Barclays , Citi, Visa Europe ont récemment mis en place des centres d’innovation ou des accélérateurs à Tel-Aviv. La FinTech israélienne a ainsi levé 369 millions de dollars en 2014.
Israël commence à capitaliser sur son expertise mondiale dans le high-tech pour séduire les grands noms de l’industrie financière. La FinTech made in Israël aiguise les appétits. Parmi les signes qui ne trompent pas, la tenue pour la première fois à Tel-Aviv, les 10-11 novembre, d’une conférence organisée sous l’égide du blog Bank Innovation, en partenariat avec la banque Leumi et en présence de nombreux responsables de banques étrangères, dont des représentants de Citi, Rabobank ou de Santander.
De fait, le secteur ne manque pas d’attraits. Forte de quelque 400 start-up, la FinTech israélienne a levé l’an passé 369 millions de dollars avec un total de 59 transactions (contre 148 millions en 2013, pour 38 opérations). S’appuyant sur un écosystème très en pointe sur le Big Data, le « risk management » ou la sécurité, elle compte plusieurs leaders mondiaux, à l’image d’Actimize (lutte antifraude), Fundtech (solutions de transaction bancaires) ou encore Trusteer (cybersécurité).
Un « hub » d’envergure mondiale
« Israël est rapidement devenu un “hub” d’envergure mondiale dans les technologies financières, estime Daniel Abrahams, fondateur de la start-up britannique CurrencyTransfer.com, qui y possède un centre de R&D. L’environnement réglementaire est favorable aux entrepreneurs. Il existe même une ambassade du bitcoin à Tel-Aviv ! » De quoi inciter les grands noms de l’industrie bancaire à y rechercher des solutions innovantes.
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