Mahmoud Abbas a rencontré des dirigeants juifs marocains à Ramallah lundi et il s’est affublé pour la circonstance de son costume de modéré pour ses invités.
Il a dit que les Palestiniens cherchent à parvenir à un accord avec Israël et aspirent de vivre à ses côtés dans la paix. Il a dit qu’il veut une conférence internationale avec tous les pays du monde, y compris les pays arabes comme l’Arabie Saoudite, afin de décider quelle serait la meilleure façon de parvenir à la paix. il a dit qu’il est prêt à rencontrer un groupe comme celui – ci qui pourraient contribuer à la paix. Il a affirmé que si seulement Israël faisait la paix, alors 57 nations arabes normaliseraient leurs relations avec Israël.
Il n’a pas dit que l’un des ensembles de personnes qu’il ne veut pas rencontrer sont des responsables israéliens qui seraient en fait des partenaires pour la paix de tout plan réaliste. Il n’a pas dit un mot au sujet du soi-disant «droit de retour» sur lequel il insiste dans tous les discours donnés à ses électeurs leur expliquant qu’il ne peut y avoir aucun accord de paix sans qu’Israël ne soit détruit démographiquement. Il n’a pas abordé son incitation aux Palestiniens à poignarder les Juifs sous prétexte de ” défendre al -Aqsa.” Il n’a pas dit qu’il refusait de normaliser les relations avec Israël aujourd’hui, et ni qu’aucune nation arabe a signé un traité de paix avec Israël. Non, il a joué pour son audience dans la salle pour essayer de l’amener à faire pression sur Israël à faire des concessions pour une «paix» qui finirait par le partage de Jérusalem et d’aller à la prochaine étape qui serait – la destruction d’ Israël.
Mais une chose qu’il a dit se démarque. Ce ne fut pas la première fois qu’un haut responsable de l’ OLP dit cela, mais c’est important de le signaler à chaque fois.
Abbas a affirmé que la résolution de la question palestinienne avec ce qu’il considère comme une solution équitable saurait «garantir la fin de toutes les formes de terrorisme, enlever le prétexte aux extrémistes qui ont pris la question palestinienne comme excuse pour répandre la terreur et assassiner, comme ISIS et al-Qaïda et d’autres, nous devons parvenir à la paix et mettre fin à l’occupation.
” Sauf que ISIS et al – Qaïda n’ont jamais prétendu que leurs attaques terroristes avaient à voir avec Israël et le problème palestinien “.
La vieille théorie discréditée du «lien» est un outil important dans l’arsenal d’Abbas. Il sait que l’Europe a peur des terroristes islamiques et il lui offre, contre toute logique et faits, une idée à retenir – l’idée que la solution au terrorisme est la capitulation israélienne au chantage palestinien. L’argument est absurde , mais très attrayant, parce que les gens qui se sentent impuissants contre un ennemi qui les terrorise auraient naturellement une forte attraction à toute solution simpliste qui ne les implique pas en quoi que ce soit.
Abbas dit que ISIS n’a rien contre Bruxelles ou Paris ou Ankara – ils ne sont attaquer aux Européens parce qu’Israël refuse de démanteler certaines communautés juives et que l’ Europe est contre ces implantations toute façon !
Cet argument séduisant l’emporte sur la logique – il n’y a aucun inconvénient à faire pression sur Israël et s’il y a une chance que cela diminue le vent dans les voiles des djihadistes, est-ce que cela ne vaut pas la peine d’essayer ?
En fait, céder aux demandes des djihadistes enhardit les djihadistes à redoubler d’efforts. Cela les aide à recruter de nombreux futurs martyrs. Il se nourrit de la vision du monde, de la fantaisie que le monde est en guerre, et du côté musulman gagne son chemin vers ce que l’inévitable, Koranically prophétisait — la victoire.
Abbas ne peut pas être un djihadiste, mais il utilise la langue djihadiste dans les médias officiels de l’Autorité palestinienne pour justifier la terreur contre les Juifs, et il souscrit à l’idée djihadiste que les concessions sont des signes de faiblesse. Il sait comment jouer le jeu, et son plan est de convaincre le monde de lui donner gratuitement ce qu’il refuse de négocier.
Israël veut la paix et la sécurité. Abbas prétend offrir la «paix» sans promesses, sans concessions,avec chaque intention d’utiliser ses gains acquis pour commencer la prochaine étape de la destruction d’Israël.
Son utilisation cynique du lien c’est une épée à double tranchant, si les pays occidentaux se sont réveillés .
Voici ce que l’Occident devrait répondre à Abbas:
Si ISIS est menaçant et tue les Occidentaux au nom de la «Palestine», alors les dirigeants palestiniens devraient clairement dire que les djihadistes ne les aident pas du tout. Ils devraient dénoncer les attaques terroristes en leur nom et dire que toute personne qui se joindrait à ISIS pour cette cause se trompe et c’est contre – productif. Il devrait dire que, dans la guerre entre le monde libre et les terroristes islamiques, lui et ses gens choisissent le monde libre. En d’autres termes, si les terroristes prétendent être le lien, Abbas et l’OLP peuvent explicitement rompre ce lien en se dissociant de toutes les attaques terroristes effectuées en leur nom.
Cela aurait exactement le même effet que les concessions israéliennes. En fait, ce serait plus efficace parce que les Palestiniens demanderaient de ne pas être utilisés comme une excuse pour le terrorisme avant même qu’ils n’atteignent leurs objectifs politiques.
Abbas ne fera jamais cela. Si la France ou la Belgique exige que Abbas brise le lien et qu’il insiste sur le fait c’est là, qu’elles s’apercevront de quel côté Abbas se trouve vraiment.
Parce que Abbas veut que sa cause soit liée à ISIS. Il veut que les djihadistes continuent à attaquer des cibles occidentales. Cela lui permet d’utiliser le «lien» à son avantage.
Alors de quel côté est Abbas vraiment – du côté de la paix ou du côté des terroristes dont les actes, croit – il, vont l’aider à faire chanter l’Occident pour atteindre ses objectifs ?
Source : malaassot
Bien sûr qu’Abbas et le Fatha sont des djihadistes. C’est au nom de l’islam et de l’arabité qu’ils ont toujours fait la guerre à Israël. Le reste n’est que de la poudre aux yeux à l’intention des européens.
Abbas aime tourner en rond autour du pot. Ce qu’il veut, c’est ce qu’il y a dedans: Israël.
Si Israël n’avait pas existé, ils n’auraient jamais convoité cette terre qui était desert, marécages et cailloutis. Ils revendiquent un jardin habité par un peuple qui travaille à changer et créer.
Si Israel n’avait pas existé, ils nous auraient peut être inventé, tant qu’en qu’en menant, depuis 68 ans, leur “combat”, ils se remplissent les poches avec l’argent du monde qui ne cesse de les aider, et en même temps, ils camouflent leurs propres divisions et contraintes internes. La preuve dans cette vidéo. Sur toute cette plaçe, il n’y avait pas où poser leur drapeau. Ils ont trouvé un autre drapeau, de même dimension, pour y mettre le leur: à croire que ce n’est pas une question de plaçe, mais de cohabitation.
https://www.tribunejuive.info/antisemitisme/une-femme-dechire-un-drapeau-israelien-au-memorial-pour-les-victimes-de-bruxelles/comment-page-1#comment-473237
la paix dans les territoires rapporterait beaucoup d’argent au peuple qui vivrait sereinnement.
la guerre dans les territoires rapporte beaucoup d’argent aux dirigeants et à monsieur Abbas en particulier.
que va t’il faire????
Ces dirigeants juifs marocains qui ont été là bas ne méritent plus la confiance de leur communauté. Ce sont des traîtres.
Qu’avaient ils à aller fricotter avec ce terroriste au double langage ?
Ces dirigeants ne m’inspirent qu’une seule chose : le mépris
Les accords d’Oslo : une tromperie.
Le retrait du Liban et de Gaza : une illusion pour espérer pouvoir accéder à la paix, illusion qui n’a fait que renforcer le Hezbollah au nord et le Hamas au sud.
Conclusion : il est vain et présomptueux de deviner les intentions profondes des Arabo-musulmans à l’égard d’Israël. Leurs paroles n’étant pas fiables, – car “ce ne sont pas des Suisses” -, il ne reste aux responsables de l’Etat juif qu’à rester vigilants et attendre des ACTES de bonne volonté de la part de ceux qui, avec le Grand Mufti de Jérusalem de l’époque, ont rejeté avec arrogance et mépris la Résolution de l’Assemblée Générale des Nations-Unis en date du 29 novembre I947 partageant la Palestine mandataire en deux Etats distincts, l’un “JUIF” et l’autre “ARABE”.
Je tiens à préciser à l’intention des jeunes : … Résolution partageant la Palestine mandataire SOUS ADMINISTRATION BRITANNIQUE…, laquelle a pris fin le 15 mai 1948.