Promouvoir le Cinéma israélien et les films cultes et inédits en avant première, telle est la vocation de Cinéma et productions d’Israël. Pour sa projection de rentrée, c’est une œuvre singulière et majeure de la cinématographie israélienne qui a été choisie dans le cadre des « dimanches israéliens des 7 Parnassiens » TROIS JOURS ET UN ENFANT, d’Uri ZOHAR.
Le film a décroché le Prix d’interprétation masculine au festival de Cannes en 1967. Adapté librement de la nouvelle éponyme d’A.B YEHOSHUA, il a été restaure par la cinémathèque de Jérusalem.
Le film s’inspire des modèles narratives du Nouveau roman et du cinéma d’Alain Resnais. Uri ZOHAR est pour le cinéma, l’initiateur du courant de la nouvelle sensibilité israélienne.
Le pitch : tourmente par le souvenir douloureux d’un premier amour, Elie un jeune un étudiant de Jérusalem, se voit confier pendant trois jours la garde de l’enfant de Noa la femme qu’il a aimée. Durant ces quelques jours qu’ils vont passer ensemble, il reporte sur l’enfant les sentiments d’amour et de haine qu’il ressent encore pour cette femme.
Le 18 septembre à 11 h au Cinéma les 7 Parnassiens
98 bd du Montparnasse Paris 14 eme
Séance ouverte au public
Sylvie Bensaid
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