À Bruxelles, le Musée Juif de Belgique, rue des Minimes, dans le quartier du Sablon: un homme descend d’une voiture , pénètre et tire sur deux touristes israéliens, le préposé à l’entrée et une assistante bénévole de nationalité française.
Samedi soir,
à la sortie de l’office
à la synagogue de Créteil ( Val de Marne)
double agression contre deux fidèles.
Dimanche, le Pape déclare la situation dans les territoires ” de plus en plus inacceptable” et d’une manière imprévue , fait arrêter son véhicule devant le mur de séparation et y pose sa main, comme le geste qu’il fera au Kotel demain.
À la fin de la messe, il invite Mahmoud Abbas et Shimon Peres à prier avec lui au Vatican pour la paix.
“En ce lieu (de Bethléem), où est né le Prince de la paix, je désire adresser une invitation à vous, monsieur le président Mahmoud Abbas, et à monsieur le président Shimon Peres, pour faire monter ensemble avec moi une prière intense en invoquant de Dieu le don de la paix”, a-t-il dit, juste avant la prière à la Vierge du “Regina Coeli” qui concluait la messe. Ce message du pape n’avait pas été communiqué à la presse à l’avance.
“J’offre ma maison, au Vatican, pour accueillir cette rencontre de prière.
Tous nous désirons la paix. Beaucoup de personnes la construisent chaque jour par de petits gestes. Nombreux sont ceux qui souffrent et supportent patiemment les efforts de beaucoup de tentatives pour la construire”, a-t-il ajouté.
“Tous -spécialement ceux qui sont placés au service de leur peuple- nous avons le devoir de nous faire instruments et artisans de paix, avant tout dans la prière. Construire la paix est difficile, mais vivre sans paix est un tourment.
Tous les hommes et toutes les femmes de cette terre et du monde entier nous demandent de porter devant Dieu leur aspiration ardente à la paix”, a-t-il encore déclaré, dans son appel sans précédent.
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