La présidente de la Commission parlementaire de la promotion du statut de la Femme a refusé de tenir une séance consacrée aux jeunes filles soldates de Tsahal, à l’occasion de la Journée de la Soldate qui aura lieu dans deux semaines.
Ce n’est pas la première fois que la présidente de cette importante commission refuse d’organiser et présider une séance consacrée aux jeunes filles et femmes soldates.
Petit détail: cette présidente s’appelle Aïda Touma-Suleiman, et appartient à la Liste arabe unifiée! Pour justifier son refus et surtout le manquement à sa mission et à ses obligations parlementaires elle a apporté un argument des plus fallacieux: “N’ayant pas servi dans Tsahal, je ne me sens pas concernée par les problèmes des soldates”.
N’étant pas divorcée, ni mère monoparentale, ni femme battue, ni chômeuse, victime de viol ou de harcèlement sexuel, cette députée, si elle est conséquente avec elle-même, ne devrait plus avoir beaucoup de séances de sa commission à présider. A moins que les vraies raisons de ce refus soient ailleurs.
Cela se passe au parlement israélien, cette députée antisioniste conservera donc son poste de présidente de commission afin qu’Israël ne soit pas accusé de discrimination.
Poster un Commentaire