En lisant quelques extraits de citations de Nissim Zvili ma première réaction est de me dire soit qu’il a définitivement « pété un plomb » un peu en avance car il n’est pas si vieux; à la manière dont Théo Klein avant lui avait pété le sien; ou Avraham Burg dans une version encore plus dingue.
Soit, tout simplement, aurais-je aimé croire que les journalistes ont sorti des extraits de leur contexte . Je ne suis pas assez au courant de l’honnêteté intellectuelle des journaux juifs sur le net pour avoir une opinion définitive.
Mais, je ne peux pas non plus, sur la base des quelques lignes me taire.
C’est vraiment une accumulation de saloperies , il n’y a pas d’autres mots, ainsi que des erreurs grossières de la part d’un homme qui, en son temps, a représenté Israël à l’étranger.
Lorsque Zvilli dit que plus des deux tiers des gens tués par l’armée israélienne ont moins de 16 ans , c’en est à pleurer. Ce sont des arguments qu’on pourrait trouver sous la plume de Soral ou de Dieudonné .
Hé, Monsieur Zvilli, faut rapidement consulter; le syndrome de Stockolm chez vous est directement passé à Vladivostok!!!
D’abord, l’ex-ambassadeur omet délibérément de dire qu’il ne s’agit pas de « gens » mais de terroristes, comme le signale lemondejuif.info.
Ensuite, comment se fait-il que Zvilli ne soulève même pas la question de savoir comment doit réagir un soldat, qui aura lui 18 ou 19 ans (donc sacrément vieux, j’imagine, au regard du pauvre homme au couteau ou à la ceinture d’explosifs) devant le risque de mourir? Doit-on se laisser tuer, parce qu’en face le salaud a 16 ans; et même si, à la limite du délire, il est « inconscient », doit-on mourir ? Et si c’était son fils à Zvilli, il dirait quoi? J’imagine que ses enfants sont soit des objecteurs de conscience, soit au mieux des « jobnikim ».
Je dois continuer sur le sujet, en proposant un autre cas de figure, dont on a pu « profiter » pendant la guerre -Tsouk Eytan- : que faire lorsque des affreux terroristes de 2 fois 16 ans, 32 ans, ou même 48 ans, prennent dans leur bras des bébés et vous attaquent avec leur arme: vous vous faites tuer, ou vous augmentez le nombre de palestiniens de moins de 16 ans tués?
Mais, je ne peux pas non plus, sur la base des quelques lignes me taire.
C’est vraiment une accumulation de saloperies , il n’y a pas d’autres mots, ainsi que des erreurs grossières de la part d’un homme qui, en son temps, a représenté Israël à l’étranger.
Lorsque Zvilli dit que plus des deux tiers des gens tués par l’armée israélienne ont moins de 16 ans , c’en est à pleurer. Ce sont des arguments qu’on pourrait trouver sous la plume de Soral ou de Dieudonné .
Hé, Monsieur Zvilli, faut rapidement consulter; le syndrome de Stockolm chez vous est directement passé à Vladivostok!!!
D’abord, l’ex-ambassadeur omet délibérément de dire qu’il ne s’agit pas de « gens » mais de terroristes, comme le signale lemondejuif.info.
Ensuite, comment se fait-il que Zvilli ne soulève même pas la question de savoir comment doit réagir un soldat, qui aura lui 18 ou 19 ans (donc sacrément vieux, j’imagine, au regard du pauvre homme au couteau ou à la ceinture d’explosifs) devant le risque de mourir? Doit-on se laisser tuer, parce qu’en face le salaud a 16 ans; et même si, à la limite du délire, il est « inconscient », doit-on mourir ? Et si c’était son fils à Zvilli, il dirait quoi? J’imagine que ses enfants sont soit des objecteurs de conscience, soit au mieux des « jobnikim ».
Je dois continuer sur le sujet, en proposant un autre cas de figure, dont on a pu « profiter » pendant la guerre -Tsouk Eytan- : que faire lorsque des affreux terroristes de 2 fois 16 ans, 32 ans, ou même 48 ans, prennent dans leur bras des bébés et vous attaquent avec leur arme: vous vous faites tuer, ou vous augmentez le nombre de palestiniens de moins de 16 ans tués?
Pour finir, le sieur Zvilli, à l’aube de sa tragique dérive vers un long et douloureux processus d’Alzheimer nous dit que voilà trois générations, qu’il faut se mettre à leur place -à ces palestiniens- eux qui sont occupés, dominés, par un peuple étranger depuis 50 ans.
Sincèrement, c’est pathétique . D’abord, une fois de plus, je suis atterré de voir les dégâts des « littéraires », donc des plus nuls des classes jusqu’à la terminale pouvoir accéder à une fonction de représentation de l’Etat d’Israël en approximant notre souveraineté à 50 ans…Mon vieux, au moins sur ce point, pourquoi vous exposez-vous au ridicule:
2016-1948= 68 ans . Et ça c’est le tarif minimum…Mais évidemment, ce n’est pas le pire; ça c’est juste pour dire sa nullité jusque dans les détails.
Car se mettre à la place de l’autre est souvent le signe d’une certaine grandeur d’âme. Mais aller jusqu’à justifier des meurtres de civils, de bébés, d’enfants, de femmes enceintes , juste parce qu’ils sont JUIFS en raison de cette « domination ». Et ce mot, Monsieur Zvilli, il représente quoi exactement? La vie des arabes en ville, palestiniens compris, leur interdiction de travailler, de sortir. Et les restrictions qui leurs sont imposées, c’est par racisme, par ségrégation , ou pour nous protéger d’une proportion d’assassins gigantesque dans leurs rangs?
Sincèrement, c’est pathétique . D’abord, une fois de plus, je suis atterré de voir les dégâts des « littéraires », donc des plus nuls des classes jusqu’à la terminale pouvoir accéder à une fonction de représentation de l’Etat d’Israël en approximant notre souveraineté à 50 ans…Mon vieux, au moins sur ce point, pourquoi vous exposez-vous au ridicule:
2016-1948= 68 ans . Et ça c’est le tarif minimum…Mais évidemment, ce n’est pas le pire; ça c’est juste pour dire sa nullité jusque dans les détails.
Car se mettre à la place de l’autre est souvent le signe d’une certaine grandeur d’âme. Mais aller jusqu’à justifier des meurtres de civils, de bébés, d’enfants, de femmes enceintes , juste parce qu’ils sont JUIFS en raison de cette « domination ». Et ce mot, Monsieur Zvilli, il représente quoi exactement? La vie des arabes en ville, palestiniens compris, leur interdiction de travailler, de sortir. Et les restrictions qui leurs sont imposées, c’est par racisme, par ségrégation , ou pour nous protéger d’une proportion d’assassins gigantesque dans leurs rangs?
Et vous qui avez soi-disant de la culture, je pourrai volontiers vous accorder même de la finesse avant ces récents signes d’Alzheimer, vous savez pourquoi elle existe cette violence, réellement? Vous savez ce que signifie le principe du « dar-el-Islam »? Ce statut de notre terre , très peu occupée, mais occupée quand même, par quelques nomades, et très peu de sédentaires, musulmans. Et aujourd’hui, il leur est INSUPPORTABLE de laisser filer 20 000 km2, malgré les millions de km2 qu’ils ont volé à d’autres, en les dépeçant, en violant les femmes.
Vous savez depuis combien de siècles, Monsieur Zvilli, les juifs sont MAJORITAIRES à Jérusalem ?
Vous savez pourquoi un million de juifs sont partis en moins de 50 ans des pays arabes? Pour les tunisiens d’origine, comme vous, je m’amuse à dire: « ben voyons, en Tunisie le climat était vraiment épouvantable. Nos villas au bord de la mer et nos appartements en ville n’étaient pas assez luxueux. Et vous savez, nous avions seulement trois femmes de ménage et un chauffeur…La vie était si dure . Nous avons donc choisi de partir. Vite, vite. Comme d’Egypte »….
Vous savez depuis combien de siècles, Monsieur Zvilli, les juifs sont MAJORITAIRES à Jérusalem ?
Vous savez pourquoi un million de juifs sont partis en moins de 50 ans des pays arabes? Pour les tunisiens d’origine, comme vous, je m’amuse à dire: « ben voyons, en Tunisie le climat était vraiment épouvantable. Nos villas au bord de la mer et nos appartements en ville n’étaient pas assez luxueux. Et vous savez, nous avions seulement trois femmes de ménage et un chauffeur…La vie était si dure . Nous avons donc choisi de partir. Vite, vite. Comme d’Egypte »….
Au fond, je vois ces postures de gens qui se croient tout permis. Avec les voleurs du Forex ou d’autres scandales, Monsieur Zvilli pourquoi ne quittez-vous pas Israël, puisque nous y sommes illégitimes. Oui, je sais , vous me corrigerez en expliquant que vous les « comprenez, ces gens (ces salauds)mais que vous n’excusez pas leurs gestes ». Votre posture c’est « comprendre » un sérial killer de jeune femmes, parce que sa mère est pute, et son père ivrogne. Eh bien, pour moi, ça reste des assassins en série.
On dit que la culture c’est ce qui reste quand on a tout oublié.
Avec vous, j’ai tendance à revoir la citation « la connerie c’est ce qui reste quand on a tout oublié »(prélude à Alzheimer dans la diplomatie israélienne)..
Avec vous, j’ai tendance à revoir la citation « la connerie c’est ce qui reste quand on a tout oublié »(prélude à Alzheimer dans la diplomatie israélienne)..
José Boublil
Zvilly, c’est affreusement honteux, à vomir, tais toi quand tu parles !
Monsieur Boulbil les littéraires ne sont pas les nuls des classes!!!!! Je regrette les affirmations de Monsieur Zvilli, mais votre article me déplait beaucoup;
Il y en a marre de ces juifs israéliens qui s’imaginent détenir la vérité dans ce conflit, il ne faut plus les entendre , ni les inviter dans des débats à la radio et encore moins à la télé , ne me dites pas que ce n’est pas démocratique, quand bien même ça l’est et alors!! Nous avons tellement de détracteurs à nos trousses nous n’avons pas besoin de ce genre de juifs qui adorent nos ennemis et qui ont une haine de soit démesuré, tos ces gauchistes sont atteints du syndrome de Stockholm
M Boublil oublie de rappeler qu’en 2012, il était complice de Nissim Zvili à soutenir le gauchiste Gil Taieb. En effet, Zvili et Boublil soutenaient Taïeb dans sa pathétique tentative pour devenir député.
Alors Boublil, mea-culpa ou silence!
Pour paraphraser le mot célèbre d’un président de la république française, je dirais à ce Nissim Zvili: « ferme-la pauv’con »…
Je suis très surpris par la teneur de vos propos, José Boublil, sachant que Nissim Zvilli était ambassadeur à Paris lorsque la première intifada, très cruelle, battait son plein en Israël.
Le 24 juin 2003, en effet, il m’avait remercié de lui avoir fait parvenir un exemplaire dédicacé du recueil des lettres que j’avais peu auparavant adressées au journal Le Monde et dans lesquelles je m’insurgeais contre l’attitude systématiquement malveillante de la Rédaction à l’égard d’Israël.
Il est vrai qu’il avait précisé : « Malheureusement, avec la vie qui est la mienne en ce moment, je n’ai pas encore trouvé le temps de les parcourir, mais ne doutez pas que j’y parviendrai ».
Il serait dès lors souhaitable, avant de l’accabler, qu’un journaliste de tribunejuive.info puisse l’interviewer pour comparer ses points de vue actuels par rapport à ce qu’ils étaient en 2003.