des hommes mariés.
Les amants américains punis
En juin 2013, un couple d’Américain avait écopé de 360 euros d’amende par la cour fédérale de Las Vegas pour «actes obscènes et indécents dans un avion». Sans se dissimuler aux regards des autres voyageurs, Jessica avait prodigué fellations et autres massages à Christopher avant que celui-ci ne lui administre quelques caresses intimes. Des passagers outrés avaient averti le personnel de bord du comportement scandaleux du couple. À leur arrivée à Las Vegas, ils avaient été arrêtés et mis en examen.
Source : http://www.ladepeche.fr
Il me semble logique d’utiliser un avion pour atteindre le plus rapidement, et plus souvent possible, le septième ciel.
Ce mari est un triste sire !!!
Transsexuel ou Transavia
Charia ou charter
Chacun monte au ciel comme il peut.
Il n y a pas de mal à se faire du bien.
Ce n’est rien d’autre qu’une pub de Transavia.Bonne idée.
« Toute ma vie j’ai rêvé d’être une hôtesse de l’air… »
Voilà une cheffe hôtesse très méthodique puisqu’elle prend le soin de consigner tous les détails du déroulement de sa mission. Et je crois savoir que la prescription dans ce domaine est trentenaire.