Les aventures amoureuses et les présumées relations avec le Mossad de cheïkh Al-Qaradaoui sont dévoilées par son ex-épouse algérienne.
Des sept mariages contractés par Cheïkh Al Qaradaoui, celui avec l’Algérienne Asmaa Benkada (1996-2011) aura été le plus mouvementé.
Asmaa Benkada solde ses comptes avec son ex-époux Cheïkh Al-Qaradaoui, chef spirituel de la confrérie des Frères musulmans, en diffusant, pour la première fois, les lettres d’amour que lui envoyait le prédicateur au tout début de leur relation.
Cinq ans après que Cheïkh Al-Qaradaoui a divorcé d’elle pour épouser une jeune Marocaine de Benguérir, l’ex-femme algérienne du célèbre prédicateur, Asmaa Benkada, se venge en décidant d’étaler le «linge sale» dans les colonnes de la presse algérienne.
Dans le premier épisode de ses «mémoires sur son mariage» en 1996 avec le président de l’Union internationale des savants musulmans, qu’elle envisage de partager progressivement avec les lecteurs de certains journaux arabophones, Asmaa, surnommée la «cheïkha» du Parlement algérien (députée FLN), lève le voile sur les premières lettres que lui aurait envoyées Al-Qaradaoui pour lui déclarer sa flamme. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles sont renversantes.
«J’évite du mieux que je peux de diriger la prière en commun car, en pensant à toi, je perds le fil de la prière», aurait avoué Cheïkh Al-Qaradaoui à son élue du cœur algérienne dans un élan qui fait aujourd’hui des vagues sur les réseaux sociaux, pour ne pas parler des quotidiens algériens qui, depuis le Ramadan dernier, accueillent à «colonnes ouvertes» les indiscrétions débitées par cette «députée» qui n’a surtout pas la langue dans sa poche.
Dans le lot de ces révélations intimes, Asmaa Benkada, née à Mascara, dévoile la fibre phallocratique d’Al Qaradaoui indiquant lui avoir dit «souhaiter une femme qui lui sera totalement soumise et dévouée au point de se sacrifier et demeurer à vie dans son harem, en refusant de se remarier avec un autre homme que lui après leur éventuelle rupture».
Au-delà de cette affaire de cœur et de «nippes», Asmaa Benkada, comme pour enfoncer davantage le clou, se penche sur de présumées accointances du Cheïkh avec Israël, en le présentant comme un agent du Mossad (renseignement extérieur de l’Etat israélien). En effet, la divorcée au minois irrésistible affirme que Cheïkh Al Qaradaoui a effectué une visite à Tel-Aviv début 2010 et qu’il parle couramment l’hébreu !
Avec ce début de révélations très embarrassantes, Al Qaradaoui risque de perdre jusque son accent arabe. Au secours !
Pour les arabes, Israël est utile même pour régler leurs histoires de famille.
Il est vrai que par Abraham…..
Voilà une bonne façon, pour les femmes arabes de se débarrasser de leurs maris devenus encombrants : les dénoncer comme agents du Mossad, voire grand rabbin de leur région. Il se fera couper la tête avant qu’on vérifie.