Et après trente jours de guerre, de bruits, de désarrois, d’ébranlement, de fébrilité, de nervosité, d’impatience, de matraquage médiatique, (auquel, je reconnais avoir aussi contribué), de solidarité et d’entraide, d’inquiétude, de panique, d’angoisse, de vrombrissements d’avions, d’explosions, de sirènes d’alarme, d’abris et de chambres blindées, de feu et de sang, de chars, de poussière, de soldats, de destructions, de pleurs, de souffrance, de deuil…
Depuis quelques heures, le silence.
Brusquement, le retour du train-train.
http://endirectdejerusalem.com/wordpress/
Poster un Commentaire