L’ordre de censure a été partiellement levé lundi soir sur l’arrestation ces derniers jours de 5 militants d’extrême droite soupçonnés d’avoir commis des agressions contre des Palestiniens en Judée-Samarie.
Deux des suspects sont mineurs et leur identité n’a pas été autorisée à la publication, ainsi que les faits qui leur sont reprochés.
Un autre suspect est emprisonné pour avoir brulé une voiture mais les autres charges contre les militants sont également sous censure.
Les suspects n’ont pas été autorisés à rencontrer un avocat, selon l’association Honenou, qui défend les personnes accusées de crimes nationalistes.
DW
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