Une chemise de la dernière collection de la marque de prêt-à-porter Mango suscite l’indignation des internautes outre-Rhin, en particulier sur Twitter. Ses motifs ne seraient pas sans rappeler un symbole nazi.
Style « chic nazi », « Collection Eva Braun ». Depuis jeudi les internautes allemands rivalisent d’imagination pour rebaptiser une chemise vendue par la marque de prêt-à-porter espagnole, Mango.
Issue de la dernière collection, cette chemise blanche est intégralement ornée de motifs d’éclairs, un symbole que certains ont associé à la foudre, un insigne qui rappelle celui des Waffen-SS.
Une chemise de la dernière collection de la marque de prêt-à-porter Mango suscite l’indignation des internautes outre-Rhin, en particulier sur Twitter. Ses motifs ne seraient pas sans rappeler un symbole nazi.
Style « chic nazi », « Collection Eva Braun ». Depuis jeudi les internautes allemands rivalisent d’imagination pour rebaptiser une chemise vendue par la marque de prêt-à-porter espagnole, Mango.
Issue de la dernière collection, cette chemise blanche est intégralement ornée de motifs d’éclairs, un symbole que certains ont associé à la foudre, un insigne qui rappelle celui des Waffen-SS.
Sauf que le symbole SS était constitué non pas d’un seul éclair, mais de deux disposés côte à côte. Et plus subtil encore, l’emblème des Waffen-SS est en réalité une reprise de l’alphabet rune, utilisé par les vikings et les germains au début du premier millénaire. Dans cet alphabet, la lettre « Stig », c’est son nom, prend plus ou moins l’apparence d’un éclair. Mais elle signifie, victoire ou soleil.
Eclair ou pas, la marque de prêt-à-porter s’est défendue dans les colonnes du quotidien Bild pour préciser que sa collection comprenait aussi des articles avec des cœurs et d’autres avec des étoiles. Et si elle a regretté cette association malheureuse, elle n’a pas pour autant retiré sa chemise de la vente.
Le 27 août dernier, la marque Zara avait provoqué un tollé à cause d’une chemise pour enfants sur laquelle figurait une étoile jaune. Cette fois, la marque espagnole avait finalement retiré son article et présenté des excuses.
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