Les autorités judiciaires américaines ont laissé entendre vendredi que l’israélo-américain Jonathan Pollard pourrait être remis en liberté conditionnelle en novembre, au terme de 30 ans de prison, ce qui effacerait un long point de divergence entre Israël et Washington.
“Le ministère de la Justice a toujours dit et maintient que Jonathan Pollard doit servir l’intégralité de sa peine pour les graves crimes qu’il a commis, en l’occurrence une peine de 30 ans de prison comme requis par la loi”, a déclaré Marc Raimondi, porte-parole du ministère, dans un communiqué.
Ce responsable a ajouté que l’agent israélo-américain, arrêté en 1985 et condamné à la prison à vie en 1987, était éligible pour une libération conditionnelle en novembre 2015.
AFP
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