Il y aura eu, en peu de temps, le PDG d’Orange annonçant, lors d’une conférence de presse au Caire, son désir de rompre avec un partenaire industriel trop lié à Israël.
Les velléités palestiniennes de faire exclure de la Fifa la fédération de football israélienne.
Le débat sur l’étiquetage de certains produits qui reprend de plus belle en Europe.
L’Union des étudiants britannique votant une résolution de soutien au principe du boycott.
Sans parler des artistes qui, à l’instar de Brian Eno, Elvis Costello ou Vanessa Paradis, se demandent s’ils doivent ou non se produire en “Palestine occupée”.
Aucun de ces événements n’a, en soi, grande importance.
Mais, ensemble, ils font un climat et, peut-être, une conjoncture.
Et c’est l’occasion de rappeler à celles et ceux qui s’y engagent ce qu’est ce fameux mouvement BDS (boycott, désinvestissement, sanctions) créé, en 2005, par 171 ONG palestiniennes et qui est à l’origine, plus ou moins directe, de toutes ces initiatives.
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