Le Pape François a prié devant le mur de sécurité de Bethléem
comme à la manière du Mur des Lamentations (Kotel).
Déjà le premier n’est pas saint comme le second l’est ! Puis, il a prié et regretté pour les victimes de l’attentat antisémite de Bruxelles.
J’ai envie de dire que sans le mur de sécurité, nous aurions 50 attentats de Bruxelles en Israël par mois.
Selon les services de sécurité israéliens, le mur a permis et permet encore aujourd’hui d’empêcher à 98 % les attaques terroristes en provenance des localités sous contrôle de l’Autorité palestinienne.
Sans le mur de sécurité, il y aurait trop d’attentats antisémites en Israël de la part palestinienne. Le Pape François prierait et regretterait alors une fois par an pour les victimes lors de sa sortie Urbi et Orbi — notamment à Noël.
Doit-on se rassurer des prières de ce Pape ? Il dit avoir à coeur les chrétiens d’Orient. Or, depuis son élection ils se font encore plus massacrés et persécutés.
Je doute que les actes antisémites le préoccupent plus que les actes antichrétiens au Moyen-Orient!
Comme ses appels à la paix contre les persécutions des chrétiens au Moyen-Orient et la violence des actes antisémites sont sans effet, nous pourrons lui dire avec humour : « Ça fait quoi de parler à un mur? »
Éric Yaakov Debroise
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