Hellel assassinée dans son sommeil. Poignardée sauvagement.
Une enfant de 13 ans que l’assassin barbare alla déloger dans son lit superposé. Cette petite fille que plus jamais sa mère ne réveillera, qui sera mise en bière dès ce soir. Cette innocente.
Comme l’actualité va vite. Après la tuerie d’Istanbul, où ils se sont mis à 3 pour tuer trois fois plus, aujourd’hui Hellel.
Qui déjà est entré par effraction dans la chambre où dort un enfant, pour le poignarder sauvagement ? Qui a tenu une petite fille par les cheveux pour lui tirer dessus à bout portant ? Qui a attaqué une école juste avant que ne sonne l’heure ? Pas le résistant : le terroriste cette brute barbare.
Il n’y a pas de guerre propre. Mais il y a des ennemis indignes. Chez qui la haine bestiale a remplacé la conscience.
Tribune Juive
L’islam est la négation de l’humain, du bon, du bien, du beau, du vrai.
C’est vraiment des monstres pour faire un tel meurtre. Personne ne manifeste pour cela à Paris…
J’espère de toutes mes forces que l’enfer existe pour ces ordures qui malheureusement existent et perdurent depuis le commencement de cette soi disant humanité, et pas seulement sur terre.
C’est vraiment des monstres pour faire un tel meurtre, c’est une honte sans précédent, Paix à son âme à cette pauvre petite qui n’a rien demandé, si ce n’est que de vivre, celui qui a fait ça ira en enfer, toute mes condoléances à la famille…
En fait il y a beaucoup de précédents chez les arabes envers les “yahoud”…
Elie Wiesel: “Dans ma vie, j’ai vu des enfants juifs jetés au feu et maintenant, je vois des enfants musulmans utilisés comme boucliers humains. Dans les deux cas, ces enfants sont des victimes des adorateurs du culte de la mort qu’on ne peut différencier des adorateurs de Moloch.
Ce dont nous souffrons aujourd’hui, ce n’est pas d’une guerre des Juifs contre les Arabes, ni d’une guerre des Israéliens contre les Palestiniens. Il s’agit plutôt d’une guerre entre ceux qui défendent la vie et ceux qui glorifient la mort. C’est un combat de la civilisation contre la barbarie.”
Elie Wiesel (1928-2016)