La Grande-Bretagne ne manque pas de personnages extrémistes, irritants voire franchement scandaleux. Le trotskyste Jeremy Corbyn, chef du parti travailliste, « ami » du Hamas et du Hezbollah est l’un d’eux.
Mais il en est d’autres comme l’ancien maire de Londres, Ken Livingstone, antisémite d’extrême gauche récemment suspendu par son parti pour ses remarques antijuives ; ou comme George Galloway, qui a pris parti pour Saddam Hussein et fait pression sur le dirigeant irakien pour qu’il parte à la conquête d’Israël et reprenne le contrôle de Jérusalem. Nous avons plus que notre part également de ces prédicateurs et moralisateurs autoproclamés qui, à commencer par la clique des prêcheurs de haine musulmans, visitent nos universités et nos mosquées, radicalisent les étudiants et une foule d’autres jeunes impressionnables et rapidement en colère .
Nombreux sont ceux qui aujourd’hui, trouvent préoccupants ces extrémistes musulmans tels Anjem Choudary qui, depuis vingt ans, radicalise un nombre croissant de musulmans et a été à l’origine des mouvements islamistes les plus de radicaux de Grande-Bretagne. Sa technique d’entretien consiste à tenir des propos injurieux, et parfois totalement illuminés, tout en demeurant calme et apparemment rationnel. Il prêche la haine de la démocratie, l’aversion qu’il convient d’avoir pour le droit britannique, et un manque de respect sincère des non-musulmans. Dans d’autres circonstances, il ferait un politicien très habile. En réalité, nous avons affaire à un traître à son pays, un manipulateur de personnes jeunes et vulnérables, et rien ne peut le décrire mieux que ses propres propos :
« Nous [les musulmans] prélevons la Jizya (impôt islamique sur les non musulmans), qui nous revient de toute façon. Il est normal de prendre l’argent du kouffar [non-musulmans]. Ils nous donnent de l’argent. Vous travaillez ? Payez-nous, Allahu Akhbar. Nous prenons l’argent ».
« La prochaine fois que votre enfant est à l’école et que l’enseignant demande : « que voulez-vous faire plus tard ? » Ils doivent répondre, « je veux agir pour que l’islam domine le monde, y compris la Grande-Bretagne, voilà ce que je veux faire plus tard ».
Et, à propos de l’otage britannique, Alan Henning, un humanitaire décapité par l’État islamique : « le Coran interdit de se lamenter pour les non-musulmans, je ne me sens pas désolé pour lui. ».
Dans une veine plus prophétique il a déclaré : « s’ils m’arrêtent et me mettent en prison, je continuerai en prison. Je radicaliserai toute la prison. »
Il a appelé à brandir le « drapeau de la charia » sur le 10 Downing Street; à transformer en mosquée Buckingham Palace, et à remplacer la loi laïque britannique par la charia, tout en prédisant que sous peu ce pays pris sera pris en main par les musulmans. On peut traiter pareils propos de rêveries infantiles, mais ces fantasmes sont à l’origine d’attaques terroristes et d’un accroissement des menaces contre la sécurité.
Pour lire la suite cliquer ICI
Qu’attendent les anglais pour s’en débarrasser d’une façon ou d’une autre ? Incompréhensible…