Face à la vague de terreur qui déferle dans le pays, l’impasse du processus de paix, et devant le refus de Mahmoud Abbas de négocier directement avec Benjamin Nétanyahou, des voix s’élèvent en Israël et en Europe pour constater l’échec et admettre l’effroyable complexité du conflit.
Bien que la France et la Suède s’obstinent à croire en la fin de la belligérance et en la création d’un Etat palestinien dans un proche avenir, la chancelière allemande Merkel se montre plus pragmatique et constate comme le gouvernement israélien que l’heure du rendez-vous historique avec les Palestiniens s’est bien éloignée et que la formule « deux Etats pour deux peuples » n’est pas pour demain.
Au sein de l’opposition travailliste nous entendons le même son de cloche. Herzog parle de séparation graduelle avec les Palestiniens et notamment de détachement des quartiers et villages arabes qui entourent Jérusalem.
Il existe donc un consensus en Israël sur une solution sécuritaire viable qui éviterait la création d’un Etat palestinien militarisé, et qui se transformerait un jour en bastion du Hamas, de Daesh ou de l’Iran. Nous devrions donc assurer notre défense à l’Est, c’est-à-dire dans la vallée du Jourdain, et renforcer nos relations stratégiques et militaires avec la Jordanie et l’Egypte. Au Nord, notre force de dissuasion marque des points. Depuis la Seconde guerre du Liban, une décennie entière s’est écoulée sans confrontation militaire. Les menaces du chef chiite libanais Nasrallah sont à double tranchant et sont prononcées pour attirer l’attention internationale et prouver son existence en dépit de ses revers militaires en Syrie.
Dans ce contexte, le masque des dirigeants palestiniens est tombé, et leur supercherie est dévoilée au grand jour.
« L’occupation israélienne » n’est qu’un vieux prétexte ! Leur stratégie n’a pas évolué depuis la création de l’OLP en 1964 et la publication de sa charte ! C’était trois ans avant la guerre des Six Jours, donc « l’occupation » n’existait pas ! La stratégie palestinienne a seulement évolué sur la forme et tactiquement pour gagner des gages et la sympathie de la communauté internationale. Sur le fond elle demeure la même : ne faire aucune concession et obtenir un Etat palestinien sur un plateau d’argent.
Comment donc accepter l’incohérence, l’absurdité, et l’illogisme flagrant ? Pourquoi la communauté internationale persiste à croire que les dirigeants palestiniens souhaitent vraiment la paix et la coexistence alors que leurs discours nous disent le contraire et appellent à la haine et à la lutte armée jusqu’à « la libération de toute la Palestine » ; autrement dit, jusqu’au jour où le dernier sioniste quittera son foyer national ! Leur combat n’est donc pas seulement une lutte armée pour qu’Israël se retire des Territoires et de Jérusalem-Est, mais de pouvoir éradiquer l’idéologie sioniste et mettre fin à l’Etat de la nation juive.
En conclusion, tant que les dirigeants palestiniens ne renonceront pas à la belligérance et à la « loi du retour » eh bien, il n’existera pas d’Etat palestinien indépendant. Pour l’heure, nous devrions continuer à vivre dans un esprit de solidarité, en s’appuyant sur notre force morale, notre puissance d’esprit et notre dissuasion militaire.
Freddy Eytan
Le CAPE de Jérusalem : http://jcpa-lecape.org/lillusion-palestinienne-et-limpardonnable-naivete-de-la-communaute-internationale/
Il faut surtout qu’Israël trace définitivement ses frontières lui-même puisqu’il a gagné les guerres que lui ont fait les arabes. Cela fait 70 ans qu’Israël n’a pas de frontières définies, ça ne peut pas durer encore autant.
Et sur ce qu’il restera aux arabes, pas grand chose, ils en feront ce qu’ils veulent. Et comme ils sont parfaitement incapables de créer le moindre Etat viable, ils finiront par prendre la nationalité jordanienne et leur réduit rattaché à elle. L’avenir d’Israël et de la Jordanie est évidement lié puisqu’ils sont voisins et des projets comme la vente de gaz ou la construction d’un canal entre la mer rouge et la mer morte ne peut que renforcer la paix et la bonne entente.
Quant à Gaza, si les arabes n’étaient pas aussi stupides ils commenceraient par se débarrasser du Hamas-à-la-ramasse et en feraient une cité-état prospère grâce à sa situation idéale au bord de la méditerranée et surtout des revenus du gaz au large de ses côtes qui lui reviendrait. Les gazaouis n’ont pas besoin d’appartenir à un “Etat palestinien” pour vivre, et bien vivre.
C’est bien ce que j’y exprime sur TRIBUNE JUIVE.
Je reste convaincu que les exigences des palestiniens, ou du moins de leurs dirigeants, que ce soit l’AP ou le Hamas, c’est qu’ils procèdent à la politique du coucou, qui pond dans le nid des autres et fait basculer les autres oisillons par-dessus bord.
Israël devrait, une bonne fois pour toutes, établir cette vérité aux yeux du monde, ne plus perdre son temps avec l’ONU, devenu une représentation majoritairement arabe, ou avec les palestiniens aux multiples têtes et aux multiples propositions telles que reprendre Jerusalem ou prôner le retour des palestiniens qui sont hors d’Israël.
L’apartheid, puisqu’on en est accusé, serait une bonne solution pour prémunir les attaques aux couteaux entretenues par des primes offertes par l’AP aux familles d’assassins qu’on présente en Europe comme des pères de familles avec enfants…..(sur RMC, en bande-annonce, pendant une émission de M. Bourdin.)
On me répondra qu’Israël est une démocratie. Mais dans ce combat que mène le monde civilisé contre la barbarie, cela devient une arme qui se retourne contre ses défenseurs. Pour preuve, il a fallu à la france 3 mois pour adopter l’idée de la déchéance de la nationalité aux fous de D……, qui tout en étant inefficace dans les faits, montre encore nos points faibles.